La police des moeurs – Histoire de sexe d’Astrid (3/3)
27 février 2021Après nous avoir parlé des magazines interstron.ru de ses parents et du plaisir lesbien, Astrid nous livre ses histoires libertines dans cette dernière partie.
Découvrez la dernière partie des aventures érotiques d’Astrid. Mais avant, assurez vous d’avoir lu ses histoires de sexes dans la partie 1 et la partie 2 !
Par la suite et dans mon parcours de prépa et d’ESC ce furent les pénis qui défilèrent et je me rendis à l’évidence : j’étais bi-sexuelle avec un fort penchant pour la variété et la pluralité. Heureusement j’ai connu mon futur époux au milieu de cet essaim de fornicatrices et de fornicateurs, le ciment de notre couple a donc été l’honnêteté et l’absence totale de jalousie sexuelle. Nous avons écumé les clubs libertins, le Cap d’Agde, les plages naturistes, les croisières libertines, organisé des soirées privées. Tout a été bon à découvrir avec un appétit féroce jusqu’à une invitation au sein d’un donjon. Nous n’avions pratiqué que des bricoles BDSM softs jusque-là, menottes avec fourrure rose, bandeau sur les yeux, petites fessées, rien de plus.
Une maîtresse m’a initiée au martinet, au fouet, aux pinces sur les seins, aux fessées « lourdes » d’où l’on sort le cul marqué pour plusieurs jours. J’avoue que je n’ai jamais autant mouillé de toute ma vie ! Cela nous a poussé à explorer ces jeux de domination-soumission plus avant en privé.
Et voilà cette fameuse nuit dans un hôtel cosy de La Rochelle. Un soir d’été, un restaurant étoilé comme le ciel, du champagne, des rires, des regards aguichants avec d’autres clients, un retour à pieds à travers les ruelles de cette cité magique, les premiers frissons dans l’ascenseur, les mains de Fred, mon mari, qui découvrent ma chatte nue, sans culotte sous ma mini-jupe, son membre qui sort de son pantalon et moi qui commence à le sucer alors que les portes de la cabine vont bientôt s’ouvrirent sur notre étage. L’arrivée bruyante dans notre chambre, les fringues qui volent à travers la pièce et nous voilà partis pour le plus gros délire que nous ayons vécu jusqu’à aujourd’hui.
Fred m’a attachée au barreau du lit, il a sorti nos ustensiles de « torture », roues dentelée, pinces pour mes tétons, plug anal pour ouvrir mon petit conduit étroit, fouet et autres paddles. Je gémissais, je me tordais dans tous les sens quand il m’a détachée et remise sur le dos. J’ai accueilli sa queue entre mes seins pour une branlette espagnole dont j’ai le secret, il en est fou. Et tandis que son pieu allait et venait entre mes nichons resserrés, mon mari me giflait de plus en plus fort. Et plus les gifles me chauffaient les joues, plus je mouillais et plus je criais de plaisir.
Il s’est ensuite retourné sur moi afin de me présenter le puit sombre de son anus, j’ai léché son petit trou tandis qu’il me posait des pinces sur les tétons, la queue toujours entre mes seins que je resserrais avec mes mains. La morsure de la roue équipée de cinq rangés de dents aiguisées m’a communiqué des frissons puis arraché des feulements qui ont vite pris la tournure de cris gutturaux. Je jouissais par tous les pores de ma peau quand Fred m’a porté le premier coup de grâce, deux doigts plantés en moi, il a éjaculé entre les globes de mes seins tandis que ses mouvements rythmés déclenchaient ma source, fontaine jaillissante et cristalline. Je me tordais de plaisir, les doigts, implacables, ne voulaient pas cesser leur danse orgasmique et mortifère. Je m’entendis hurler encore tant mon vagin subissait les soubresauts de cette libération liquide, comme une digue qui saute et laisse la marée envahir les prés-salés.
C’est à ce moment que nous avons entendu frapper à la porte ! Des coups secs et nerveux. Nous avons fait silence immédiatement retenant notre souffle. De nouveau les coups ont retenti et une voix masculine a retenti « C’est la police Madame, veuillez ouvrir immédiatement ou nous demandons au veilleur de nuit de le faire ! »
Je suis devenue blanche comme un linge, Fred s’est levé d’un bond et a voulu aller enfiler un peignoir. Trop tard, la maréchaussée avait trouvé le temps trop long et avait usé d’un passe-partout pour ouvrir la porte. Nous avons entendu le claquement de la libération de la gâche, nous nous sommes regardés avec mon mari, lui en peignoir ouvert sur le devant et la bite à l’air en pleine érection, moi, allongée, attachée, les joues rouges des gifles reçues plus tôt, des pinces sur les seins et les bras attachés au lit. Nous avons éclaté de rire, à ne plus pouvoir s’arrêter pile à l’instant où la patrouille faisait irruption dans notre alcôve ! Trop tard pour jouer les pudiques et, à la vérité, à part une honte passagère, notre nudité face aux uniformes ne nous gênait absolument pas.
