Pimenter sa vie sexuelle – | interstron.ru

Les positions préférées des hommes et des femmes | interstron.ru

Sorelle Spet — Thu, 22 Jul 2021 09:00:06 +0000

Le monde du sexe regorge de positions à tester avec son partenaire. La légendaire bible du sexe, le , propose à elle-même une multitude de positions différentes. Imaginez tout ce qu’il est possible de faire, si on laisse place à notre imagination ! La plateforme s’est intéressée au sujet. Elle a mené une enquête sur les goûts et les fantasmes sexuels. Le sondage s’est fait sur une portion de 2000 personnes dans toute l’Europe et les États-Unis, pour connaître les habitudes des couples en matière de sexualité. De la levrette au missionnaire, en passant par l’équerre, quelles sont les positions favorites des répondants.

Le top 10 des positions préférées

La levrette : la star de cette étude à 35%. En même temps il faut avouer qu’elle offre une vue plongeante sur les atouts du partenaire. Elle permet de se détacher du regard de l’autre et réveille tout ce qui a de plus bestial en nous, aussi bien chez les femmes que chez les hommes (oui, oui, pas besoin de faire les timides)
Le missionnaire : il séduit 22,5% des répondants. Cette position offre une proximité des corps propice à la tendresse, au romantisme. Facile à réaliser, il est parfois très utile pour les paresseux, qui se feront un plaisir de se glisser sous leur partenaire, pour se laisser faire.
L’Andromaque : à 19,4% , la position...Lire la suite sur
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Une étude qui permet de classer les zones érogènes | interstron.ru

La rédaction — Sat, 17 Jul 2021 10:00:15 +0000

Sujet important en sexologie, les études sur les zones érogènes restent cependant trop rares. Que ce soit du côté des hommes ou des femmes, le corps réagit à différentes stimulations sensorielles. Développer un plaisir érotique va au-delà des zones érogènes primaires: pénis et testicules chez les hommes ; clitoris et vagin chez les femmes. C’est ce qu’une étude publiée dans la revue internationale de neurosciences Cortex, tente de prouver.

Les corps regorgent de surprises

Un article du s’est intéressé à la genèse et à la portée de cette étude sensorielle.

Le Pr Oliver Turnbull, neuropsychologue de l’université de Bangor et ses collègues de l’université de Swansea (pays de Galles) et de l’université de Johannesburg (Afrique du Sud) ont interrogé 300 hommes et 500 femmes en leur demandant de noter sur 10 l’intensité de l’excitation sexuelle que leur procuraient 41 zones de leur corps. La plupart des personnes interrogées venaient d’Afrique sub-saharienne (53 %) et des îles britanniques (33 %), et une majorité se déclaraient hétérosexuelles (84 %).

Du côté des femmes, six...Lire la suite sur interstron.ru

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Et si les femmes étaient aussi précoces ? | interstron.ru

Sorelle Spet — Sun, 11 Jul 2021 09:00:51 +0000

Être précoce n’est pas exclusivement réservé aux hommes. Les études sont beaucoup moins denses du côté des femmes mais cela ne signifie pas que ce phénomène ne les concerne pas…

Comprendre l’orgasme précoce

Bien que les études soient rares à ce sujet, certains chercheurs se sont tout de même intéressés de près ou de loin à ce phénomène. Selon : « dans leur rapport publié en 2003, H.I Kaplan et B.J Sadock, deux sexologues réputés, y consacrent deux brèves lignes, en estimant la fréquence d ’orgasme féminin prématuré à 10%.« .

En 2011, des chercheurs portugais se sont également penchés au sujet. Leur enquête nommée « « , se basait sur les retours de 510 femmes âgées de 18 à 45 ans. On y apprend que 4 femmes sur 10 avaient occasionnellement ou rarement un orgasme trop rapide et 16,9% souvent ou toujours. Parmi elles, près de 14% se plaignaient d’un manque de contrôle sur leur orgasme et 41% rarement. Certaines se plaignaient même de jouir avant pénétration ou après une stimulation, même très légère.

