Cette sauvage a eu un plaisir violent
8 février 2024Il y’a deux semaines Aline, m’appelle en pleure, avec sa petite voix entrecoupée pour me dire qu’elle venait d’avoir un accident de voiture.
Ne nous fâchons pas, restons courtois, soyons calmes
Aline, ma compagne, est incroyable ! Il y a deux semaines, elle m’appelle en pleurs, sa petite voix entrecoupée de hoquets m’expliquant qu’elle venait d’avoir un accident de voiture. Elle me précise que le tiers est en fait une tierce, que ce n’est que de la tôle froissée et qu’elles sont toutes deux à cent mètres de l’appartement et me rejoignent pour remplir le constat.Voici mon histoire de sexe.
Après avoir complété toutes les informations, nous avons bu quelques shots de vodka et la discussion s’est enflammée d’un coup d’un seul. Les filles avaient été bien remuées par l’incident et je voyais une lueur particulière dans le regard d’Aline. En aparté, elle m’a demandé en chuchotant si Clarissa était à mon goût. J’ai répondu que oui, sans savoir où elle voulait en venir, c’est alors qu’elle lui a lancé « Puisque tu m’es rentrée dans le cul, il ne serait que justice que Jacky rentre dans le tien aussi ? Non ?! »
Je n’en revenais pas de ce traquenard, mais quand j’ai admiré Clarissa entamer un strip-tease devant les yeux lubriques d’Aline, j’ai compris que c’était « pour de vrai » ! Cette fille avait tout pour me plaire et me faire bander et je ne me suis pas privé ! Elle était encore plus belle nue qu’habillée avec deux obus en lieu et place des seins. Je me suis libéré de mes vêtements en quatrième vitesse et elle a sifflé en voyant mes abdos, puis s’est jetée à mes pieds pour une fellation royale sous l’objectif attentif de ma compagne.
Nous avons vite basculé sur le lit et nous sommes retrouvés en soixante-neuf, Clarissa me guidait en cambrant plus ou moins les reins, me donnant à lécher tantôt sa chatte baveuse, tantôt son étoile sombre.
Elle sur moi, moi sur elle, on a testé toutes les possibilités, mais ce que j’ai préféré c’est lorsqu’elle s’est allongée pour téter ma bite tandis que je la branlais et lui doigtais la motte aussi profondément que mes phalanges me le permettaient.
Très souple, elle m’a dévoilé tout son entrejambe, son minou tout lisse, fendu d’une longue cicatrice d’un rose plus soutenu, son anus, visiblement autant gourmand que son autre orifice. La requête était muette, mais très explicite, la demoiselle voulait effectivement que je lui rentre dedans, de toutes mes forces, de toute la longueur de ma queue. Une main sous son genou, j’ai visé le trou en forme de petit entonnoir et j’ai lancé mon bassin en avant. Tout mon longeron s’est encastré dans son châssis bien huilé, ses deux gros airbags dansant de part et d’autre de son torse au gré de mes coups de boutoir.
Je l’ai baisée dans des positions improbables, je l’ai entreprise, la tête tordue sur le matelas, le corps froissé, presque démembré, je me sentais m’enfouir loin, très loin au fond de son vagin et elle a joui une première fois en criant le prénom d’Aline ! J’ai beau être jeune, je connais la chanson et cela m’a fait sourire … et bander encore plus fort, peut-être que cette femme était la porte d’entrée à un futur trio !?
Je commençais à fatiguer un peu, à enchaîner ainsi des figures plus acrobatiques les unes que les autres, Clarissa a donc pris les devants et … le dessus. M’enfourchant avec autorité, elle s’est empalée sur ma bite, griffant mes tablettes de chocolat et allant même jusqu’à me pincer les tétons et à me mordiller les oreilles, j’ai adoré. Elle était aussi à l’aise quand elle me faisait face que quand elle me chevauchait dos à moi, mais lorsque j’ai senti une pression contre ma queue, je n’ai pu résister à la tentation de vérifier ce qui se passait. Elle s’enfonçait son index, bientôt rejoint par son majeur et son auriculaire, profondément dans l’anus ! Elle se sodomisait elle-même et mon membre, déjà serré dans son vagin étroit, a été encore plus comprimé, divine torture. D’autant que les spasmes orgasmiques de sa matrice ont accentué cet effet de pompe et d’emprise sur mon sexe. J’ai annoncé que je n’allais pas tenir plus longtemps, Clarissa m’a giflé de toutes ses forces ! « Attends ! Attends encore, ça vient, je jouis et après je t’avale jusqu’à la dernière goutte ! Vas-y baise moi fort ! »
Aline avait des yeux comme des assiettes, jamais elle n’aurait osé me donner une claque, mais j’ai adoré cette injonction, je me suis donc retenu, cette sauvage a eu un plaisir violent, féroce, elle m’a griffé la poitrine au sang puis s’est recroquevillée, chérie et suppliante sur le sol, la bouche grande ouverte. Je lui ai baisé cette dernière à l’en étouffer et j’ai tout balancé au fond de sa gorge, elle a tout pris et Aline est venue lui rouler une pelle pour partager mon sperme !
A LIRE AUSSI>> Le camping déflore bleu
A LIRE AUSSI>> La chatte noir me va si bien
A LIRE AUSSI>> Deux valentin pour le prix d’un