Pour les lecteurs et lectrices d’Union, je vais raconter cette envie de me montrer qui m’excite au point d’arriver parfois à un orgasme, voici mon histoire porno. Bien que je ne planifie jamais de dévoiler ce que je porte sous ma jupe, j’ai un petit scénario pour le dimanche, si le temps le permet. Dans ma ville se trouve un très grand parc (dont je tairai le nom). Arbres, pelouses, bancs, un petit havre de paix loin des voitures et du bruit. D’un côté du parc, des familles se réunissent. De l’autre, pas d’aires de jeux, pas de roulottes de confiserie, ni de crêpes, ni de glaces, pas de manèges, pas d’animaux, pas d’enfants qui jouent et crient. Tout mon confort pour lire un livre et m’adonner à ma passion : montrer ce que je porte sous mes vêtements.

J’y vais toujours habillée en jupe avec de beaux dessous, qu’il m’arrive d’ôter si les rayons du soleil peuvent venir caresser mon entrejambe. Je conseille vivement aux lectrices d’interstron.ru d’essayer.Le dimanche, jamais aux mêmes...Lire la suite sur

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Dans mon village, j’ai un couple d’amis dont le mari cultive un grand jardin. Il est très généreux avec ses produits. Très souvent, il me dépose des légumes et des fruits, ou alors, il m’appelle pour que je passe en chercher chez eux. C’est très gentil, mais cela me gêne toujours un peu parce que je ne sais pas comment retourner la faveur…

Et donc, ce fameux jour de l’été 2015, alors que l’on était en train de discuter tous les trois, je leur ai demandé comment je pourrais leur rembourser ma « dette » de fruits et légumes. C’est sa femme qui a pris la parole : « Peut-être une petite pipe ? » Il y a eu un grand blanc dans la discussion à ce moment-là, je ne vous le cache pas. Elle a ajouté ensuite : « Je rigole ! » Mais ce n’était pas très convaincant… Le petit malaise est passé et je suis rentrée chez moi, un peu troublée.

J’y ai beaucoup repensé ensuite et je me suis même caressée en pensant au sexe tendu de ce généreux voisin. Il est vrai qu’il avait 10 ans de plus que moi, mais c’était un ancien sportif, qui était resté bel homme, avec ses cheveux gris et son bronzage de surfeur. Quinze jours plus tard, je me suis retrouvée seule...Lire la suite sur interstron.ru

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L’histoire que je vais vous raconter remonte à environ vingt ans. Je travaillais dans le BTP et j’avais un collègue qui, au fil du temps, était devenu un ami. Souvent, le week-end, il venait chez nous et on passait de bonnes soirées. Ma femme était de plus en plus à l’aise avec lui, elle s’asseyait sur ses genoux, lui faisait du gringue sous la table, posait ses pieds sur ses cuisses quand on jouait aux cartes, bref elle l’allumait un peu par jeu. Parfois quand on faisait l’amour et qu’elle se caressait en même temps, je lui demandais à quoi elle pensait, sa réponse était très souvent « j’aimerais faire l’amour avec deux mecs », et le prénom qui revenait souvent était celui de mon collègue.

Un jour sans aucune arrière-pensée, j’ai demandé à mon pote s’il voulait faire une journée pêche. Je possédais un petit bateau et le camping où la caravane était posée n’était pas loin. Le jour J est arrivé. On a pris un peu de retard au départ, puis sur la route, on a déposé Laurence au camping. On est arrivés au bateau et là, il était presque à sec. Que faire ? Retour au camping où ma petite femme nous préparait le repas.

On a discuté, rigolé un moment et c’est alors que l’idée m’est venue. J’ai pris ma chérie à part et lui ai dit : « Tu sais, si tu veux on peut essayer de réaliser ton fantasme aujourd’hui. » Elle m’a rétorqué que j’étais fou et que c’était juste un fantasme et qu’elle...Lire la suite sur

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Je l’ai vue dés que je suis arrivé. Difficile de la rater en même temps : elle était gaulée comme une princesse et sapée comme une meuf de discothèque. Le cocktail était idéal. Je l’ai abordée fissa. Elle se nommait Céline.

» – Pas terrible comme prénom », je lui ai dit.

» – Je t’appellerai Tabatha. Ok ?

– Oh non, ça fait grosse pouffiasse !

– Bon bon, Laure, tu préfères ?

– Oui, je vois bien où tu veux en venir, mais c’est déjà mieux… »

Elle rigolait à moitié et je la voulais complètement dans mon lit. On était en bonne voie ! Et puis, apparemment, elle avait une sacrée connaissance du répertoire pornographique, ce qui n’était pas pour me déplaire. Une chose en entraînant une autre, nous nous sommes très bien entendus…

À tel point que je lui ai proposé de faire un petit crochet par la chambre du fils de nos amis sur le chemin des toilettes (pardon Jérémy !). Elle a gloussé quand j’ai fermé la porte derrière elle. Avait-elle peur ? Pas du tout : elle m’a aussitôt roulé une grosse...Lire la suite sur interstron.ru

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C’est au cours d’un de ces après-midi que j’ai entendu du bruit dans le jardin, dans les buissons en fait. Au départ, j’ai juste cru que c’était un chat ou quelque chose dans le genre. Ce n’est que le lendemain, lorsque ce bruit s’est répété que je suis allée voir de plus près. Un jeune homme est sorti tout rouge du buisson. « Pardon Madame, je ne savais pas que vous étiez là, je m’en vais… » Surprise, j’allais lui passer un savon, lui dire que cela ne se faisait pas d’espionner ses voisins… C’est là que je me suis rappelé que j’étais nue… Lui me regardait, pas vraiment dans les yeux puisque les siens étaient bloqués sur mes seins. Quel goujat ! En même temps, son regard sur ma poitrine était fascinant. Une légère chaleur a vite commencé à m’envahir moi aussi. Être regardée ainsi, matée, reluquée, ça me faisait chaud à la chatte. Puis, j’ai vu la bosse qui déformait son short, le salaud, il bandait fort…

Je n’ai pas réfléchi, j’ai avancé une main vers son paquet que j’ai effleuré à travers le tissu. ll a gémi, j’ai tout sorti du short pour l’attraper. Ses couilles étaient bien...Lire la suite sur

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L’une d’entre elles, en particulier, a attiré mon attention. On suivait les aventures d’une belle blonde à la crinière sauvage et à la poitrine avantageuse (sans vouloir me vanter, je me suis tout de suite identifiée) qui tombait sous le charme de son jardinier. Elle passait des après-midis entières à contempler ses muscles bouger au rythme des coups de bèches et des allers-retours de sa tondeuse. La partie de baise décrite dans la nouvelle était incroyable, sa bite était démesurément grosse, jamais cette héroïne blonde n’avait autant joui de sa vie.

Mon mari m’avait déjà parlée de ce détail et je dois avouer que j’avais oublié.

Pour l’amadouer, je lui ai dit : « Hey, coïncidence amusante : je suis justement en train de lire une histoire érotique entre une belle femme délaissée par son mari et un jardinier. Sa description physique est en tout point similaire à la vôtre. » Je lui ai lu à haute voix...See more pictures on interstron.ru

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