, médecin sexologue à Nice, explique cet orgasme précoce de la sorte : » La justification en serait une sensibilité et/ou une perception accrue des sensations du clitoris chez certaines femmes, qui les rendraient hypersensibles, déclenchant ainsi très rapidement le réflexe...Lire la suite sur

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Sexe : 5 découvertes scientifiques étonnantes… (ou pas !) | interstron.ru

Sensuelle Estelle — Mon, 21 Jun 2021 08:00:04 +0000

Voici 5 études scientifiques aux conclusions surprenantes… Ou pas !

1. Dire à haute voix «clitoris» serait lié à une meilleure sexualité féminine

D’après une étude américaine (relayée dans ), le simple fait d’être à l’aise avec le mot «clitoris» s’associerait à une plus grande satisfaction sexuelle. Ainsi qu’à de meilleurs orgasmes. Les chercheurs estiment qu’il serait bénéfique de pouvoir parler ouvertement de sexe. Notamment lorsqu’il s’agit de nommer les endroits susceptibles de procurer du plaisir.

2. Le porno fonctionnerait plus sur les hommes que sur les femmes ?

Une de l’Académie nationale des sciences montre que les femmes ne seraient pas en reste concernant le porno. Leurs recherches avaient pour but de regarder la réaction cérébrale d’une personne, homme ou femme, lorsqu’elle regardait du porno. En fin de compte, le genre ne permettait pas de prédire le niveau d’activation du cerveau face à du porno.

3. Être ouvert d’esprit rime avec tromperie ?

Apparemment, si l’on en croit la conclusion...Lire la suite sur interstron.ru
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L’orgasme par la stimulation du clitoris | interstron.ru

La rédaction — Fri, 11 Jun 2021 16:25:30 +0000

Je viens d’avoir 20 ans. Cela fait un an que je suis avec mon copain. Malheureusement, je n’ai eu que quelques orgasmes, et tous étaient vaginaux. Je me demande si c’est normal de ne jamais avoir eu d’orgasmes clitoridiens. Les caresses du clitoris me donnent du plaisir, mais jamais jusqu’à l’orgasme. Pourriez-vous m’aider et me donner des conseils ‘

Vous faites partie d’une catégorie féminine assez rare, disons-le,qui arrive plus facilement à jouir par la stimulation interne du clitoris. La plupart des autres femmes décrivent le contraire.

D’ailleurs, cela convient en général moins bien aux hommes, qui préfèrent voir les femmes jouir vaginalement. Cela flatte leur ego puisqu’ils sont très actifs dans le cas d’un rapport avec pénétration.On peut néanmoins se poser une question de base, à laquelle il vous faudra réfléchir : votre copain est-il votre premier partenaire ou non ? S’il n’est pas le premier, il serait bon de savoir si vous aviez le même souci avec les autres garçons.

En effet, comme il n’existe pas de raison purement physique pouvant expliquer ce que vous décrivez, il n’est pas impossible que la technique utilisée par votre ami pour vous procurer des sensations clitoridiennes externes plus excitantes soit à perfectionner, et que ce soit là l’explication à votre incapacité à atteindre l’orgasme par ce moyen. Pratique-t-il le cunnilingus, par exemple ? Auquel cas, il suffit de se documenter, par exemple dans des livres ou des vidéos à but éducatif, et de chercher ensemble ce qui vous convient le mieux.

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Existe-t-il une limite à la jouissance ? | interstron.ru

La rédaction — Fri, 28 May 2021 12:00:30 +0000

Âgée de 35 ans, j’ai une vie sexuelle riche et épanouie. Je me sens très bien dans ma peau et j’ai la chance de connaître des orgasmes de qualité. C’est d’ailleurs l’objet de ma question. J’ai en effet pu constater qu’au fil des années, mes orgasmes étaient toujours différents, plus ou moins violents, selon le partenaire et les circonstances. J’en viens donc à me demander s’il est possible de savoir si l’on a déjà connu « l’orgasme maximal ». Malgré des jouissances énormes, je me demande toujours si je ne peux pas aller plus haut encore. En résumé, existe-t-il une limite à la jouissance ? Je pense que ma question vaudra aussi pour les hommes.

Vous posez là une question particulièrement intéressante. Comment en effet évaluer la qualité et le degré de la jouissance ? Peut-on envisager que celle-ci soit sans limite ?