Trois hommes en uniformes sont alors entrés. Ils sont tombés nez à bite avec Fred, les yeux écarquillés puis leurs regards se sont portés sur la « victime » que j’étais supposée être. Notre fou rire nous a repris avec mon époux. Je ne peux vous décrire l’état de stupeur dans lequel les trois policiers se sont retrouvés. La gêne a soudainement changé de camps, bien sûr ils n’ont même pas eu besoin de nous questionner sur le pourquoi du comment. La scène et notre complicité visible valaient tous les mots.
Fred m’a lancé un clin d’œil, j’ai tout de suite compris ce qu’il avait derrière la tête.
« Chers amis, maintenant que vous vous êtes déplacés jusqu’à nous, autant que ce ne soit pas pour rien. Et je veux bien du renfort pour satisfaire madame ! »
J’ai cru que les trois jeunes gardiens de la paix allaient s’étouffer ! L’un d’entre eux avait détourné le regard mais aux paroles de mon cochon de mari il a de nouveau rivé ses yeux sur moi. J’ai largement écarté les jambes, quatre hommes pour moi toute seule, cela ne m’a jamais fait peur, bien au contraire.
Il y a eu une valse-hésitation suivie d’un conciliabule à voix basse, visiblement deux étaient tout à fait « pour une intervention » et le troisième restait sur la réserve parce que jeune marié.
Fred a alors repris la parole « Vous n’allez tout de même pas laisser une femme attachée sur un lit sans agir messieurs ? Il en va de l’honneur de la police ! » et me regardant « N’est-ce pas mon amour que tu as besoin d’une assistance de toute urgence ! »
J’ai minaudé, je me suis tortillée comme une petite salope en ouvrant au maximum mes compas pour leur dévoiler toute mon intimité. J’ai émis un « Oui » à la Maryline Monroe, façon « Happy birthday mister president … »
Mon petit manège a fini par l’emporter à l’unanimité. La porte s’est refermée sur la noirceur de la nuit, les casquettes se sont envolées, les boutons des uniformes ont sauté et les zips des pantalons ont laissé éclore trois belles queues. La première était un gourdin, râblé, large, très large avec un gros gland tout rond, la seconde tenait plutôt de la matraque, sublimement longue, très droite et s’effilant vers le gland, le tout devait dépasser les vingt centimètres et se terminait par un fruit aux allures de petit ballon de rugby enfin la troisième était de la même « famille » que celle de Fred, circoncise, un gland rose en forme de casque parfait, une hampe de taille et de diamètre moyen, celle-là perlait déjà de gouttelettes translucides.
Mon esprit s’est dissocié d’un coup.
J’avais une conscience aigüe de la situation, Fred, ces trois policiers la queue à l’air, tableau incongru s’il en était où nous étions passés d’une plainte pour tapage et violence à ces quatre mâles en rut, leur « arme » dégainée, prêtes à cracher (le feu ?).
Dans le même temps je m’arrêtais sur des détails absurdes au vue de la situation. Mon regard allait des sexes aux érections de plus en plus massives à une peinture criarde au mur, je divaguais mes pensées comme en apesanteur.
Une gifle de Fred m’a sorti de ma torpeur. J’ai repris conscience de mon sexe trempé, mes tétons pulsaient douloureusement, un des policiers, à l’invite de mon homme, les pinçait fortement. Son sexe était à quelques centimètres de ma bouche. Oublié les pérégrinations de mon cerveau, les couleurs criardes du cadre de la chambre, ce qui allait suivre, n’en déplaise à Magritte, était bien une pipe ou plutôt quatre.
Les mousquetaires se sont positionnés en arc de cercle autour de moi à genoux sur la moquette rêche. Leurs épées définitivement dressées, certains avaient la queue qui émergeait de leur braguette, d’autres avaient baissé pantalons et slips, le tout reposant inélégamment sur leurs chevilles avec tout le matériel accroché sur le ceinturon, menottes, bombe de gaz, etc.
La vue des menottes a évidemment donné des idées à Fred qui a chuchoté quelques mots à l’un des comparses, en deux temps trois mouvements, j’étais menottée « pour de vrai » ! Enfin, en deux temps trois mouvements, après quand même quelques palabres pour savoir si on m’attacherait les mains dans le dos ou plutôt devant. Le verdict est néanmoins tombé rapidement, je devais pouvoir branler les queues que je ne suçais pas, par devant fut donc l’option retenue.
