Je m’appelle Aymeric, j’ai trente-deux ans, et j’habite près de Cergy-Pontoise. Je suis fils unique. Un week-end, on a fait des repérages dans le parc du Vexin avec ma cousine Hélène. On voulait organiser un grand barbecue pour les soixante ans de mariage de nos grands-parents.

J’aime bien ma cousine. Elle est un peu hippie, tout le contraire de moi, je suis gardien de la paix. Elle fait des études de sociologie. Ce jour-là elle était particulièrement enjouée. Elle avait mis une robe toute mini qui laissait voir ses fesses à chacun de ses pas. Le tissu de sa robe était tellement léger que je voyais ses gros seins lourds rebondir en cadence. C’est là que, pour la première fois, j’ai compris que ma cousine était bonne.

On a trouvé une grande étendue bien tranquille, j’ai pris des photos pour pouvoir les montrer à nos parents respectifs. Elle m’a proposé de faire une petite pause et a étendu une nappe sur le gazon. Elle s’est assise, je l’ai prise en photo. Je lui ai dit : « Vas-y fais voir tes seins pour rigoler. » Elle m’a jeté un regard en coin et a ôté sa robe.

Elle a commencé à se passer de la crème sur tout le corps, j’avais une demi-molle. Elle ne me regardait pas, elle matait son joli corps harmonieux. Je lui ai demandé si elle voulait que je lui passe de la crème dans le dos, elle a dit oui. Je me suis agenouillé derrière elle et je lui en ai mis. J’en ai profité pour me frotter un peu. J’avais une érection en bonne et due forme. Comme elle ne protestait pas, j’ai continué.

Je me suis mis à la peloter, à la palper, comme si j’effectuais une fouille au corps. Puis j’ai passé la frontière de sa culotte et...Lire la suite sur

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Je comptais profiter également de ma solitude pour me donner un peu de plaisir (la mer et le soleil ont chez moi un pouvoir aphrodisiaque incroyable !). Heureusement que Florent ne me prenait pas la main dans le sac !

« Ils sont partis faire un tout des Embiez et manger un morceau ! – m’a lancé Florent en grimpant sur le bateau – J’espère que je ne te dérange pas ? »

Le skipper était un beau gabarit à l’accent chantant et à la peau tannée par les années passées sous le soleil des calanques. Depuis le début de notre périple en bateau, il me faisait du rentre-dedans, jouant le conquérant des mers et me gratifiant de petits regards « assassins ». Il n’était pas trop mon type de mec, mais vous savez ce que c’est, le soleil aiguise les sens…Surtout chez moi !

« Je leur ai indiqué un bon resto à côté de l’embarcadère…Ils en ont pour un petit moment ! », m’a glissé Florent avec un regard malicieux. Je le voyais à peine arriver avec ses grosses...See more pictures on interstron.ru

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