On pourrait dater les prémices de la notion de lingerie chez les Grecs d’abord, puis chez les Romains. Ces deux civilisations très organisées et adeptes de protocoles ont banni le sein féminin de l’espace public. Et plus généralement, tout ce qui pourrait ressembler à une rondeur charnue et délicieusement généreuse. Sous leur tunique en lin ou parfois par dessus, les femmes grecques portent un bandage, une sorte de ceinture sur leur poitrine, appelée l’apodesme. Pour dissimuler les hanches et le ventre, elles utilisent le zona, une large bande abdominale.

La femme romaine ou grecque se doit d’être androgyne, et la lingerie apparaît de prime abord comme un excellent moyen de contrôle de la morphologie.

Rien ne pouvait alors présager que la lingerie, en cachant certaines parties du corps, deviendrait ce fabuleux tremplin érotique que l’on connaît aujourd’hui !

Renaissance : les débuts des dessous esthétiques

Si au Moyen Âge le sous-vêtement le plus répandu était une simple chemise de corps sous laquelle la plupart des dames vivaient nues, la Renaissance marque une vraie transition dans l’histoire de la lingerie. C’est durant cette période que l’on voit apparaître les premiers « costumes » visant à remodeler en profondeur la silhouette féminine, mais avec une finesse et une créativité qui manquait peut-être à l’Antiquité.

> Découvrez ici la vision de la sexualité au Moyen-Age !

Les premiers vertugadins, des bourrelets assez larges qui donnent aux robes une largeur exceptionnelle autour des hanches, font fureur. Ils sont très prisés en Espagne, en Angleterre et dans notre...Lire la suite sur

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Des vendeuses soigneusement suivies

Sa plus value ? Des valeurs en béton armé, qui offrent un cadre sécurisé aux vendeuses ainsi qu’aux acheteurs.

« Notre démarcation, c’est clairement la protection de « l’estime » des vendeuses. Une jeune fille qui n’est pas tout à fait sûre d’elle, par exemple qui nous demande par message si « elle a le droit de s’inscrire », c’est pour nous une alerte d’un manque de confiance en elle. Si elle nous demande la permission, c’est qu’elle n’est pas sûre… S’en suit alors un long entretien avec elle, et s’il faut la dissuader de se lancer dans l’aventure par ce qu’elle est trop fragile, nous le faisons… »

Et des vendeuses, il y en a (beaucoup) ! Mais c’est la qualité et le professionnalisme de celles-ci qui vont faire la différence, et rassurer des acheteurs qui peuvent trouver un peu de tout (et surtout du n’importe quoi) lorsqu’il s’agit du commerce « adulte » sur le web.
D’ailleurs, une relation saine et respectueuse entre l’acheteur et la vendeuse est vivement encouragée dans la...Lire la suite sur interstron.ru

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Le Japon, pays de la petite culotte portée

Le fétichisme de la petite culotte portée – au Japon, burusera – est entré dans les mœurs à un tel point que, dans les années 1990, des hommes d’affaires ont eu l’idée d’installer dans la rue des distributeurs de culottes portées. Très vite, plus d’une centaine de ces distributeurs ont vu le jour dans la capitale du pays (Tokyo), ce qui a obligé les autorités à intervenir pour demander leur suppression.

Mais le commerce de la petite culotte portée ne s’est pas arrêté pour autant et se poursuit dans de nombreux sex-shops. Au Japon, on distingue trois types de fétichisme liés aux petites culottes portées par les lycéennes et les étudiantes. Le panchira est juste une forme de voyeurisme dont les adeptes prennent plaisir à regarder les petites culottes sous les jupes des jeunes filles. Le kagaseya, quant à lui, est le fait de prendre du plaisir à respirer les effluves d’une culotte qui a été portée, un ou plusieurs jours, par une demoiselle nippone. Mais le sport qui remporte un vif succès de nos jours, c’est le namasera : la jeune fille polissonne enlevant devant le client la culotte qu’elle porte pour la lui donner en main propre.

Non, ce n’est pas sale…

En France, le commerce des petites culottes portées a pris un réel essor depuis quelques années, grâce notamment à Internet. Pour de nombreux scientifiques et sociologues, il ne s’agit pas du tout d’une perversion ni d’une...Lire la suite sur interstron.ru

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