Proximité amicale

Bref, ce sont deux copines de ma bande de potes et on s’est toujours un peu tournés autour. Et voilà qu’à la dernière soirée un peu arrosée, c’est parti en cacahouète, au risque de challenger notre amitié comme pas permis ! Ce soir-là, j’ai dansé avec Ella et je ne sais pas pourquoi, elle a dû sentir mes phéromones, mais elle ne m’a pas lâché.

Elle a mis ses mains autour de ma nuque et m’a attiré à elle. Nos bouches se sont rapprochées dangereusement, sous les yeux écarquillés de sa jumelle, qui nous a pris tous les deux par la main et nous a entraînés dans une pièce qu’elle a fermé...Lire la suite sur

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Jusqu’au jour où nous nous sommes sentis épiés. Pour cause, un homme qui devait avoir moins de quarante ans nous observait derrière un tronc d’arbre. « Eh la, espèce de malotrus ! » a crié George. L’homme est sorti de derrière son tronc. Il était tout gêné, mais si beau ! C’était un Apollon, grand, fort, sensuel. On en aurait mangé. Il m’a regardée avec insistance car malgré mes 61 ans, je suis toujours une très belle femme et j’ai senti que les moments où il nous avait matés avaient éveillé un très fort désir en lui. Bon esprit, je l’ai invité à se joindre à nous pour prendre l’apéro.

George m’a tout de suite vue venir et il a eu un air intrigué. Il n’a pas bronché. L’homme s’est assis à notre table et s’est détendu. Il nous regardait toujours avec insistance, car nous étions encore tout nus. À peine avions-nous pris la peine de nouer un paréo autour de nos hanches. Notre convive s’est avéré un excellent compagnon de soirée et au bout de quelques heures, il s’était lui aussi mis à l’aise. Nous pouvions désormais admirer son beau sexe qui reposait encore...Lire la suite sur interstron.ru

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L’un, Andy, devait venir me voir comme d’habitude pour une partie de baise et un autre, Léo, ne devait pas bouger d’un coin de la chambre pour nous zieuter tout du long, nous prendre en photo et se faire du bien s’il en avait envie.

Les deux étaient de mèche et cela répondait aussi bien sûr à leurs délires respectifs : Léo était voyeur, et Andy exhib comme moi. Andy est un bel homme aux cheveux et aux yeux très noirs et à la peau brune. C’est un de mes préférés et je sais que moi aussi je lui plais pas mal avec mon corps mince, mon joli visage, ma chatte poilue qu’il adore… Bref, nous nous amusions bien et nous étions le duo parfait pour réaliser ce scénario.

Andy a sonné à la porte et je l’attendais déjà sur mon matelas, à poils. Léo était déjà installé. Il est entré, a vu Léo assis en tailleur face au lit de l’autre côté de la pièce et moi, à l’aise, la chatte à l’air. Il a eu un instant d’hésitation et puis il a souri. Il avait très envie de moi, et encore plus sous cet oeil de pervers-mateur. Je savais que ça allait le faire délirer ! Moi aussi, je voulais qu’il vienne tout de suite à mes côtés, qu’il s’allonge et qu’on baise à cœur joie. Andy m’a rejoint sur le matelas et il m’a...Lire la suite sur

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Pour les lecteurs et lectrices d’Union, je vais raconter cette envie de me montrer qui m’excite au point d’arriver parfois à un orgasme, voici mon histoire porno. Bien que je ne planifie jamais de dévoiler ce que je porte sous ma jupe, j’ai un petit scénario pour le dimanche, si le temps le permet. Dans ma ville se trouve un très grand parc (dont je tairai le nom). Arbres, pelouses, bancs, un petit havre de paix loin des voitures et du bruit. D’un côté du parc, des familles se réunissent. De l’autre, pas d’aires de jeux, pas de roulottes de confiserie, ni de crêpes, ni de glaces, pas de manèges, pas d’animaux, pas d’enfants qui jouent et crient. Tout mon confort pour lire un livre et m’adonner à ma passion : montrer ce que je porte sous mes vêtements.

J’y vais toujours habillée en jupe avec de beaux dessous, qu’il m’arrive d’ôter si les rayons du soleil peuvent venir caresser mon entrejambe. Je conseille vivement aux lectrices d’interstron.ru d’essayer.Le dimanche, jamais aux mêmes...Lire la suite sur interstron.ru

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Avec mon mec, Félix, on prenait l’air dans notre commune pendant le second confinement. C’était un peu morose et il faut dire qu’on s’emmerdait un peu à la maison, coincés entre quatre murs. D’autant que nous avons l’habitude de faire la fête et de nous marrer à plusieurs, notamment sur le plan sexuel. C’est alors qu’il est arrivé un truc inattendu. En bordure de la rivière qui coule aux abords de la ville, nous avons vu un jeune type d’à peu près mon âge, dans sa vingtaine, tout jeune et très mignon. Et le bougre, assis sur un banc, avait sa bite à la main et il était en train de s’astiquer ! Certains n’ont pas peur de vivre dangereusement, ni de se prendre une amende…