Le métal froid des « pinces » me blessait légèrement les poignets et le cliquetis de la chaîne les reliant rythmait mes va-et-vient sur les pines de ces messieurs. Je passais de l’épaisse de l’un à la fine et longue de l’autre, des mains directives m’attrapaient les cheveux pour forcer ma gorges, m’arrachant des hauts le cœur et me faisant saliver à m’en baver sur les seins, ma mâchoire devenait douloureuse, mon mascara coulait sur mes joues, mes genoux me brûlaient à force de frotter sur la toile émeri de la moquette mais j’oubliais tout, je n’avais cure de ces petits désagréments qu’une douche et un peu de crème hydratante feraient disparaitre bien vite pour l’heure je n’avais d’yeux que pour ces quatre queues qui réclamaient mes bons soins.
J’astiquais les manches, j’avalais une bite entière au fond de moi, je crachais sur un gland tandis qu’un autre me donnait des biffles ou s’excitait sur mes seins. Fred les a autorisés à me doigter s’il le désirait afin de les aider à jouir. Peu d’hommes, c’est assez drôle d’ailleurs, sont capables de passer outre leurs inhibitions et de réussir à éjaculer devant leurs congénères. Comme si rendre les armes de cette si jolie façon était en soi une défaite ou un aveu de faiblesse.
J’ai donc été fouillée par devant, par derrière, je sentais des doigts se taquiner de chaque côté de ma fine cloison, se chercher, se frotter. Dieu que c’était bon !
L’un d’entre eux m’a presque fistée tant j’étais ouverte mais ma génuflexion n’aidait pas à une intromission trop volumineuse. J’ai quand même fini par jouir devant eux, ma chatte laissant s écouler des flux ininterrompus d’une mouille épaisse et transparente. Ils m’ont barbouillé le visage avec mes propres sécrétions, Fred a pris des photos avec son portable dans une main, sa queue toujours dans l’autre.
Il a donné le signal. Ses jets crémeux m’ont atteinte entre les yeux et sur le front puis sur les lèvres et mon seins droit. Le réflexe éjaculatoire serait-il communicatif comme l’est le bâillement ? Je ne m’étais jamais posé la question auparavant toujours est-il que cette salve de Fred a déclenché toutes les autres en cascades, comme des dominos qui tombent les uns sur les autres.
La grosse queue a été prise de soubresauts intenses et un foutre épais en a été expulsé avec force. Mon cou et mes seins se sont retrouvés maculés par cette crème grumeleuse à l’odeur forte. J’ai à peine eu le temps de vouloir l’étaler sur mes nichons que la troisième colonne, la longue et fine, sonnait son hallali. Je n’ai pas été déçue, pour mon premier bukkake ! J’ai connu des hommes à l’éjaculat volumineux mais là … ça dépassait l’imagination. Les jets chauds ne s’arrêtaient pas, cinq ou peut-être six traits, liquides, opalescents m’ont nappée le cou, le sein gauche et les cheveux. Sa purée sentait bon, sucrée et légèrement fade mais délicieuse, j’ai réussi à goger le dernier dégorgement de cette gorgone fantasque. Enfin c’est le gland « ballon de rugby » qui s’est libéré. Son propriétaire avait dû avoir des rapports ou s’être branlé peu de temps avant, le méat s’est ouvert pour ne laisser que deux jets de faible volume, j’ai porté ma main sous ce fruit pour récolter sa sève au creux de ma paume. J’ai massé mon ventre puis suis remonté sur mes seins afin de mélanger tous ces fluides épais qui commençaient à sécher sur ma peau.
Sitôt leurs bourses vidées les trois policiers ont remballé leur matériel, rengainé leurs armes et plié bagage non sans nous demander de « baisser un peu le volume » et en m’ayant chacun gratifié d’une pelle magistrale.
Nous nous sommes retrouvés tous les deux avec Fred, j’étais épuisée, vidée de toute mon énergie. C’est mon homme qui m’a porté jusqu’à la douche et m’a lavée entièrement. Mon corps était marqué, maculé, odorant et plein de vie ! J’avais adoré cette séance aussi improbable que folle.
Avoir ces quatre queues m’a donné des ailes et j’ai joui très fort le lendemain matin sous les assauts d’un Fred qui avait retrouvé toutes ses aptitudes !
Depuis nous « convoquons » régulièrement des assemblées masculines pour mon plaisir, comme quand on était enfants on « joue » au gendarme et au voleur mis à part un petit détail, c’est plutôt la police des mœurs qui s’invite !
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