Voilà les renforts

La rédaction 13 novembre 2025

Attisées par le soleil, Karen et Mélissa s’accordent une partie de corps à corps torride en bord de piscine. Découvrant ce spectacle saphique, la belle Iris se propose de venir à la rescousse avec un renfort de poids, un double dong dont notre trio magique va rapidement se délecter.

La canicule écrase les alentours de Bonifacio, l’ensemble de la Corse du sud brûle sous l’astre roi, un véritable brasier digne d’un four destiné à cuire les plus dures des céramiques. Les jeux aquatiques ont eu leurs charmes, les bains de soleil aussi, mais une profonde torpeur érotique gagne Karen et Mélissa. De retour du marché, à quelques pas de la villa qu’elles ont louée, elles tombent leurs robes légères et découvrent, dans un grand éclat de rire complice, qu’elles sont toutes deux nues en dessous !

Mélissa chavire sur un transat sous la poussée coquine de Karen, pas le temps de se relever, le corps de la belle blonde fond déjà sur elle, ses lèvres en tête de proue, ses seins conquérants, sa rose langue sort, c’en est fini de la résistance des deux belligérantes, la première sent immédiatement sa chatte qui s’inonde et hume, dans le même temps, les fragrances lourdes de la cyprine de l’autre.

Une cuisse se glisse dans l’anfractuosité des jambes ouvertes, à dessein, elle se plaque contre la conque humide et brûlante, une simple pression et le clitoris engoncé se met sur le champ à résonner, les tétons se dressent aux pinacles des seins et, malgré la chaleur étouffante de ce mois d’août, les peaux des deux naïades se couvrent de chair de poule.

Cette réaction épidermique s’accompagne d’un long et profond baiser, les silhouettes des deux femmes sont désormais collées, lorsque retentit une voix féminine, le doux trémolo de leur amie commune, aucun doute, c’est Iris qui vient d’arriver !

Se séparant à contrecœur, le duo se tourne de concert vers la nouvelle venue. Cette dernière, parée d’une tunique à motif bayadère rose et bleu, belle, radieuse, brandit, tel un trophée, un énorme double dong au coloris coordonné à sa tenue dans un merveilleux camaïeu d’écrasé de framboises.

Ses talons hauts lui confèrent une cambrure d’enfer, son cul et ses hanches sont soulignés par les bandes chamarrées de sa robe. Elle lève un bras, la liberté guidant le peuple des femmes vers des orgasmes aussi forts que révolutionnaires !

La grosse sucette se retrouve tendue vers les deux bouches gourmandes.

Karen et Mélissa se regardent, complices et indécises. Les lèvres s’entrouvrent, le simili gland se faufile, les dents s’effacent pour laisser le passage au long serpent de silicone.

La forme prend vie, ondule, les bouches prennent vit, avancent puis recule, la pantomime de fellation est parfaite, d’autres lippes assurent alors le relais, le pénis factice se fait pomper, les filles gémissent, de plus en plus fort, mais il est temps, pour elles, de prendre soin de leur bonne fée.

Ayant pitié de cette pauvre Iris qui semble mourir de chaud, encore engoncée dans sa robe, elles l’invitent à s’asseoir entre elles, les seins de leur hôte s’épanouissent sous les rayons du soleil. Iris, toujours pleine d’heureuses initiatives, tire son string d’un doigt sûr et convie Karen à se glisser entre ses fesses écartées. Sa chatte se fait immédiatement ventouse, elle ondule des hanches afin d’être certaine que sa perle rose soit bien en contact avec les lèvres et la langue de sa lécheuse.

Cette dernière, à la merci d’une Mélissa désœuvrée, se fait à son tour entreprendre, des doigts agiles entrebâille la vulve, séparent les nymphes fragiles et débusquent un clitoris déjà en état de forte érection. Le reste est si facile à initier, l’appendice frétillant n’a plus qu’à se poser sur le bourgeon bandé, le corps de Karen se tortille avec de plus en plus d’amplitude, sa propre langue devient erratique, manque sa cible, s’enfonce dans l’anus au lieu du vagin.

Cette maladresse se révèle finalement ne pas en être une, Iris se raidit de toute sa silhouette longiligne, un interminable ululement s’échappe de sa gorge, elle vient de jouir avec une intensité rare. La cyprine qui s’écoule de son con alerte un peu plus Karen, qui voit sa proie s’éloigner. Deux doigts se plantent alors dans sa conque et elle-même bascule dans une tempête de plaisir que plus rien ni personne ne pourrait stopper.

C’en est désormais fini de la culotte de leur accessoiriste favorite, ce sont maintenant trois corps entièrement nus qui s’affrontent sur la banquette, installée non loin de la piscine. Seules les stilettos parent les silhouettes des trois Grâces, leur conférant une allure animale, leur donnant encore plus confiance en elle. Elles sont sûres de leur beauté et de leur séduction naturelle.