Certes, le plaisir et l’orgasme se développent progressivement entre le début des expériences sexuelles et l’époque de la maturité sexuelle qui, chez les femmes, se situe aux environs de 35/40 ans. C’est souvent vers cet âge que nombre d’entre elles déclarent avoir connu leur premier véritable orgasme vaginal, qu’elles décrivent comme un « super orgasme ».

Sans oublier les femmes fontaine qui, elles, semblent avoir atteint le sommet des sommets ! Il est donc probable que vous puissiez encore progresser, tout en sachant que vous avez toutes les chances d’être en ce moment au zénith de votre sensualité. Profitez-en !

Cela dit, la course à l’orgasme et au « toujours plus » ne fait pas forcément bon ménage avec la satisfaction et l’épanouissement sexuel. A trop en vouloir, ou à en vouloir encore plus, on en vient à oublier ce que l’on a déjà !

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Pourquoi mes orgasmes sont si rares ? | interstron.ru

La rédaction — Mon, 24 May 2021 12:25:29 +0000

En quatre ans de vie avec mon compagnon, je n’ai connu que deux orgasmes. Ce n’est pas faute d’essayer, car il s’occupe de moi pendant près de deux heures, souvent sans résultat. Je suis davantage clitoridienne que vaginale. Est-ce normal que je ne prenne pas de plaisir ? A l’âge de 16 ans, j’ai subi un attouchement sur les seins de la part de mon père. Pensez-vous que cela puisse être la cause de mon problème ?

Les attouchements et les abus sexuels commis par des adultes, notamment ceux de sa propre famille, peuvent avoir de terribles conséquences sur la sexualité future de l’enfant ou de l’adolescent. Il ne faut pas oublier non plus (on ne le dit pas assez) que l’orgasme est moins facile chez la femme que chez l’homme et ceci est particulièrement vrai de l’orgasme vaginal. Car, si je comprends bien votre lettre, vous parlez de la faible fréquence de l’orgasme lors de la pénétration vaginale.

Il semble que vous n’ayez pas de mal à jouir par la stimulation du clitoris, puisque vous dites être plus clitoridienne que vaginale. Dans ce cas, il ne faut pas se mettre martel en tête et prendre ce que la nature vous donne. Les femmes ayant la chance (eh oui, la chance !) d’avoir deux organes de jouissance au lieu d’un, il faut profiter du plaisir facilement accessible et ne pas vous sentir diminuée si la paroi de votre vagin, qui est beaucoup moins sensible que le clitoris, répond moins bien aux stimulations. Attention à un mal moderne : la tyrannie de l’orgasme.

Après n’avoir quasiment pas eu le droit de jouir sous peine d’être considérées comme des « salopes », les femmes modernes ont maintenant obligation de devoir...Lire la suite sur
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Jouir et éjaculer : c’est la même chose ? | interstron.ru

La rédaction — Thu, 20 May 2021 12:25:29 +0000

Bonjour docteur, je me demandais si jouir et éjaculer signifiant la même chose. Je voudrais savoir s’il est possible qu’un homme jouisse sans éjaculer, surtout si le rapport dure un long moment. Et, à l’inverse, si il est possible d’éjaculer sans avoir d’orgasme. Merci pour votre réponse.

Votre question soulève un point intéressant. La plupart des hommes répondraient qu’ils jouissent au moment où se produit l’éjaculation. En fait, ce n’est pas vrai pour tous. Pour une minorité, l’orgasme peut se produire en dehors de l’éjaculation. Un homme, au prix d’un réel effort, peut réussir à déconnecter la réponse réflexe de son pénis, qui tend à faire jaillir le sperme. Ainsi, si un homme vous dit qu’il jouit sans éjaculer, vous pouvez le croire. L’inverse est également possible, parfois pour diverses raisons (fatigue, déconcentration…) la mécanique de l’éjaculation se met en route mais le système nerveux ne suit pas et l’éjaculation ne s’accompagne pas d’orgasme, ou alors d’un orgasme beaucoup moins intense.

