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]]>Le fétichisme de la petite culotte portée – au Japon, burusera – est entré dans les mœurs à un tel point que, dans les années 1990, des hommes d’affaires ont eu l’idée d’installer dans la rue des distributeurs de culottes portées. Très vite, plus d’une centaine de ces distributeurs ont vu le jour dans la capitale du pays (Tokyo), ce qui a obligé les autorités à intervenir pour demander leur suppression.
Mais le commerce de la petite culotte portée ne s’est pas arrêté pour autant et se poursuit dans de nombreux sex-shops. Au Japon, on distingue trois types de fétichisme liés aux petites culottes portées par les lycéennes et les étudiantes. Le panchira est juste une forme de voyeurisme dont les adeptes prennent plaisir à regarder les petites culottes sous les jupes des jeunes filles. Le kagaseya, quant à lui, est le fait de prendre du plaisir à respirer les effluves d’une culotte qui a été portée, un ou plusieurs jours, par une demoiselle nippone. Mais le sport qui remporte un vif succès de nos jours, c’est le namasera : la jeune fille polissonne enlevant devant le client la culotte qu’elle porte pour la lui donner en main propre.
En France, le commerce des petites culottes portées a pris un réel essor depuis quelques années, grâce notamment à Internet. Pour de nombreux scientifiques et sociologues, il ne s’agit pas du tout d’une perversion ni d’une...Lire la suite sur interstron.ru
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