Cet article Jouir et éjaculer : c’est la même chose ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Votre question soulève un point intéressant. La plupart des hommes répondraient qu’ils jouissent au moment où se produit l’éjaculation. En fait, ce n’est pas vrai pour tous. Pour une minorité, l’orgasme peut se produire en dehors de l’éjaculation. Un homme, au prix d’un réel effort, peut réussir à déconnecter la réponse réflexe de son pénis, qui tend à faire jaillir le sperme. Ainsi, si un homme vous dit qu’il jouit sans éjaculer, vous pouvez le croire. L’inverse est également possible, parfois pour diverses raisons (fatigue, déconcentration…) la mécanique de l’éjaculation se met en route mais le système nerveux ne suit pas et l’éjaculation ne s’accompagne pas d’orgasme, ou alors d’un orgasme beaucoup moins intense.
Pour être certaine que l’absence d’éjaculation est tout de même accompagnée de jouissance, il faut poser la question à son partenaire. Car dans certains cas, elle peut venir d’un blocage psychologique ou physique. Certains hommes se retrouvent dans l’impossibilité de libérer leur sperme parce qu’ils ont voulu régler un problème d’éjaculation précoce en la bloquant, à tel point que celle-ci ne peut plus se produire. Dans ce cas, il est préférable que l’homme trouve une méthode plus adaptée pour retarder l’éjaculation.
Il ne faut pas non plus oublier l’existence de l
Cet article Jouir et éjaculer : c’est la même chose ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Les pannes d’érection sont-elles les signes d’une prostate défaillante ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Comme de très nombreux hommes, vous imaginez à tort que la prostate a un rôle important dans la fonction sexuelle masculine, avec l’idée que c’est elle qui permet à l’homme d’avoir une bonne érection. Or, c’est une notion tout à fait fausse et, s’il faut faire vérifier l’état de sa prostate à partir de 50 ans, c’est uniquement pour dépister les maladies qui peuvent la concerner, telles qu’adénome ou cancer. Les signes d’un cancer de la prostate sont divers : sang dans les urines, infections urinaires à répétition, ou éjaculation douloureuses par exemple.
En revanche, le fait d’avoir des problèmes d’érection n’a rien à voir avec la glande prostatique. Cela n’a rien à voir, non plus, avec une infection urinaire, ce que vous avez eu récemment.
Si vous n’arrivez pas, ou plus, à avoir des érections correctes, c’est pour d’autres raisons, et il serait temps de faire le point avec votre médecin à ce sujet-là. Les causes des troubles érectiles peuvent être multiples : alcool, drogue, tabac, diabète, obésité… Sans oublier les facteurs psychologiques comme l’anxiété, la dépression, le stress ou encore la perception que l’homme à de lui même. Parfois, c’est dans la tête !
Cela dit, ils peuvent parfois être signe de problème plus importants. En effet, la baisse de qualité ou l’absence d’érection est...Lire la suite sur interstron.ru
Cet article Les pannes d’érection sont-elles les signes d’une prostate défaillante ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Point P : et si je me laissais tenter ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cette pratique consiste à stimuler la prostate dans le but de provoquer des sensations de plaisir sexuel différentes et considérées par certains comme plus profondes, plus diffuses et plus relaxantes. Souvent comparée au point G chez la femme, le point P n’est en fait pas du tout comparable car il ne provoque ni orgasme, ni éjaculation.
Si la prostate était surtout présentée dans sa fonction procréative, c’est une équipe médicale américaine qui à découvert que cette glande pouvait également procurer du plaisir.
La stimulation de la prostate se fait par pressions à travers la paroi rectale après avoir introduit un doigt, de préférence l’index, ou un sex toy adapté. Les adeptes de cette pratique conseillent en général aux débutants qu’il vaut mieux commencer par s’y essayer tout seul, en utilisant vos doigts, en position dite chien de fusil, ou allongé sur le dos jambes relevées.
Vous pourrez par la suite si vous le souhaitez, demander à la partenaire si elle veut bien s’y prêter. Pour éviter tout risques de blessure, soyez délicat : les muqueuses de l’anus sont très sensibles.
