Allo Docteur
19 février 2019Mathilda, 34 ans, Marseille.
Je m’appelle Mathilda et je suis docteur. Je travaille dans un centre de visite médicale. Je vois donc passer pas mal de travailleurs tous les jours… Je vous écris pour vous raconter un petit écart professionnel que j’ai commis dernièrement. Je recevais à ce moment-là un ouvrier d’une trentaine d’années dont j’ai oublié le nom. Il venait de passer dans le bureau de Manon, ma collègue qui s’occupe des enregistrements administratifs. Quand je l’ai vu débarquer dans mon cabinet, j’ai tout de suite craqué. Il était grand, brun, et assez baraqué. Après lui avoir fait passer les tests de vue, je lui ai demandé de se mettre en caleçon pour pouvoir l’ausculter. Il s’est donc allongé, et j’ai commencé à le palper. J’ai tout de suite remarqué que le jeune homme avait un début d’érection sous le caleçon.
Sans rien laisser transparaître, j’ai dirigé mes mains vers son sexe, toujours en le palpant. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais toujours est-il que j’ai passé la main sous son sous-vêtement et que j’ai pris sa verge dans la main. Un peu surpris, mon patient s’est quand même laissé faire. « Je pense que je vais vous ausculter de plus près », lui ai-je alors dit. J’ai commencé à retirer son caleçon pour libérer sa queue. Il bandait très fort. « C’est vous le docteur… » m’a-t-il répondu. Je me suis mise à le masturber pendant qu’il me pelotait les seins. Je commençais à mouiller et je n’ai pas résisté à l’envie de le sucer. Après avoir retiré ma blouse et ma culotte, j’ai grimpé sur la table, et je me suis mise au-dessus pour un 69. Il me fourrait la langue dans la chatte alors que je passais la mienne autour de son gland.
Nous avions tous les deux la bouche pleine quand la porte du cabinet s’est ouverte. C’était Manon qui m’amenait le dossier de l’ouvrier. J’étais tellement excitée que j’avais complètement oublié de fermer la porte à clé… En nous voyant, elle s’est stoppée net. Je me suis tout de suite relevée, gênée, mais le patient, toujours en érection, a pris la parole : « Est-ce qu’on peut vous demander d’être discrète, mademoiselle ? ». Un temps interdite et stupéfaite, Manon a finalement repris ses esprits. Elle a fermé la porte derrière elle et l’a verrouillée. « Vous pouvez compter sur moi, mais à condition que j’en profite aussi. » Elle a alors enlevé son pull et son jean, puis a retiré son soutien-gorge et son string. Je n’aurais jamais cru que ma secrétaire se rasait le pubis… Elle s’est approchée de nous, et, en me regardant droit dans les yeux, elle s’est mise à branler notre patient d’une main et à me caresser la chatte de l’autre. Décidément, Manon était bien surprenante… J’étais bien obligée de me laisser faire si je ne voulais pas de problème. Le patient en a profité pour écarter mes fesses qui étaient à hauteur de sa tête afin de lécher mon petit trou. Si au début j’étais mal à l’aise, je dois bien avouer que j’aimais beaucoup qu’on me fasse du bien devant et derrière. Manon se mit alors à sucer le jeune homme. Je suis donc remontée sur la table et, accroupie au-dessus du visage de mon patient, je lui laissais me fouiller les orifices avec sa langue. C’était merveilleux. Manon est montée elle aussi sur la table, afin que le type la pénètre. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux à nous embrasser pendant qu’il s’occupait de nous.
Nous avons ensuite tous les trois quitté la table. Manon s’est assise sur mon bureau, et je me suis mise à la lécher pendant que monsieur me prenait en levrette. Il était vaillant, car ses coups de butoir ne s’arrêtaient pas. Il s’est juste retiré un moment pour pouvoir me sodomiser. C’était si bon que je me suis mise à gueuler tout en continuant mon cunnilingus. Manon, elle aussi, gémissait de plaisir. L’ouvrier s’est alors retiré de mon anus et il nous a ordonné de nous agenouiller à ses pieds. Dociles, nous avons tout de suite obéi. Il nous a alors arrosées de son sperme. Manon en avait plein les lunettes et moi un peu partout sur le visage. Nous étions heureuses mais un peu sales !
Nous nous sommes alors relevées pour nous rhabiller tous les trois, et après avoir donné à mon patient son certificat d’aptitude, nous nous sommes rapidement, Manon et moi, rincées le visage au lavabo. Manon est sortie du cabinet en même temps que mon patient, et quelques instants après j’en accueillais un nouveau. Nous n’avons jamais reparlé de cette histoire avec Manon, mais j’espère bien que cela nous arrivera encore…
(Photo à la une : Getty Images)
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« Il a contemplé ma poitrine sans la moindre gêne. Il m’a palpé et repalpé les seins, les malaxant d’une façon incroyable. Ça m’a fait de l’effet, surtout quand il s’est attardé sur mes tétons, car je suis hypersensible à ce niveau… » Noémie.
« Sandra est une superbe femme, très ronde, style Rubens. Ses rondeurs pourraient rendre fou n’importe quel homme. Et je dois avouer que de la voir se faire tripoter ainsi m’a fait bander grave. » Felix.
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Infirmières et médecins nous font fantasmer. Voici quatre histoires.