Plaisir solitaire en voiture
16 novembre 2020Lola, 37 ans, découvre les joies de la masturbation pendant l’adolescence. Un jour elle décide de se masturber en secret dans le monospace familial…
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Quand j’étais jeune fille, je me souviens que j’ai découvert la masturbation pendant les vacances d’été, dans la maison de campagne de mes parents.
J’étais dans ma petite chambre au papier peint fleuri et j’avais commencé à me caresser, un matin, en me frottant sur le drap. J’avais dû faire un rêve érotique juste avant car j’avais au réveil comme une envie de faire pipi qui répandait sa chaleur dans mon bas-ventre.
Il m’avait fallu quelques minutes seulement, en frottant, pour sentir l’orgasme me traverser dans moment qui m’avait surprise par sa violence et sa soudaineté. Par la suite, émerveillée de cette découverte, je me suis mise à me toucher tous les jours.
J’attendais le soir avec impatience pour me retrouver dans mon lit et pouvoir explorer mon sexe. J’y mettais les doigts, frottait, titillait, tapotait, me pinçait les seins. Un vrai bonheur. Même à 18 ans, n’étant plus vierge, je continuais toujours à la même fréquence. La maison de mes parents me rappelait de bons souvenirs et mes premiers émois, j’aimais toujours autant me branler dans ma petite chambre.
Un été, nous étions sur la route, de retour d’un pique-nique tardif sur les bords du lac du coin et je me trouvais seule tout au fond du monospace familial, sur le siège placé dans le coffre. Je me tortillais un peu dans mon maillot de bain et le frottement du tissu sur ma chatte me donnait une furieuse envie de me faire jouir.
C’était la nuit, mes frères et sœurs sur la banquette devant moi, dormaient. Mon père conduisait et ma mère était aussi concentrée sur la route. Je pensais aux hommes que j’avais observés sur la plage, à leurs fesses et aux contours de leur intimité qui se dessinaient sous leurs maillots, aux courbe de leurs torses.
Nous étions dans la pénombre. Toujours assise sur mon siège, la ceinture de sécurité me barrant la poitrine, j’ai glissé ma main dans mon short et sous mon maillot de bain pour venir frotter, en secret, mon sexe. Immédiatement, j’ai senti cette chaleur familière pointer dans mon entrejambe. Je tâchais de ne faire aucun bruit et qu’on n’entende ni ma respiration s’accélérer ni le froissement de mes vêtements.
J’avais aussi peur que mon odeur de sexe se sente, moi qui commençais déjà à la humer alors que je fouillais mon minou, les jambes écartées sur le siège. Si on me surprenait, c’était la honte intégrale, l’intrusion du regard parental dans ma vie sexuelle, un sortilège potentiel pour ma libido.
Mais j’étais tellement tendue vers mon plaisir, comme hypnotisée, que je n’ai fait que davantage cambrer mon bassin pour mieux me caresser, toujours dans un silence complet. J’ai senti l’orgasme monter, avec ce début de sensation de picotement si familier dans le sexe, qui se met à envahir par vagues tout le corps.
Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte mais le plaisir toujours silencieux, j’ai laissé cette jouissance incroyablement subversive et même dangereuse, me prendre tous les membres et m’étreindre de sa puissance. Ma main s’est trouvée toute mouillée de mon audace. J’ai refermé les jambes et rajusté mon short, en espérant être la seule à sentir l’odeur de ma chatte mouillée, heureuse de la baignade et des caresses prodiguées.
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thom
hmmm!!
joli récit,j’aurais adoré être à tes côtés à l’arrière de cette voiture afin de te masturber moi moi-même !!