L’utilisation de sextoy dédiés tels que des stimulateurs prostatiques pourraient être une première découverte en douceur de...Lire la suite sur
Cet article Point P : et si je me laissais tenter ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Médecine dure est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>X. était élégant mais sobre, un peu costaud, dégarni (il avait, comme moi, la petite cinquantaine). Un notable provincial typique. Il était venu au cabinet car, récemment divorcé, il se sentait fatigué.
Pour poser mon diagnostic (un léger syndrome dépressif), je lui avais imposé une batterie de questions très personnelles. Je l’avais trouvé honnête dans ses réponses, quoique récalcitrant sur certains sujets. À ma demande sur une baisse éventuelle de libido, il était tout simplement resté mutique. J’ai compris qu’elle était sans doute au point mort.
Voilà pourquoi, au bout de 8 mois de rendez-vous mensuel, j’ai été très surprise de l’entendre me questionner ainsi : n’était-il pas en âge de faire des examens plus approfondis, que je pourrais effectuer ici, au cabinet ? Je n’ai pas compris tout de suite sa requête ; X. allait désormais mieux et n’avait pas besoin de tests. Puis j’ai remarqué qu’il rougissait. Il parlait en fait d’examens (très) intimes…
Malgré le très strict code des médecins, j’ai eu envie de pousser les limites. Les siennes, mais aussi, les miennes. J’ai demandé à X. s’il voulait que je l’ausculte tout de suite. Je ne suis pas parvenue à dissimuler un léger tremblement d’excitation dans ma voix. Mon patient a hoché la tête, avec une intensité dans le regard que je ne lui connaissais pas. Comme si l’étincelle du désir brillait à nouveau dans ses yeux. J’ai trouvé ça irrésistible.
Pendant que je couvrais le divan d’examen du drap en papier jetable, je l’ai prié de se déshabiller. Une fois en caleçon, il...Lire la suite sur interstron.ru
Cet article Médecine dure est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Cancer de la prostate, mieux vaut prévenir ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Dès l’apparition d’un ou plusieurs symptômes, il faut consulter son médecin qui pratiquera un examen et notamment un toucher rectal pour palper votre prostate. Si l’idée du doigt dans l’anus en retient certains, il ne faut surtout pas hésiter à consulter, car plus ce cancer est pris tôt, plus les chances de guérison sont importantes.
En cas de doute (prostate dure) le médecin prescrira un examen cytobactériologique des urines et une échographie prostatique, une biopsie, un test de l’antigène prostatique spécifique (APS).
Une bonne hygiène de vie permet de prévenir le cancer de la prostate. Cela passe par la consommation suffisante de fruits et de légumes. Se supplémenter en vitamine D, notamment en hiver. Avoir un apport équilibré en graisses, notamment animales. Avoir une activité physique régulière.
Les facteurs de risque sont : un apport calorique important, un apport...Lire la suite sur
Cet article Cancer de la prostate, mieux vaut prévenir ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Trans’cendant est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>J’avais vécu quelques branlettes par-ci par- là, des pipes en voiture, mais tout ça, était toujours très rapide et plutôt impersonnel. Surtout, ce n’était jamais des trans très jolies, tout était fait à « la va vite ». Elles ne parlaient pas très bien le français. J’avais toujours ce sentiment de non achevé après coup. L’été dernier, lorsque ma femme est partie quelques jours en vacances sans moi (elle en a beaucoup plus que moi), j’ai consulté sur Internet les trans près de chez moi. Toutes plus belles les unes que les autres, il était difficile de choisir et surtout d’être certain de rencontrer celle qu’il me fallait. Paola de son prénom, Italienne mais avec un français parfait me paraissait merveilleuse. Chose intéressante, elle ne se dévoilait pas sur...Lire la suite sur interstron.ru
Cet article Trans’cendant est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Le massage prostatique, c’est tantrique ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Aucun ouvrage spécialisé dans la philosophie tantrique ne mentionnerait la prostate, au même rang que le Yoni et le Lingam. Pourtant, certains ateliers tantriques en Occident l’incluent dans leur prestation. Il faut dire qu’au début du 20èmesiècle,les confusions occidentales sèment vite le désordre dans le tantrisme. Cette doctrine séduit bon nombre de curieux, en Occident, pour cette exploration sensuelle. Une popularisation s’opère, notamment grâce à la portée des médias. Et dès lors, le tantrisme se métamorphose : les pratiques sexuelles ritualisées s’affirment davantage dans ce Tantra revisité, dont le massage prostatique.
