La vie de château
7 mai 2021Lors d’un rallye, Hugues, 30 ans ne se prive pas de mater les jeunes étudiantes, l’une d’elle l’entraine dans un jeu a trois avec son mec.
Je suis un jeune type trentenaire issu d’un milieu plutôt modeste et par un heureux hasard, je me suis retrouvé dans un rallye de jeunes étudiants. Les rallyes, vous savez, ce sont ces soirées organisées par des gens très riches pour leurs gosses nés avec une petite cuillère en argent dans la bouche. Je vous raconte mon histoire de sexe.
Là, c’était une soirée spéciale pour de jeunes adultes, alors ils avaient mis le paquet. Nous étions dans un vaste domaine de la campagne nantaise, dans un château. Les gens étaient super beaux et bien sapés. J’étais entouré de jeunes femmes en fleur dans la vingtaine et j’étais vraiment ravi. D’ailleurs, je voyais bien que certaines me regardaient parce que j’étais plus âgé qu’elles et, même si j’avais probablement l’air d’un plouc dans ma chemise à rayures, j’ai plutôt un côté beau gosse assez mature qui plaît bien. Je sentais quelques jeunes femmes graviter autour de moi.
L’une d’elles particulièrement, fut plus audacieuse que les autres, Linda, blondinette de 24 ans, tout sourire, joli hâle bronzé, absolument ravissante dans sa petite robe en mousseline vaporeuse et transparente. Elle devait être la friponne de la bande, car elle m’a rapidement dragué assez lourdement. « Mais comment êtes-vous arrivé ici ? Et vous avez une petite amie ? » Elle tortillait ses mèches blondes et me resservait du champagne. Puis elle m’a présenté son petit copain et nous avons pas mal picolé et dansé tous les trois. Son copain, Jean, me l’a “prêtée” pour plusieurs rocks endiablés sans paraître s’en émouvoir. Quand il a eu le dos tourné, Linda m’a entraîné dans son sillage vers une pièce du rez-de-chaussée.
Nous nous sommes retrouvés dans un petit bureau élégant. Entreprenante, elle m’a attiré à elle pour coller son visage sur mes lèvres. Sa spontanéité me faisait grave bander. J’ai passé mes mains sous sa petite jupe légère pour sentir sa peau, ses cuisses graciles, sa tonicité, la douceur de son joli petit cul rond comme une pomme. J’avais mes doigts un peu partout dans sa culotte, contre son clito, le long de sa raie… Elle ne devait pas avoir l’habitude d’être aussi bien touchée car très vite, elle était pantelante, trempée de mouille. C’est là que son mec est entré. Mais loin de nous engueuler, il a rejoint notre petit jeu. Ça ne devait pas être la première fois !
Il est venu à mes côtés pour embrasser sa belle et la caresser partout, sur son décolleté, ses épaules, son cou… Elle était à deux doigts de défaillir d’excitation. Jean a détaché le petit carré de soie qu’elle avait autour du cou pour lui bander les yeux avec. La petite minette tâtonnait vers nous. Nous avons baissé nos pantalons pour accueillir ses mains hasardeuses.
Sa bouche grande ouverte, à genoux entre nous deux, nous avons profité de sa disponibilité pour glisser nos bites tendues entre ses lèvres. Sa petite bouche s’est refermée sur mon membre pour le polir de ses aspirations sensuelles, sa salive et son acharnement à le prendre en gorge profonde. Les bourgeois savaient s’encanailler ! Jean a pris des photos de nos deux queues tendues vers elle et de la belle image de l’intrusion de nos chairs raidies dans le coussin moelleux de sa gorge pâle.
Avec le bandeau, elle ne savait pas d’avance qui elle suçait (mais elle devait reconnaître la bite de son mec, je pense) et c’était excitant de la voir avancer les lèvres et recevoir nos bites à la chaîne, la mienne, la sienne, puis en les tenant chacune dans une main, de sorte que pendant qu’elle en suçait un, elle branlait l’autre… J’adorais voir cette jeune femme bien sous tous rapports trahir son rang en s’abaissant à pareilles galipettes. Elle avait enlevé son haut de mousseline et ses seins délicats auréolés d’une marque de bronzage remuaient légèrement pendant qu’elle s’escrimait à épuiser nos chibres bien durs pour elle. On entendait au loin la fête battre son plein.
Le jeune Jean buvait au goulot d’une bouteille de champagne et me la passait, puis il faisait boire notre Linda qui s’en foutait un peu partout en avalant comme une cochonne. Son visage s’est affolé entre nos deux queues et elle a tellement bien astiqué la mienne, faisant bouger délicatement ses lèvres et sa langue autour de ma tige et de mon frein que je n’ai pu longtemps résister à la jouissance. Elle fut amplifiée par l’idée de pervertir cette jeune bourge. Mon orgasme l’a surprise car je ne l’ai même pas prévenue et j’ai éjaculé dans sa bouche – plaisir luxueux à la hauteur des lieux. Son mec a éjaculé sur ses seins en prenant des photos.
Tout avait été si simple ! Il n’y avait plus qu’à la nettoyer avec le carré de soie. Une vraie vie de châtelains !
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