Avec le jardinier du camping
19 avril 2021Mathieu, 39 ans fantasme à l’idée de voir sa femme se faire pistonner le derrière par un black. D’abord réticente, sa femme finit par accepter…
C’est à mon magazine préféré que je vais raconter, dans cette histoire de sexe, un fantasme enfin réalisé. Cet été-là, mon épouse et moi sommes partis en Corse, à Aléria, où il y a des campings naturistes. Mer, nature… C’est très beau ! Le naturisme est nouveau pour nous. C’est tout doucement et avec beaucoup de patience que j’ai convaincu mon épouse. Mais, à ma grande surprise, elle s’est en fait trouvée très à l’aise pour se promener toute nue dans le camping et sur la plage. Elle parlait facilement avec les gens et, comme elle est pas mal foutue, les messieurs ne restaient jamais de marbre devant ce si joli corps. Pour moi, c’était super !
Mon grand fantasme était de la partager avec un autre homme, de préférence un Black. De ce côté-là, ça allait être difficile, voire « pas gagné« , comme on dit. Mais bon : le naturisme lui avait plu alors qu’elle était plutôt réticente au début, alors… Et puis, ce camping nous réservait bien des surprises ! Nous avons bientôt repéré un mec bien gaulé qui s’occupait des espaces verts… Devinez quoi ? Eh oui, c’était un beau Black ! Il avait environ une quarantaine d’années. Nous nous trouvions dans un bungalow assez éloigné des autres, et il passait justement dans le coin.
Mon épouse prenait le soleil sur notre terrasse. Elle n’avait pas encore vu notre jardinier. Je me suis dirigé vers elle et lui ai proposé de lui passer un peu de crème solaire. C’était après avoir déjeuné, nous avions pris un petit apéro et bu du vin rosé de Corse. Je la sentais très détendue, et j’étais moi-même assez excité par ce fantasme qui m’habitait depuis des années. J’ai commencé à la masser : le dos, les jambes, les fesses, les cuisses qu’elle écartait tout doucement. Elle gémissait tendrement et, de l’autre côté du chemin, notre jardinier se rinçait l’oeil. Je le regardais et, en même temps, j’ouvrais des doigts les fesses de ma femme qui, maintenant, mouillait sérieusement. J’ai enfoncé un doigt dans sa petite chatte. Le jardinier ne pouvait plus cacher son excitation… Il bandait ferme ! Je lui exhibais du mieux possible le cul de ma femme qui ne se rendait compte de rien.
Au bout d’un moment, sous mes mains expertes, elle a fini par craquer et m’a soufflé qu’elle voulait rentrer pour faire l’amour… Elle s’est levée et s’est dirigée vers le lit, sur lequel elle s’est directement installée en levrette. Le cul en l’air, elle m’a presque crié : « Vas-y mets-moi ta queue. J’en ai très envie, vite ! » D’un seul grand coup, j’ai fait disparaître ma bite à l’intérieur de sa chatte. Je la baisais à fond ! À un moment, j’ai jeté un oeil à la fenêtre et j’ai aperçu notre homme qui nous matait ! J’ai déchargé dans ma chérie qui avait bien pris son pied. Baiser sa femme en vacances, en plein après-midi, dans un camp naturiste et se faire mater par un homme, c’était bien. Mais moi, je voulais la voir se faire sauter par le Black et prendre des photos ! Je les voulais pour moi, pour plus tard, et pour les envoyer à interstron.ru aussi !
Dans la soirée, je suis allé trouver notre ami et lui ai demandé s’il avait aimé la petite scène. Il m’a répondu qu’il avait beaucoup apprécié et qu’il aurait bien voulu, si je le permettais, voir de plus près… Et, pourquoi pas, toucher le corps de mon épouse… Et, pourquoi pas, la baiser ! Là, j’ai su que je tenais l’homme de la situation. Après cette discussion, je n’ai pas pu fermer l’oeil de la nuit. Mais, comment arriver à convaincre ma femme ? Grande question ! Avec mon complice, nous avons mis au point un petit scénario.
