Un joyeux pince-fesses
18 août 2020Katia, 24 ans, n’a jamais essayé la sodomie. Pendant une soirée avec son cousin, les choses vont déraper et elle va succomber à la tentation.
Je m’appelle Katia, j’ai 24 ans et je suis la fan numéro un d’interstron.ru en Moselle. J’espère que vous publierez mon histoire de sexe, garantie 100 % authentique… Un peu comme mon cul, qui fait grave fantasmer les mecs. Mon surnom dans mon village, c’est Kim. C’est à cause de mon derche XL dont je suis très fière. Mais attention : pas touche ! Je ne pratique pas la sodomie, même si je reçois des propositions très souvent. Pourtant, l’an dernier, j’ai fait une exception lors d’un pot à la salle des fêtes du patelin de mon cousin…
Ne me jugez pas, mais j’ai toujours eu un truc pour lui. On a le même âge et il est hyper beau gosse. On avait fricoté pas mal étant ado, mais il s’était marié à 20 ans et depuis, on avait arrêté les bêtises. Je savais qu’il avait des problèmes avec sa femme, mais je pensais qu’il m’avait invitée à la teuf juste comme ça. Quand je suis arrivée et que je l’ai vu déjà bien allumé et sans elle, j’ai compris. J’ai pas mal évité mon cousin pendant la soirée et je suis plutôt allée discuter avec des potes. Mais il y avait du punch et j’adore ça… Au bout de quelques verres, on a commencé à se mater d’un coin à l’autre de la salle. Vers 22 h, tout le monde était sur la piste de danse. On s’est retrouvé l’un à côté de l’autre à danser. Puis il m’a prise dans ses bras et a commencé à me faire bouger de façon sexy.
Sa main est descendue sur mes reins, puis il a profité qu’il y avait plein de monde pour me palper sous la robe, sans que personne ne nous voit. Sa bite gonflait, je le sentais à travers son jean ! Ça m’a excitée grave, je me souvenais comme elle était grosse. Sa main palpait bien mes grosses fesses et moi, je mouillais dans ma culotte…
On a fini par s’en aller : cela devenait trop chaud et des copines de sa femme commençaient à mal nous regarder. On est allés derrière la salle. Là, mon cousin m’a plaquée contre le mur et m’a roulée une énorme pelle. J’avais envie de lui grave… Il embrassait bien et puis son corps était trop sexy : musclé, tout suant… On aurait dit un chippendale bien hot ! À l’oreille, il m’a demandée de le sucer. Je l’avais fait une fois et je me rappelais encore du goût de son foutre quand il avait déchargé. Ma première pipe… Toute excitée par ce souvenir, je me suis mise à genoux. Sa queue est sortie d’un coup quand j’ai ouvert le jean. Elle sentait le mâle et elle était encore plus épaisse que dans mon souvenir, bien veineuse comme j’aime. J’ai léché le jus puis j’ai avalé. Miam, miam !
BOUTIQUE SEXY – SÉLECTION interstron.ru
Pendant que je le pompais, il me disait des choses sales. Que j’étais une suceuse de compétition et surtout, qu’il avait envie de me baiser par le cul. Tout en faisant des compliments de dingue, il a raconté qu’il voulait que je me relève et que je me retourne, qu’il y mettrait la langue jusqu’à ce que je le supplie de m’enculer. D’habitude, ce genre de paroles ne me plaît pas, mais là, j’étais super excitée par la situation. Cette infidélité derrière une salle des fêtes pleine de monde avait fait disparaître mon dégoût de la sodomie ! C’est mon cousin qui m’a relevée. Je sentais que si j’avais continué, je me serai retrouvée à boire son sperme encore une fois… Il s’est mis à me rouler des grosses pelles qui font bien mouiller. Ses mains étaient partout sur moi. Il m’a retournée face au mur et je l’ai senti remonter ma robe moulante. Il m’a embrassée les reins, puis j’ai senti qu’il me mordillait les fesses… Le frisson est monté quand sa langue est entrée dans ma rondelle vierge et frétillante…
Comme j’ai kiffé me faire lécher l’anus ! Jamais je n’avais ressenti ça. Une vague de plaisir qui montait très fort à l’intérieur de moi. Je me suis plaquée contre le mur râpeux pour que mon cousin puisse donner des bons coups de langue. Je couinais de plaisir comme une chienne en chaleur… Il m’a ensuite doigtée avec son pouce, qui est entré tout seul !
Sa bite a eu plus de mal. Mais j’ai été courageuse : j’avais tellement envie de me faire défoncer le cul… Quand il est remonté et qu’il a attrapé son chibre pour me le mettre, j’ai respiré un grand coup. Petit à petit, la douleur s’est transformée en plaisir. Je lui ai demandé de me décrire à l’oreille ce qu’il me faisait et ça nous a tous les deux excités à mort ! « Là, j’ai mon gland qui entre dans ton gros cul… Ça glisse, je sens ton petit trou qui s’ouvre… J’ai les couilles qui tapent sur ta teuch, tu sens comme elles sont pleines ? Je vais te faire le plein ! Je vais te juter dans l’oignon… » Le cochon me donnait envie d’un truc que je trouvais dégoûtant ! S’il continuait, j’allais jouir. Surtout que par devant, il s’est mis à me titiller le clito…
J’ai commencé à gueuler et il a été obligé de plaquer sa main sur ma bouche. J’ai continué à me branler toute seule. Quand il m’a enfilée complètement, mes jambes se sont mises à trembler. J’étais prête et mon cousin l’a senti. « Ah, tu vas jouir par le cul, hein ? Tu vas te faire souiller et tu vas adorer ça, pas vrai ? » Et d’un coup, j’ai senti mon anus se remplir de grosses rasades de sperme chaud ! Ça a fait monter l’orgasme et j’ai dû me retenir de ne pas hurler. J’ai joui en me contractant et j’ai senti une dernière giclée. Quand mon cousin a sorti son chibre, j’étais tellement dilatée que tout le jus est sorti avec un bruit louche. J’étais dépucelée, et pas qu’un peu !
J’écris aujourd’hui ma story pour que les filles qui ont peur de la sodo essaient quand même. Je vous promets des sensations dingues ! Et pour vous ambiancer encore plus, peut-être que je vous raconterai toutes les choses que mon cousin m’a mise dedans depuis…