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Comment éviter que ma copine souffre pendant la pénétration ? | interstron.ru

La rédaction — Tue, 24 Aug 2021 09:05:59 +0000

» Voilà près d’un an, j’ai fait la connaissance d’une ravissante jeune fille de 19 ans : un ange répondant au doux prénom de M. Avant moi, elle n’avait connu aucun garçon. Aujourd’hui, nous vivons ensemble et je crois que nous avons tout pour être heureux car nous sommes vraiment faits l’un pour l’autre. Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes si je parvenais à lui donner sexuellement du plaisir, mais c’est malheureusement impossible. Dès que j’essaie de la prendre, son vagin, qui la fait énormément souffrir, se contracte et rend toute pénétration impossible. Nous avons essayé différentes techniques de décontraction, notamment la respiration abdominale, rien n’y a fait. En un an, je ne suis parvenu qu’une seule fois à la pénétrer (et donc à la déflorer), et pour la circonstance elle s’était mise à califourchon sur moi. Ne voulant pas gâcher ce merveilleux moment de bonheur, je me suis contenté de quelques va-et-vient profonds, mais très lents. Par la suite, nous avons essayé d’autres positions afin de déterminer celle qui lui serait la plus agréable, mais elle a ressenti à chaque fois une vive douleur, rendant tout orgasme impossible. Depuis ce jour, tous nos essais sont restés infructueux et mon amie commence à redouter le moment du coït. Pendant un temps je suis parvenu à lui donner du plaisir grâce au cunnilingus et à la masturbation, mais un jour elle m’a dit qu’elle n’en avait plus envie. Aujourd’hui, nous culpabilisons tous les deux et nous ne voyons pas d’issue à notre problème. Aidez-nous, vous êtes notre seul espoir. »

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Célébrez la journée de la bisexualité/pansexualité ! | interstron.ru

Sensuelle Estelle — Mon, 23 Sep 2019 16:07:29 +0000

La bisexualité est à l’honneur ce 23 septembre ! Célébrée depuis 1999, cette journée a été crée par trois militantes américaines Wendy Curry, Michael Page et Gigi Raven. Le but ? Lutter contre la biphobie et l’occultation de cette orientation sexuelle.

Et la pansexualité n’est pas exclut de la célébration de la bisexualité, les deux orientations sexuelles étant étroitement liées. L’orientation pansexuelle, dont le terme est apparu en 2010, se définit comme « l’attirance, l’orientation, la pratique, ou l’absence de pratique sexuelle, vis-à-vis d’une personne, et ce peu importe le sexe anatomique et le genre de la personne. », par le sociologue Arnaud Alessandrin.

Bisexualité/pansexualité : une invisibilité accrue et un manque de reconnaissance dans la société ?

La bisexualité trouve encore difficilement sa place entre les différentes orientations sexuelles (hétérosexualité, homosexualité…). Pour certain.e.s, il est incompréhensible d’aimer et d’être attiré par les deux sexes.

Catherine Deschamps, socio-anthropologue, atteste dans que « notre société n’arrive pas à se départir d’une logique binaire qui voudrait qu’il n’existe rien entre l’homosexualité et l’hétérosexualité » La bisexualité souffre d’un manque de visibilité au sein de la sociétés et les médias n’y mettent pas du leur… Une célébrité masculine qui a des aventures homosexuels, elle sera de suite affiché comme étant homosexuelle.

L’occultation de la bisexualité est également renforcée par la pornographie : les relations bisexuelles existent seulement dans le cadre du trio avec deux hommes et une femme. En...Lire la suite sur interstron.ru

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Le vaginisme, cette phobie sexuelle à connaître | interstron.ru

La rédaction — Fri, 20 Jan 2017 11:53:37 +0000

Certains ont la trouille des aiguilles, des médecins, d’autres de prendre l’avion… Mais les phobies c’est encore tout autre chose que la peur commune ou l’inconfort. Par exemple : le vaginisme. Cette phobie se manifeste par une contraction involontaire des muscles du plancher pelvien, c’est-à-dire le tiers inférieur du vagin. Ce resserrement survient à chaque approche d’une pénétration vaginale et crée une douleur qui peut être légère, forte ou carrément insoutenable, selon les cas. Les spasmes rendent infranchissable la musculature du bassin, et une attitude de fuite s’installe.

La personne va se crisper, paniquer. La pénétration est vécue comme un acte de perforation. Mais il s’agit d’un réflexe involontaire. Souffrir de vaginisme complique beaucoup la vie sexuelle de la femme : pas de tampon, pas d’examen gynécologique et bien sûr pas de pénétration vaginale. On appelle cette phobie « primaire » lorsqu’elle survient dès l’adolescence et « secondaire » lorsqu’elle survient après une agression sexuelle, un accouchement ou une dyspareunie mal traitée. Le vaginisme ne doit pas être confondu avec la dyspareunie. Il s’agit également d’une douleur associée à la pénétration, cependant la douleur ne provient pas d’une contraction phobique de la vulve.

Le vaginisme peut être pris en charge par une ou un thérapeute qui va chercher à maîtriser la peur inconsciente par des techniques diverses telles que l’analyse, la relaxation ou l’hypnose. Au cours d’exercices et après une période pendant laquelle il sera demandé au couple de cesser...Lire la suite sur interstron.ru