Pour être certaine que l’absence d’éjaculation est tout de même accompagnée de jouissance, il faut poser la question à son partenaire. Car dans certains cas, elle peut venir d’un blocage psychologique ou physique. Certains hommes se retrouvent dans l’impossibilité de libérer leur sperme parce qu’ils ont voulu régler un problème d’éjaculation précoce en la bloquant, à tel point que celle-ci ne peut plus se produire. Dans ce cas, il est préférable que l’homme trouve une méthode plus adaptée pour retarder l’éjaculation.

Il ne faut pas non plus oublier l’existence de lLire la suite sur interstron.ru
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Vous avez dit masturbation féminine ? | interstron.ru

La rédaction — Sat, 15 May 2021 12:29:45 +0000

Elle permet aux femmes de mieux connaître leurs corps et ses capacités à jouir mais c’est aussi une pratique sexuelle à part entière qui offre un espace de liberté sur le fantasme et l’imaginaire.

En 1970, seulement 19% des femmes françaises avaient eu recours à la masturbation à certains moments de leur vie, 42% en 1992. De nos jours, un sondage IFOP révèle qu’elles sont 74% à s’être donné du plaisir au moins une fois seule et 52% le font très régulièrement. Malgré cette évolution, on note quand même une étonnante disparité avec les pays du Nord. Aux Pays-Bas, par exemple, plus de 91% des Néerlandaise l’ont déjà testée et pour 73%, c’est une pratique régulière qu’elles soient seules ou en couple.

La même étude IFOP souligne que les femmes qui se masturbent régulièrement jouissent également d’une sexualité plus épanouie. D’autres études tendent à dire que les femmes jouissent plus facilement en se masturbant que lors d’un rapport. Malgré cela, pour beaucoup de femmes, cette pratique reste encore honteuse.

Aujourd’hui, les sextoys et les huiles de massage ont fait une percée fulgurante dans cette activité sexuelle avec plus de 45% des femmes qui en utilise régulièrement. D’autres utilise le pommeau de la douche, un plumeau, une bouillotte d’eau chaude ou tout simplement leurs doigts.

Pour Jane Hunt, la masturbation féminine offre de nombreux effets bénéfiques : « Elle aide à se détendre, à...Lire la suite sur
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Plan à trois entre amis : une bonne idée ? | interstron.ru

La rédaction — Mon, 10 May 2021 16:00:06 +0000

Tout d’abord, merci beaucoup : ma libido a pulsé depuis que je vous lis. Je me pose des questions sur le triolisme : mon fantasme serait de combler une femme avec ma langue, de lui lécher le bouton tout en faisant l’amour avec mon compagnon. Vaut-il mieux vivre cela avec une amie, ou bien avec quelqu’un que je ne verrais que pour ça ? Et comment savoir si je suis prête ? J’ai peur aussi qu’après ce genre d’expérience, mon chéri ne soit plus excité quand on se retrouvera juste à deux. Qu’en pensez-vous ?

Il n’y a pas de réponse unique à ces questions : c’est à chacun de trouver ce qui lui convient. Pour certains ou certaines, le mieux est de garder ses envies sous forme de fantasmes. La seule pensée de ces pratiques est excitante et suffit à pimenter les ébats. Dans ce cas, se forcer à concrétiser le fantasme peut créer des problèmes au sein du couple. Pour d’autres, les fantasmes sont mis en pratique et tout se passe bien. Ils continuent à être excités dans des situations plus « classiques ».

C’est donc à vous de voir si vous vous sentez prête, si vous avez vraiment envie de concrétiser les choses. Avant de vous lancer, soyez aussi certaine que votre compagnon en a réellement envie et qu’il ne fait pas ça simplement pour vous faire plaisir. Enfin, en ce qui concerne le fait de choisir une amie ou une inconnue pour un plan à trois, il n’y a pas de règle.

Au plus, peut-on dire que le faire avec une amie est sans doute un peu plus délicat à gérer au quotidien : il ne faudrait pas que cela provoque de la jalousie ou des désaccords entre elle et vous, ou entre votre compagnon et vous. Mélanger l’amitié et les relations sexuelles n’est pas donné à tout le monde et se révèle souvent...Lire la suite sur interstron.ru
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