Le bon coup de la panne

La rédaction 22 février 2020

Alfred, 40 ans

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Tout d’abord, bravo pour votre magazine ! Je viens vous raconter ce qu’il m’est arrivé à la fin de l’année dernière. Je participais à un repas d’entreprise un samedi soir. J’étais de sortie en célibataire car ma femme s’était absentée pour des raisons familiales. Vers deux heures du matin, j’ai décidé de rentrer chez moi. Par politesse, avant de me m’éclipser, j’ai dit au revoir aux personnes présentes à ma table.

C’est à ce moment que Nicole, la femme de ménage de nos bureaux, m’a interpellé. Elle m’a demandé si je pouvais la ramener à son domicile. Son mari était reparti vers minuit car quelque chose qu’il avait mangé l’avait rendu malade. Cela ne me dérangeait pas du tout de la ramener, au contraire. Nicole était une petite femme boulotte de 62 ans avec des cheveux poivre et sel. Elle aimait bien rigoler.

A peine avais-je démarré, je n’avais  pas fait dix mètres que le moteur de la voiture a calé. Elle m’a lancé en se marrant : « Vous n’allez quand même pas me faire le coup de la panne ? » Je lui ai répondu pour rire : « Pourquoi pas ? » Elle a renchéri : « Vous avez raison, c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures confitures et moi, par rapport à mon mari, je n’y perdrais pas au change ! » Son époux était plus âgé qu’elle… Et moi, pour ne pas casser ce bel échange : « Ce n’est pas moi qui serais le plus gêné ! » Sur quoi, elle m’a dit comme ça « Ah, mais moi, il ne faut pas m’en promettre, il vaut mieux m’en donner plutôt ! »

Finalement, la voiture a bien voulu redémarrer, et nous avons arrêté nos conneries. Pour aller à son domicile, ilfallait compter quinze kilomètres, mais il y avait une déviation qui nous rallongeait le parcours de deux kilomètres, en passant par des zones rurales très isolées. Tout en conduisant, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qu’elle m’avait dit. Est-ce que c’était une invitation ? J’ai décidé de la tester. J’ai pris un chemin qui nous faisait passer par-derrière un transformateur EDF. Là, j’ai coupé le moteur et je lui ai demandé : « Alors, on se la fait cette partie de jambes en l’air ? »

Elle a été surprise. Ça lui a coupé le sifflet, mais juste au moment où j’allais redémarrer, elle s’est fendue d’un sourire grivois « Mais pas de problème. » J’étais pris à mon propre piège, en quelque sorte. Je lui ai passé la main sur les seins en lui roulant un patin. Il faut dire que j’étais sevré depuis plus de quinze jours… Une petite aventure avec Nicole n’était pas pour me déplaire. De l’autre main, j’ai dézippé mon pantalon et je l’ai invitée à me sucer. Je ne l’ai pas priée longtemps! Pendant ce temps, j’ai dégrafé son soutif et prestement passé une main sous sa jupe pour sentir son petit minou. Ce dernier était bien mouillé. À mon avis, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas tâté de la bite.

Je lui ai proposé de me mettre un préservatif et de se placer à genoux sur le siège. Je lui ai enfilé mon pieu. Elle a laissé un petit cri de plaisir sortir de sa bouche. Elle me disait des cochonneries, je ne l’imaginais pas comme cela! C’était dans le genre : « Vas-y mon salaud ! Saute-moi, baise la bonniche ! » Tout cela m’excitait encore plus. J’étais tellement euphorique avec tout ce qu’elle me disait qu’à un moment, sans la prévenir, je l’ai sodomisée ! Elle a crié de douleur un instant, mais elle a ensuite continué à faire pleuvoir les pires saloperies.

Ses paroles étaient ordurières et j’adorais ça. Je n’en revenais pas : Nicole, notre femme de ménage, que je prenais pour une sainte… J’étais en train de la tringler en long, en large et en travers ! À la fin, j’ai repris ma place au volant pour qu’elle me suce. Elle m’a surpris en enlevant le préservatif pour me bouffer la verge et prendre toute ma semence dans la bouche… Puis elle a tout avalé !

Enfin, nous nous sommes rhabillés et je l’ai ramenée chez elle. Quand je la croise dans les couloirs, maintenant, je ne la regarde plus de la même façon ! Elle est venue s’excuser auprès de moi quelques jours plus tard en me disant qu’elle avait sûrement abusé du champagne. Je l’ai rassurée : moi aussi, j’avais pris mon pied comme jamais (ce qui était vrai). Ça a eu l’air de la détendre…

(Image à la une : Getty Images)

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Sous le bureau

« Sa queue était dure et chaude. J’ai rentré son sexe tout entier dans ma bouche. Je sentais le désir inonder mon bas-ventre. Par moments, je tapotais mes joues avec sa queue. Je sentais qu’il allait venir. » Nawell

Dans le bureau du patron

« Ses mains parcouraient mon corps avec sensualité. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert son pantalon. Dans son slip, j’ai déniché une belle surprise: un membre de bonne taille, pas trop long mais bien épais. Je l’ai mis dans ma bouche, et je l’ai sucé avec envie. » Alexandra

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