Fut un temps, le massage de ladite prostate n’était en réalité qu’un acte médical. On apprend q' »autrefois, quand les antibiotiques n’existaient pas ou qu’il n’y en avait pas beaucoup, il y avait effectivement des indications de massage prostatique contre les prostatites« , d’après l’urologue Adam Vardi, dans
Cet article Le massage prostatique, c’est tantrique ? est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Le massage du Lingam, le tantrisme au masculin est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>L’homme, dès le début de sa sexualité, est formaté dans un rôle d’acteur, où performance et endurance doivent être ses maîtres mots. Une pression sexuelle peut naître dans l’esprit des hommes, en miroir à une société qui prône le culte de la performance (avoir une bonne érection, ne pas éjaculer trop vite, faire jouir son/sa partenaire, etc.). Et dans certains cas, le plaisir sexuel finit par perdre de sa saveur. Ainsi, le tantrisme peut aider l’homme à sortir de ces injonctions.
Et grâce au massage tantrique, il expérimente aussi une découverte sensorielle. Où l’homme peut se détacher de cette conviction qu’un pénis est la seule zone érogène par excellence. Il peut ainsi trouver de nouvelles zones sensibles, susceptibles de lui apporter du plaisir. L’homme peut ainsi renouer avec sa sexualité, voire la réinventer en cultivant sa part de féminité.
D’ailleurs, le massage du Lingam permet à certains hommes d’outrepasser des blocages sexuels et/ou des traumatismes. Et tout comme l’injaculation, cette pratique tantrique serait idéale en cas de souffrance telle que
Cet article Le massage du Lingam, le tantrisme au masculin est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Masturbation : le milking prostatique est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Un milking en bonne et due forme consiste a faire pression via l’anus sur la prostate afin de la vider le plus possible et de le masturber de façon continue en même temps. Il en résulte une longue et puissante éjaculation qui procure un plaisir tout à fait différent. La partie la plus délicate vient dès le début : trouver le bon point à masser. L’emplacement et la pression de votre doigt varieront d’un homme à l’autre. Mais une fois que vous aurez trouvé ce qui le fait grimper au rideau le milking deviendra plus facile…
Il est important de rappeler à la personne qui « milke » son partenaire que la prostate, ainsi que les organes massés, sont très sensibles. Quelques recommandations sont de mise :
À lire aussi >
Cet article Masturbation : le milking prostatique est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Cet article Cancer de la prostate : des avancées significatives est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Les chercheurs apportent des bonnes nouvelles par le biais d’une étude (), avec l’annonce d’un traitement qui permettrait de diminuer de 59 % le risque de métastases ou de décès. De quoi faire évoluer les protocoles thérapeutiques.
C’est le professeur Karim Fizazi qui a testé un nouvel inhibiteur du récepteur aux androgènes, le darolutamide. Un test réalisé sur plus de 1 500 patients atteints de ce cancer et ayant déjà subi les traitements locaux traditionnels : radiothérapie, etc. Jusqu’à ce jour et une fois les tumeurs devenues résistantes aux traitements, il n’y avait plus d’autre issue, que celle d’attendre leur propagation. Il se trouve que les patients sous darolutamide ont gagné presque 2 ans sans constater aucune propagation. Le traitement semble plutôt bien toléré par la plupart des patients et l’étude montre que les effets secondaires correspondent à ceux d’un placebo (douleurs, fatigue, diarrhées).
Pour mémoire, ce cancer se situe au 3e rang des décès par cancer chez l’homme. Près de 79 % des décès concernent des hommes de 75 ans et plus. La mortalité diminue régulièrement depuis 1990. Cela s’explique en partie par l’amélioration des...Lire la suite sur interstron.ru
Cet article Cancer de la prostate : des avancées significatives est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>