J’ai regardé Félix et étouffé un rire. Le jeune type, hyper gêné, a sursauté en remballant son paquet. “Oh t’inquiète pas, c’est pas nous que tu vas choquer !”, a dit mon mec. “Alors comme ça, le confinement est solitaire ?” ai-je lancé, avec un côté allumeuse qui s’était direct allumé. Il a répondu qu’il était chez ses parents et qu’il était mal à l’aise pour se soulager sous leur toit. Mon mec m’a regardée en n’en pensant pas moins. Nous lui avons proposé de faire un bout de chemin avec nous. Le pauvre était tout rouge mais il ne perdait pas le nord : il n’arrêtait pas de loucher sur moi, le coquin ! Ça avait tendance à me mettre le feu au cul, tiens !

Imperceptiblement, nous nous sommes rapprochés de notre appartement et, une fois en bas, nous avons invité l’inconnu, qui s’appelait Ludo, à grimper dans notre chez-nous. Il nous a suivi, un peu timide mais fort intrigué. Il n’arrêtait pas de mater le cul en montant les escaliers. “Sois patient…”...Lire la suite sur interstron.ru

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J’ai découvert les histoires de sexe d’interstron.ru sur le tard (j’ai cinquante-trois ans) grâce à mon coquin de libraire dans mon petit village des Vosges.

C’était l’hiver dernier, le confinement ayant tout paralysé pour ce qui est des sports d’hiver entre autres, je me suis reportée sur la lecture. Quoi de meilleurs qu’un bon livre au coin d’un feu de cheminée avec un thé ou un chocolat brûlant ?

Jamais je n’aurais, ne serait-ce qu’un instant, pu imaginer à quel point la littérature allait me permettre de m’évader et transformer ma vie de couple à ce point. J’étais loin de me douter également que Stéphane, le propriétaire taiseux de la maison de la presse, était aussi coquin. Enfin coquin … c’est un gros cochon oui !

Mais revenons au début de cette histoire. J’ai donc commencé par écumer les rayons des nouveautés, policiers, essais politiques, philosophiques, les différents prix littéraires. A raison d’un livre tous les deux jours environ, j’ai vite siphonné cette voie. Je me suis donc remise à lire les classiques mais cela m’a rebuté ; trop de mauvais souvenirs scolaires ressurgissaient.

J’ai donc commandé deux-trois petites choses mais surtout j’ai été flâner sur le web. Ne vous méprenez pas ! Non pour y commander mais pour voir ce qui pouvait m’intéresser, il faut avouer que les algorithmes de ces sites marchands sont fichtrement efficaces pour percer à jour vos préférences et, par recoupements, vous proposer des choix qui correspondent idéalement à vos goûts.

C’est ainsi que je me suis intéressée aux ouvrages érotiques, j’avais adoré certains bouquins un peu chauds lorsque j’avais une vingtaine d’année, je m’étais d’ailleurs essayée à quelques nouvelles mais sans jamais les faire lire à personne. Et là, un joli livre à la couverture orange...Lire la suite sur

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Le samedi matin, nous nous sommes réveillés dans le lit de la location que nous avions réservée. Nous étions bien, le lit était vaste, tout tenait dans une seule pièce : un très grand séjour avec un coin lit, une baignoire au milieu du salon et de grandes fenêtres qui donnaient sur une jolie esplanade. Inutile de vous dire que nous avions déjà baisé une bonne partie de la soirée de la veille en nous positionnant près de la baie vitrée, à me faire prendre en levrette contre la paroi fraîche du carreau, mes seins écrasés sur ce mur transparent qui permettait aux quelques passants du soir de nous mater en train de nous adonner aux plaisirs de la chair.

Nous nous étions couchés fourbus, éreintés par nos ébats de la nuit. Je me suis donc réveillée dans ses bras et il a commencé à me caresser les seins à nouveau, à m’embrasser. Le corps chaud de mon amant s’est collé contre moi et j’ai senti sa grosse queue contre ma jambe. Il s’est mis à caresser mes tétons de manière très stimulante, en asticotant tendrement mes terminaisons nerveuses. Nos langues se sont mélangées amoureusement, j’ai sucé ses lèvres et lui les miennes, et sa trique était de plus en plus dure contre mon cul, tellement que j’ai eu envie de le branler pour bien le voir en action. J’ai empoigné son vit pour me mettre à le stimuler avec autant de soin que possible, tandis que sa main libre s’est mise à doigter l’intérieur de mon vagin d’une manière...Lire la suite sur interstron.ru

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