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]]>Amélie, c’est son prénom, vit seule. Elle n’est pas vraiment mon type de femme, mais en discutant de cet ascenseur, je la découvrais sympa et amusante par sa naïveté. Lorsque nous nous croisons fortuitement, il nous arrivait de rester bien plus longtemps qu’avant à discuter de choses futiles. Par plaisanterie, Amélie me demandait souvent de lui acheter un cadeau gourmand comme un gâteau quand on se croisait alors que j’allais faire mes
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]]>Cet article Un bon coup de peinture ! est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Je devais intervenir chez un couple de quadragénaires de ma ville qui voulaient refaire la peinture de la façade de leur maison. Je suis à mon compte et malgré les préjugés concernant mon sexe, ma boîte a bonne réputation. Ce couple m’a donc appelée et je dois dire que la perspective de travailler chez eux m’enchantait car l’époux ne me laissait pas indifférente. Dès mon premier jour de boulot, c’était lui qui était présent pour me « surveiller », en train de jardiner pendant que je m’attelais à la tâche. Il échangeait des politesses avec moi tout en arrachant des mauvaises herbes, pendant que je peignais. Il était beau, bien bâti, le teint mat et le regard brillant.
Je voyais qu’il s’égayait quand j’arrivais le matin, et nous devenions complices au fur et à mesure des journées qui passaient. Moi-même je venais avec plaisir chez eux, pour le voir, même si j’ai un mari que j’aime. Cet homme-là, c’était l’aventure et l’interdit, bref, le truc classique de l’adultère. Je n’y peux rien, je suis humaine, ça m’attire comme un aimant.
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]]>Cet article Belle Hélène est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>J’étais désespéré, je venais d’avoir 60 ans et ma femme m’annonçait qu’elle en avait assez de moi et qu’elle avait envie de refaire sa vie avec un autre homme. Mon amie Hélène, 51 ans, m’avait écouté durant de longues heures et avait séché mes larmes autour de cafés que nous prenions dans ma cuisine. Plus le temps passait, plus nous nous rapprochions, et plus l’intimité grandissait. Je me sentais triste et pas à mon avantage en me présentant ainsi devant elle et, en même temps, sa bienveillance me faisait reprendre confiance. Elle me disait qu’avec mon physique et mes airs de charmeur, je revivrais bien vite des aventures. Cela me réconfortait, même si je n’en étais pas aussi sûr qu’elle. Je riais entre mes larmes et, au bout de trois mois de chagrin, je commençais finalement à entrapercevoir cette éventualité.
Un après-midi que nous étions ensemble avec Hélène, elle m’a pris dans ses bras et m’a avoué qu’elle me trouvait très beau et que tout ce temps passé avec moi l’avait remplie d’affection. Poussé par un besoin de contact et de câlins, je l’ai faite asseoir sur mes genoux. Elle m’a serré contre elle à nouveau et, à mon grand étonnement, elle s’est mise à déposer des baisers dans mon cou. « Ça te ferait du bien si on faisait l’amour ? », a-t-elle demandé. « J’ai envie de te prouver que tu es toujours un homme qui plaît. » « Tu es...Lire la suite sur
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]]>Cet article Mon beau fils et moi est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Bref, je me trouve souvent plus en forme que pas mal de femmes plus jeunes que moi ! Je me sens dans la fleur de l’âge, je sais ce que je veux, je connais mes désirs, et j’aime toujours autant séduire les hommes, avec lesquels je ne cesse de me sentir en position de pouvoir, car ils se pâment à mes pieds pour me mettre dans leur lit. Pour parachever la satisfaction de mon ego, j’ai le sentiment que plus j’avance en maturité, plus je plais aussi aux hommes plus jeunes, qui semblent m’apprécier à ma juste valeur avec ce regard de connaisseurs qui s’attarde sur ma croupe ou sur mon corsage affriolant. Cela me dépasse un peu, car ça a le don d’éveiller en moi des appétits libidineux impossibles à calmer.