Et voilà Mélissa qui s’allonge à plat dos, c’est à son tour de jouir, à elle de profiter des bons soins de ses amies.

Lovée au bout du banc au coussin moelleux, elle écarte ses longues jambes, ses deux couteaux aiguisés fendent l’air pour permettre à Iris d’approcher au plus près de sa vulve vulnérable. Les seins lourds de la brune s’épanouissent sous le soleil, ils débordent d’opulence et de beauté, tandis qu’une langue taquine vient enfin laper l’huile qui inonde son sexe.

Des phalanges montent au front, décollent les grandes lèvres, débusquent le clitoris. En quelques minutes, l’action des doigts et celle de la bouche, parfaitement coordonnées, propulsent la plantureuse dans les affres du plaisir sensuel, son mont de Vénus pulse.

Lorsqu’elle rouvre les yeux, Iris dépose des baisers à l’intérieur de ses cuisses afin d’accompagner son retour d’orgasme tandis que la coquine Karen, ne pouvant résister au cul offert en levrette devant elle, enfouis son appendice entre ses fesses.

Mais leur amie n’aura pas apporté son double dong pour rien, qu’on se le dise, aussi Karen s’en saisit, invite Iris à s’allonger à son tour, laissant ses deux complices s’embrasser à pleine bouche. Elle humidifie l’une des deux extrémités du sextoy, léchant le bout comme elle l’aurait fait avec une vraie et bonne queue humaine.

Sa salive coule, elle crache sur la moule idéale et déjà mi-close d’Iris et y glisse, centimètre par centimètre, le fantastique olisbos souple et chatoyant. Le jouet va et vient lentement, mais la position n’est pas pratique, d’une claque sur le cul, Karen demande à Iris de se retourner en levrette. La belle blonde obéit et fournit sa jolie vallée écartée sans difficulté.

Mélissa rejoint alors les abords de la croupe, qui exhale des parfums lourds et capiteux d’une femme en chaleur. Tour à tour, tout en s’embrassant langoureusement, chacune s’empare du pénis siliconé et baise la fente rose. La chatte mouille, tremble, frémit, le vagin s’inonde de liquide qui gicle par saccade au gré des pénétrations plus ou moins profondes qu’il subit.

L’orgasme survient, la conque émet un doux mascaret, un long frenchkiss s’interrompt, les deux officiantes désirant scruter dans les moindres détails les contractions des nymphes, accompagnées de celles de la petite étoile anale juste au-dessus.

Les hostilités générales vont alors se déchaîner. C’est une véritable mêlée à trois qui s’ensuit ! Le double dong va enfin pouvoir offrir aux trois femmes toute l’ampleur de son talent. Deux par deux, les sublimes créatures s’étendent dos à dos, tendant leurs fesses, cambrant leurs reins, laissant l’un des glands emplir la chatte de l’une, leur troisième complice guidant le bout opposé vers la fente de l’autre.

La double pénétration est idéale, chacune chaloupant son bassin sur un rythme décalé. La longue tige souple entre là, sort d’ici pour repartir en sens inverse et finir par avoir raison de la résistance des deux participantes, l’orgasme de l’une déclenchant, dans la foulée, celui de l’autre.

Les partenaires changent, des cunnilingus sont dispensés, des caresses, des baisers sensuels sont échangés. Karen, Mélissa et Iris prennent leur temps, elles ont tout l’après-midi pour user et abuser de leurs corps splendides et bronzés. Rien ne sert de courir, il faut jouir à temps !

Les pulpes des fines mains effleurent les mamelons, les bouches se soudent, ici on pince le bout d’un sein, là on dépose une fessée mutine sur un petit cul tendu, jusqu’à ce que le désir de joies plus profondes se fasse ressentir.

On écarte alors un lobe mouillé, on cherche le trou offert, parfois une poigne gouverne la caresse vers un orifice plus serré, c’est ainsi que Mélissa, la plus gourmande et la plus dévergondée, réclame que ses amies la baisent et l’enculent en même temps avec le jouet.

Son vœu est exaucé. Quelques secondes plus tard, la longue queue artificielle se recourbe sur elle-même. C’est Karen qui prend la direction des opérations « côté chatte », Iris, elle, s’attaque à la face nord et fait pénétrer lentement le gland, lubrifié auparavant, dans l’anus de la brune aux yeux écarquillés.

Voilà les deux extrémités en elle, ces deux fac-similés de pénis la possèdent doucement. Le petit trou est dilaté, la mouille abonde maintenant, les va-et-vient se font plus francs, plus profonds. Une langue se perd sur le clitoris, ses seins sont malaxés, elle ne sait plus par qui, non plus que laquelle de ses deux amies lui mange si bien l’entrejambe, trop tard, l’orgasme, de nouveau, la chavire, elle crie, s’affale aux côtés de ses amantes, la soirée va être aussi interminable que délicieuse…

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