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]]>Le sexe et tous ses plaisirs tiennent toujours autant de place dans leur vie. Miss et Mister, à la fois très unis et complices, ont décidé de ne se priver de rien et d’expérimenter toutes les sources et toutes les formes de jouissances. Parmi elles, la double pénétration anale et vaginale. Miss garde un délicieux souvenir de sa première “DP” :
« C’était avec un ami qui était venu passer le week-end avec nous. Nous avions déjà eu des expériences sexuelles avec lui, mais jamais aussi poussées. Le samedi soir nous avons commencé par un jeu de société très classique que nous avons pimenté façon strip-poker. Une fois nus et excités tous les trois, j’ai commencé à m’occuper de mes deux partenaires. La double pénétration est venue dans le feu de l’action. J’en avais très envie ce soir-là, Mister l’a senti et notre ami n’était pas contre… »
C’est ainsi que Miss se retrouve prise en sandwich. Elle chevauche l’ami tandis que Mister s’amuse à lui caresser l’anus avec ses doigts avant de se poster derrière elle. Tous les trois sont d’accord pour aller encore plus loin que d’habitude. Empalée sur un premier sexe, et une fois son cul bien lubrifié, elle commence à sentir le membre de son homme progresser lentement entre ses fesses. Un petit moment d’arrêt puis la queue tout entière pénètre son anus. Le plaisir est immédiat :
« J’ai adoré les sensations nouvelles ! Se sentir remplie devant et derrière, être entre deux corps, la sensation de chaleur de nos peaux qui se touchent et être prise en étau. J’ai beaucoup aimé les quatre mains de mes partenaires...Lire la suite sur
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]]>Alors que 9 fois sur dix, les rapports sexuels ont lieu dans un lit, faire l’amour dans la nature ou en plein-air reste l’un des plus grands fantasmes des Françaises et des Français à plus de 50%. 63% d’entre eux rêvent d’une plage au clair de lune, 54%, d’une petite clairière ensoleillée. Pour le sexologue Damien Mascret, l’esprit de nature rime avec celui de liberté :
« En pleine nature, c’est plus facile de se libérer des codes socioculturels et du regard d’autrui. Les portes de notre libido et nos sens sont en éveil sans effort. »
Pour Tina, faire l’amour en extérieur est un puisant cocktail de pulsions, d’excitation et d’animalité. Aujourd’hui, le plein-air reste l’un de ses terrains préférés que ce soit pour faire des photos coquines où y faire l’amour avec son mari, et pourquoi pas avec un deuxième partenaire complice. Mais c’est encore avec beaucoup d’émotions qu’elle se souvient de « sa » première fois :
« Je venais de rencontrer Tom, peu de temps auparavant. Nous étions dans une crique très sauvage du côté de Saint-Tropez. Nous...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Cet article Murielle B : «J’ai tourné un porno amateur au début des années 90» est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Pour moi, le sexe était la rencontre de deux corps. Point à la ligne. Puis j’ai rencontré Olivier. Le flirt d’un soir s’est transformé en histoire d’amour, et les mois ont glissé entre nos doigts, sans que ni l’un ni l’autre ne ressentent le besoin d’aller voir ailleurs. L’évasion, nous la trouvions autrement. Il n’était en effet par rare qu’Olivier rentre du bureau, une cassette vidéo porno amateur sous le bras. J’aurais pu m’offusquer, mais je savais qu’il s’agissait en fait d’une invitation. Nous baissions les stores, nous nous installions sur le canapé et emportés par le flot des images, nous finissions par nous masturber, puis par faire l’amour. Ces rendez-vous ont fini par donner des idées à Olivier. Ces femmes ordinaires, ces couples sans histoires dévoilant leur intimité le fascinait au point qu’il me demanda un jour de filmer nos ébats.
« Pour nous, juste nous ! » M’avait-il dit, m’assurant qu’un de ses amis pouvait lui prêter une caméra vidéo et que la cassette ne quitterait pas l’appartement. Mon refus fut catégorique. Du moins au début. Semaine après semaine, discussion après discussion, l’idée...Lire la suite sur
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]]>Cet article Chylag : sexe, vinyle et ambiance Métal est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Lety : Le plus naturellement du monde. J’étais en couple et avec mon partenaire de l’époque, nous côtoyions un autre couple avec qui nous partagions beaucoup de choses. Un soir, on s’est retrouvé à faire l’amour les uns à côté des autres, chacun avec son compagnon respectif. C’est parti comme ça et peu à peu, les choses ont évolué.