Ces derniers jours, la tentation s’est matérialisée plus particulièrement en la personne d’Eli. C’est un problème, car Éli est le fils de mon nouveau compagnon, Éric. C’est le portrait craché du père, mais en version poulain, ou jeune étalon, si je puis dire…
Éli, c’est vraiment impossible de ne pas craquer sur lui, surtout pour une femme comme moi qui apprécie les jeunes hommes bien faits et qui ne se gêne pas pour fantasmer outrageusement sur leurs pectoraux ou leur insatiabilité sexuelle. Éli a 25 ans, un torse imberbe, le corps fin mais joliment bâti, des cheveux clairs qui ont l’air aussi soyeux qu’un pelage de chat, des yeux qui pétillent et un sourire irrésistible.
Je nourris...See more pictures on interstron.ru
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]]>Récemment, je suis tombé sur le profil de Mask_07, une jeune femme de 31 ans, avec qui le feeling est très bien passé par messages. Elle est un plus jeune que la majorité des femmes que j’avais l’habitude de rencontrer mais je me suis dit : pourquoi pas, après tout ? L’âge n’est qu’un chiffre.
Bref, nous avions convenu de nous voir la semaine suivante mais une question restait tout de même très vive dans mon esprit : je voulais connaître son style de fantasme préféré. Il m’est arrivé plein de fois de jouer les dominants avec une femme qui n’aimait pas du tout ça, et à l’inverse, d’être trop sensuel alors qu’elle avait besoin de mordant. Il fallait que je sache de quel bord elle était. Je lui ai envoyé la question, en sachant pertinemment que je prenais le risque qu’elle me réponde un truc complètement à côté de la plaque, du style un long massage sensuel des pieds (j’aime bien les massages, mais je préfère baiser), ou encore qu’on lui caresse les cheveux. Mais elle m’a encore plus étonné : elle a répondu qu’elle adorait les jeux de rôles et qu’elle aimerait beaucoup venir déguisée en étudiante. Et je ferai alors le professeur. Ça m’a beaucoup amusé, mais ça m’a aussi mis une pression de dingue. Je suis un très mauvais acteur et je ne savais pas du tout comment j’allais faire pour gérer le scénario de A à Z. Quelques jours avant qu’elle n’arrive, je...Lire la suite sur
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]]>Je suis allée dîner dernièrement chez ma meilleure amie Béatrice. Elle a 50 ans et elle a un nouveau “Jules” qui me fait fantasmer depuis des semaines. Bernard est un mec de 55 ans au corps ferme et musclé, avec de beaux cheveux argentés et un côté très séducteur qui n’est pas pour me déplaire… Cela fait plusieurs mois que je suis témoin de leur histoire et, même si je suis ravie pour mon amie, je ne peux m’empêcher de loucher sur Bernard et de le convoiter… J’ai senti que mon sentiment était assez partagé, car l’homme semblait toujours ravi quand je me joignais à eux. Notre complicité était évidente.
Lors de ce fameux dîner, il y avait beaucoup de convives dans l’appartement de Béatrice et celle-ci était très occupée à divertir et à s’occuper de tout le monde. Moi, je discutais avec animation avec Bernard et cela me mettait en joie. Nous dansions également. Béa ne semblait pas en prendre ombrage. Quelque part, je crois qu’elle aimait que je valide son nouveau mec et qu’elle était assez confiante sur le fait que, même si nous fricotions, c’était elle qu’il aimait.
La soirée battait son plein et je suis allée me repoudrer le nez dans la salle de bain. C’est là que j’ai entendu un léger coup à la porte. J’ai ouvert et, comme vous vous en...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Nous nous sommes retrouvés à chercher du réconfort dans le corps de l’autre. Nos bouches se sont d’abord...Lire la suite sur
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]]>J’étais donc en train de chercher un cadeau dans une boutique de vêtements pour ma compagne du moment, quand je suis tombé sur l’une de mes étudiantes, Mila ! Celle-ci était vendeuse à temps partiel dans le magasin. Je l’ai tout de suite reconnue, car elle fait justement partie des filles qui sont plutôt indifférentes face à moi, et je trouve cela plus séduisant que les groupies.