Le lendemain, vers 12h30, il devait venir couper les lauriers tout près de notre « demeure« . « Chérie, c’est moi qui prépare le déjeuner« , ai-je informé ma belle. Barbecue, salade… Mais avant, pourquoi ne pas goûter la bonne bière corse ? Après l’apéritif, nous avons mangé et arrosé le tout avec un peu de rosé. Le soleil aidant, ma douce était de plus en plus décontractée… Je l’ai complimentée sur la beauté de son corps en lui caressant les cuisses, les fesses… Je lui ai donné quelques baisers dans le cou pour la mettre en condition. Je l’ai même informée que le jardinier la regardait avec insistance quand elle passait devant lui.
En parlant du loup, on en a aperçu la queue ! « Bonjour, m’sieur, dame, ça ne vous dérange pas si je taille les lauriers qui sont là, devant ?— Pas du tout » lui ai-je répondu. Ne vous occupez pas de nous, faites votre travail… Ma femme était vêtue d’une petite robe, sans rien dessous. Elle posait des questions sur l’entretien des lauriers. Elle se baissait devant lui sans faire exprès, lui dévoilant à chaque fois sa chatte. Un climat très spécial se mettait en place. D’un coup, j’ai commencé à caresser mon épouse qui ne semblait pas gênée du tout. Le jardinier a poursuivi ses explications. Il avait un short assez court qui devenait trop petit vu que son engin grossissait, grossissait…
À un moment, sa queue a débordé de son vêtement. « Ma femme vous fait de l’effet, on dirait… — Oh oui, elle est très belle, je l’ai remarquée dès le premier jour ! », a-t-il répondu avec sincérité. Mon épouse, d’abord surprise de la réponse du jardinier, semblait bien émoustillée.
Maintenant, il allait falloir mettre le paquet. Je l’ai couverte de compliments sur sa magnifique silhouette devant notre jardinier. Je la faisais tourner sur elle-même, l’exhibant sans retenue. Je bandais très fort. Notre ami s’est mis à toucher les jambes, puis les fesses de ma belle qui, sous l’effet du soleil et du rosé commençait à se trémousser. Moi, j’étais aux anges. Mais là, dehors, c’était un peu trop risqué. Nous sommes entrés, ma douce s’est allongée, nue, sur le lit. Notre homme à la peau d’ébène a enlevé son short et a déballé sa belle matraque. J’ai instantanément compris pourquoi les femmes aimaient les Blacks. Une bite toute noire, très grosse et bien longue, je me suis même retenu de la pomper ! Mais c’est ma femme qui a eu la chance de se la mettre dans la bouche. Et, quand elle suce, c’est qu’elle est vraiment excitée !
Mon complice l’a super bien baisée, dans toutes les positions. « C’est trop bon, vas-y baise-moi encore, je jouis, je jouis ! Mon chéri, merci, ah merci, il me défonce bien ! Je la sens sa grosse queue dans mon ventre, c’est si bon ! » Pendant qu’il la pénétrait, moi, j’ai éjaculé. Au bout d’une demi-heure de baise intensive, il a giclé sur le visage de ma femme qui était dans un état de transe. Ce jour était le plus beau de ma vie. J’ai pris des photos avec mon portable.
Elles ne sont hélas pas de bonne qualité, mais j’espère les voir dans la revue !
Bien sûr c’est parce que j’avais confié à ma femme ce fantasme que tout s’est si bien passé. Elle m’a dit ne pas le regretter. Elle l’a fait pour moi, par amour… Et en même temps, elle en a bien profité. Enfin, je voudrais dire aux hommes qui ont le même fantasme que moi : allez-y, il faut le faire, c’est super !
(Image à la une : Getty Images)
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