Quand j’ai rencontré Gianni, j’étais déjà libertine depuis une dizaine d’années. Lui, pas du tout. Très vite, je lui ai proposé une expérience avec un autre couple. On l’a fait, il a aimé, et du coup, on a recommencé. Et maintenant, nous faisons beaucoup de rencontres.
G : Oui, un peu ! Nous faisons quelques petites soirées, en nombre réduit bien sûr, mais les clubs et les gros regroupements, les belles orgies que nous avons déjà vécues nous manquent beaucoup.
L : Pour nous, le libertinage, c’est la liberté, le partage de tout ce qui est bon. Nous n’avons pas de tabou, peu d’interdits. J’ai été, quelques temps, une dominatrice violente, j’aimerais bien avoir un soumis pour une soirée… au bout de ma laisse. Mais si je tombe sur quelqu’un de plus fort que moi, s’il arrive à m’attraper, à bien me tenir… Sans être vraiment soumise, je peux être toute à lui.Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Cet article Leur plus bel orgasme (2) : Plan à 3 et plaisirs solitaires est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Zara est l’une de nos plus fidèles lectrices. À plusieurs reprises, elle nous a adressé les récits de ses expériences sexuelles et elle a participé à la rubrique L’interview sans tabou. Passionnée d’écriture, elle attend aujourd’hui la publication de son premier recueil de nouvelles érotiques, mais en attendant, elle a tout de suite accepté de nous parler de l’un de ses orgasmes qui lui laisse un souvenir impérissable.
L’histoire remonte à quelques années. Zara venait juste de rencontrer son nouvel amant, Hamid. Une vendredi soir, ils se retrouvent, elle et sa meilleure amie Leila, lui avec l’un de ses copains, Steven, pour un apéritif qui va vite dégénérer. Plusieurs verres de vodka, plaisanteries, allusions coquines… l’ambiance devient de plus en plus chaude :
« Au bout d’un moment, je pense que nous avions très bien compris, tous les quatre, comment la soirée allait dégénérer. Pour Hamid et moi, plus rien ne pouvait nous retenir. On s’embrassait, on se caressait, mes vêtements ont volé dans la pièce. Je me suis rapidement retrouvée à poil. Tout y est passé ! Je suçais mon copain, il me lèchait. Il me baisait par tous les trous sur la table. Bientôt, l’autre couple nous a rejoint et s’est installé pour baiser sur le canapé. C’était la...Lire la suite sur
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]]>Cet article Témoignage : Nos premières photos coquines en public est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Pour eux, l’exhibition et les séances de flashing (photos coquines dans un lieu public) font partie (presque) de leur quotidien. Chaque situation de leur vie de tous les jours peut rapidement devenir un nouveau terrain de jeu. Entre eux, la complicité est totale. Pour V., il y a une recherche permanente de surprendre son mari, quant à O., il adore la pousser à s’exhiber à tous moments et dans les situations les plus osées. Pour O., le plaisir est toujours présent :
« La montée d’adrénaline à ce moment-là est vraiment très importante. Mais ce mini stress se transforme vite en forte excitation. »
Il y a une dizaine d’années, donc, le couple se lance dans la photo coquine. Très vite, ils se rendent compte que l’extérieur offre beaucoup plus de diversité, d’ambiance et de décors différents. :
« Pour nos débuts, nous avions choisi un parc assez fréquenté. Nous nous y sommes rendus durant la pause de midi. J’étais habillée très sexy, jupe courte, bas et talons. J’étais assise sur une table de pique-nique et nous pensions être à l’abri des regards quand je me suis rendu compte qu’un homme nous regardait, il était à quelques mètres...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Cet article Témoignage : Rose et Axel, libertins et tatoués est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Axel : Nous avons toujours été très ouverts d’esprit, mais comme beaucoup de couples, entre les enfants, le boulot…. Une petite routine a commencé à s’installer. Nous avions très envie d’essayer les clubs, mais nos amis n’étaient pas très motivés et nous avions un peu peur d’y aller seulement les deux. Puis nous sommes tombés sur un site d’exhib. On a commencé par faire des photos soft et tout s’est enchaîné très vite : première sortie en club, première rencontre…
Axel : Nous avons commencé par rechercher des femmes ou des couples. Au début, uniquement pour des relations mélangistes. Mais très rapidement nos fantasmes et nos envies ont évolué.