Cette rencontre nous a amusés tous les deux plus qu’elle ne nous a gênés, alors nous avons chacun joué notre rôle : j’ai décrit le corps et les mensurations de ma copine pendant que l’étudiante me montrait des fringues qu’elle posait sur elle pour me donner une idée du rendu, car les deux femmes avaient à peu près la même corpulence. C’était plutôt moi qui la draguais pour le coup, car des pensées érotiques m’avaient envahi. Son petit air arrogant me donnait envie de la voir gémir de plaisir et me supplier de la baiser. J’avais aussi l’impression qu’elle me voyait avec un œil neuf hors du cadre de la fac et que je suscitais un intérêt nouveau chez elle.
Ses petits seins pointaient sous son t-shirt, sa chevelure cuivrée mettait en valeur ses grands yeux bleus. Mon envie d’elle se faisait impétueuse, comme...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Officiellement, sa mère l’ignorait, mais elle n’était pas dupe. Elle surveillait tout de même de très près Juliette, qui était sa fille chérie.Juliette était à croquer, sa mère Florence l’était tout autant : toute petite mais assez bien proportionnée et sexy. Elle faisait beaucoup moins que ses 44 ans. Comme de son côté, Juliette faisait plus que son âge, on aurait presque pu les prendre pour deux soeurs. Elles étaient très complices, jusqu’à afficher un comportement plutôt équivoque, des mains baladeuses, de fréquents petits bisous sur les lèvres.
Quand je faisais l’amour à Juliette, je m’imaginais de façon perverse que nous le faisions tous les trois ensemble (mais hélas, la chose ne s’est jamais faite !). Déjà à deux, c’était difficile de tenir dans ma tente, aussi inconfortable que minuscule. Alors j’ai baisé Juliette partout : dans les sanitaires, dans les cabines de bain de la piscine, derrière les cuisines… Le quatrième jour, Juju m’a glissé discrètement à l’oreille : « Viens me rejoindre ce soir sous notre tente, mais fais gaffe à ne pas réveiller Maman ! » Elles occupaient une tente à deux chambres.
La nuit venue, seulement vêtu d’un slip de bain, je me suis glissé à quatre pattes dans leur tente. J’ai rampé à tâtons jusqu’à la chambre de Juliette, dans la plus totale obscurité. Ma main a rencontré un pied nu, Juliette a sursauté, je l’ai rassurée : « Chut, c’est moi, Denis ! » Son corps s’est apaisé. Mes...Lire la suite sur
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]]>Comme je passais devant sa chambre, j’ai remarqué que la porte en était entrouverte. Curieux de nature, j’ai jeté un coup d’oeil à l’intérieur. Ma tante, après avoir attaché un porte-jarretelles noir, y fixait des bas noirs à coutures. Je suis entré dans la pièce sans que ma tante proteste. Nos bouches, après quelques regards complices, se sont rencontrées. Ma tante était visiblement très excitée.
Elle n’a pas tardé à se mettre à genoux. Elle a ouvert ma braguette pour sortir délicatement ma verge depuis longtemps en érection. Sa bouche m’a happé et sa langue a fait merveille sur mon sexe. Elle m’a présenté sa vulve trempée en position de 69 que j’affectionne particulièrement. Après quelques caresses savoureuses nous avons joui l’un et l’autre. Après quelques minutes, ma verge à nouveau en «forme», c’est-à -dire bien raide, nous avons fait l’amour pendant des heures. Tout y est passé, cunnilingus, fellations, et même sodomie.
Le moment le plus intense a été celui où, prenant ma tante en levrette, elle m’a demandé de la sodomiser en même temps avec un vibromasseur qu’elle gardait dans le tiroir de sa table de nuit. La taille de l’engin a failli me donner des complexes. Il devait mesurer une trentaine de centimètres pour un diamètre...Lire la suite sur interstron.ru
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