Vacances outre « reins » !
25 août 2025Nicolas, 57 ans, est un homme généreux ! Lors d’une baise BDSM intense dans la capitale Allemande, il va partager sa femme avec un bel homme !
Nicolas nous fait part de son histoire de sexe amateur avec sa femme et un inconnu !
Les années quatre-vingt, cela semble à des années-lumière, mais lorsque je jette un œil à mes archives photo, cette décennie était folle, surtout en Allemagne !
La sexualité, entre autres, avait atteint un niveau de liberté inconnu en France. Les clubs étaient des temples où la musique, la danse et la baise avaient tous les droits.
Le sadomasochisme, on ne disait pas encore BDSM, était monnaie courante et les « initiateurs » étaient pléthore à Berlin.
Micheline et moi étions avides de nouveautés.
L’été quatre-vingt-trois, avant notre mariage, nous sommes partis nous encanailler dans la capitale allemande, et c’est là que nous avons rencontré Hans, la trentaine, une assurance et un charisme terrible.
Du BDSM dans la cuisine !
Ma future femme en a été dingue immédiatement et a cédé à toutes ses envies ! Je me souviens particulièrement de cette séance dans sa cuisine.
Pour veiller au bien-être de ma presque moitié, je lui avais demandé régulièrement si ça allait et si elle était toujours d’accord.
À chaque fois elle avait acquiescé, quand elle n’en demandait pas encore ! Voilà comment cela s’est déroulé…
Après avoir déshabillé ma moitié, nous l’avons privée de son ouïe et de sa vue. C’était l’époque des Discman, les oreillettes, du ruban adhésif et le tour était joué !
Les chevilles et les poignets de ma promise ont été entravés par reliés par des chaînes.
Micheline a été « préparée » ? Un bon léchage en règle de ses seins, de son minou et de son anus a précédé l’application d’une sévère dose de lubrifiant sur ses orifices.
Son cou a été ceint d’un collier de soumise. Je ne m’attendais pas à ce qui allait suivre.
Un sac plein de surprises !
Hans a fouillé dans un sac en toile et en a sorti un attirail que je n’avais encore jamais vu auparavant, un énorme gode gonflable et ce qu’on appelle aujourd’hui , également pneumatique.
Les deux jouets noirs ont été introduits, le premier dans la chatte de ma femme, déjà en pâmoison et le sexe dégoulinant d’une mouille odorante.
Le second, a été introduit dans son œillet qui s’est dilaté de plus en plus lorsque le moteur, relié au secteur, s’est mis en marche et a considérablement augmenté la grosseur du sextoy anal.
Déjà à ce stade, ma future gémissait et sa langue, battant dans le vide, appelait un vit à sucer, elle n’en pouvait plus et était au bord de la jouissance.
Il a suffi qu’Hans, ayant pris soin de baisser le volume de la musique dans le casque, dise « On va baiser cette belle petite salope maintenant ! » avec son fort accent allemand, pour déclencher son premier orgasme.
Il m’a tendu l’énorme jouet en forme de bite et m’a indiqué le vagin de ma belle promise. J’y ai introduit l’olisbos et lui ai impulsé des mouvements de va-et-vient.
Dans la seconde, Hans me prenait le poignet et me forçait à m’activer avec beaucoup plus de vigueur.
Hésitant au début, j’ai fini par y aller à fond devant les cris de plaisir de Micheline, qui s’est très vite arrêtée de vocaliser son bonheur, la queue de notre hôte s’étant profondément plantée dans sa gorge.
Une baise à 3 intense
S’en est suivi une véritable baise par la bouche. Micheline avait de la salive et de la mousse qui lui coulaient sur le visage, gémissant de plus en plus fort, j’ai encore intensifié mes allers-retours dans son sexe béant.
Elle a été foudroyée par un orgasme d’une force que je ne lui avais jamais connu.
Nous lui avons accordé un bref répit, son corps tout entier tremblait, mais elle en a réclamé plus. Hans et moi avons inversé nos places.
Ma queue et mes bourses se sont retrouvées sucées et léchées par ma moitié, tandis que notre Teuton de maître la prenait profondément !
Svelte et visiblement plus sportif que moi, il a démonté Micheline jusqu’à l’extase, ma femme perdant totalement pied et se mettant à hurler tant le plaisir était puissant.
Guidée par nos quatre mains, elle s’est redressée et a été mise à notre disposition, debout, le torse allongé sur la table de la cuisine, le cul ouvert à toutes nos folies.
Une sodomie foudroyante
Il aurait été impensable de ne pas l’enculer à cet instant précis et c’est ce qu’a fait Hans avec aussi peu de délicatesse qu’il l’avait baisée par la chatte !
J’avais déjà pris le petit de Micheline, mais avec grand luxe de douceur et de précautions. La sodomie à laquelle j’ai assisté n’avait, quant à elle, rien de romantique.
Le pieu germanique s’est enfoncé dans l’œillet clair d’une traite.
J’ai vu les couilles s’écraser contre la motte rougie et, dans la seconde qui suivait, une pluie de coups de reins s’est abattue, fouillant et écartelant le sphincter d’une Micheline transfigurée en une madone du sexe.
Une déesse que seule la délivrance de l’orgasme pouvait apaiser.
Nous avons fini par lui éjaculer dans la bouche, elle a dû garder longtemps nos semences dans son palais avant de tout avaler.