Rose : Aujourd’hui nous rencontrons des femmes, des couples et des hommes, mais notre pêché mignon ce sont les trios, deux hommes pour une femme. Deux hommes pour moi toute seule. Dans ce scénario, beaucoup de combinaisons sont offertes… Nous fréquentons aussi les clubs, surtout pour le côté festif et retrouver nos copains mais sexuellement, c’est au cours des soirées privées que nous prenons surtout notre pied.
Axel : Pour nous le libertinage, c’est le petit truc en plus qui
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]]>Cet article Témoignage : Couple libertin, nous mêlons jeux et plaisirs est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Déjà, quand on lit interstron.ru, c’est qu’on est très curieux sur le plan sexuel. Nous adorions surtout les histoires et les interviews de libertins. On peut dire que oui, la lecture de certains récits nous a donné quelques idées, quelques envies nouvelles. Nous avions déjà une sexualité assez épanouie mais nous avons eu envie de la pimenter encore plus. D’où notre entrée dans le monde du libertinage. Et depuis quinze ans, nous adorons ce milieu.
Nous recherchons des couples qui partagent notre état d’esprit, basé en priorité sur la sensualité et l’érotisme. Nous adorons aller en club. On en a un super près de chez nous, L’Elyx. Les patrons, Sophie et Denis, sont des amours.
Nous sommes tous les deux bisex mais cela n’est pas notre priorité dans nos recherches. Nous adorons les relations sensuelles, érotiques où nous laissons...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Cet article Témoignage : J’aime sodomiser les hommes est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>interstron.ru : Tout ça est venu comment ?
Sabrina : Très progressivement, avec mon ex-mari. Quand nous faisions l’amour, j’avais souvent envie de lui enfoncer un doigt entre les fesses. Lui, pas du tout. Le jour où j’ai quand même pu le faire, il n’a pas aimé. Et puis, lentement, très lentement, il y a pris goût. Il s’est mis à apprécier cette intrusion jusqu’au jour où mon doigt a été remplacé par un gode. On s’est découvert ensemble, on a exploré ensemble de nouveaux plaisirs sexuels. Même si je pense qu’au fond de moi, j’avais déjà cette nature dominante.
interstron.ru : Pourquoi cette zone anale vous attirait tant ?
Sabrina : C’est difficile à expliquer mais c’est ce côté féminin qu’il y a chez tous les hommes qui me donne envie de m’y intéresser. D’ailleurs avec mon ex, j’ai fini par le travestir et cela m’excitait beaucoup.
interstron.ru : Vous dîtes ne pas être une pure dominatrice ?
Sabrina : En effet, je n’ai pas du tout le côté fétichiste même si j’adore porter des cuissardes ou des talons hauts. Je ne me sens pas « Maîtresse » au sens pure et dur du...Lire la suite sur interstron.ru
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]]>Cet article Témoignage : Ma première sortie en femme est apparu en premier sur interstron.ru.
]]>Emma habite le département du Nord. Aujourd’hui, elle assume pleinement sa sexualité et ses désirs sexuels : se travestir pour avoir des relations intimes avec ses partenaires. Des femmes surtout ! Elle se souvient, encore avec beaucoup d’émotions, de sa première sortie en femme. C’était, il y a une dizaine d’années…
Bourgeoise classe et sexy, « mais sans string dessous comme une vraie salope », adepte du porno chic, amoureuse du cuir, de la lingerie, des bas, des hauts talons… C’est ainsi que se définit Emma sur ses fiches des sites de rencontres qu’elle fréquente. Plutôt atypique dans sa démarche, elle se sent femme dans sa sexualité tout en voulant conserver sa virilité. Et ce sont les femmes qui l’attirent. Emma aime par-dessus tout s’occuper de « madame » devant « monsieur ».
Après quelques petites expériences hésitantes sur un parking de Lille, elle se souvient très bien de sa première et réelle sortie en tenue de femme :
« C’était au Shoushou en Belgique. De nature méfiante, je m’y étais rendu une première fois en garçon pour voir l’ambiance et le cadre. »
Le Shoushou avait la réputation d’être le club le plus débridé de Belgique où toutes les sexualités se croisent : « Quelques jours plus tard, je m’y suis rendue en femme : robe courte en cuir, talons très hauts, stressée mais décidée. »
Emma est partagée par une multitude de sentiments diffus : anxiété,...Lire la suite sur interstron.ru
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