La prof d’anglais se fait fourrer
22 juillet 2019Maurice, 44 ans, Pau
Rien de mieux pour booster sa confiance en soi que de s’envoyer en l’air, je sais que les interstron.ruistes me comprennent !
C’est ce que j’ai décidé de faire quand j’ai eu un petit coup de mou, à l’été 2016. Un matin, je me suis regardé dans la glace et j’ai vu que je perdais quand même vachement mes cheveux. Je me suis dit qu’à 42 ans, ce n’était pas bien grave. Sauf qu’une semaine plus tard, je me suis fait rembarrer par une collègue de bureau que je chinais depuis plusieurs semaines. Et le lendemain, j’ai essayé de me taper une queue, mais je n’ai pas réussi à durcir ! J’ai fini par parler de tout ça à Marc, mon meilleur pote, qui m’a dit : « Il faut que tu vises un canon. Tu la fourres, et après, tu seras blindé pour les dix prochaines années ». J’ai réfléchi à qui était la nana la plus bonnasse de mon entourage. C’était Bérénice, la prof d’anglais de mon fils, que mon ex-femme nous obligeait à payer une blinde pour que le gamin soit un peu moins naze en classe. Elle m’avait toujours excité, avec son air à moitié bourgeoise, à moitié garce. J’ai décidé de foncer, encouragé par Marc.
Il m’avait dit d’attaquer cash, que les filles aimaient ça parce que les gars de leur âge n’osaient pas. Bérénice avait à l’époque 24 ans, mais je sentais qu’elle avait déjà vu du pays et qu’un étalon sûr de lui pourrait lui plaire. J’ai commencé par lui faire des compliments quand elle venait chez nous, pour le cours du gamin. Ensuite, je lui ai proposé de rester un soir boire un verre, pendant qu’il finissait les devoirs. Elle a dit oui, et on a passé un super moment, tous les deux. Après une demi-bouteille, elle était bien guillerette et moi aussi. On a fini par s’embrasser, avant que mon fils fasse irruption dans le salon et manque de nous voir. Le soir, j’ai reçu un SMS de Bérénice : « Je crois que P. (mon fils) est chez sa maman, ce week-end. Repas chez toi samedi soir ? ».
Autant vous dire que j’ai mis les petits plats dans les grands. Quand Bérénice est arrivée, je me suis dit que j’avais bien fait : elle était habillée sexy et avait l’œil qui criait braguette. Clairement, elle n’était pas là pour déguster que ma cuisine, si vous voyez ce que je veux dire… On a quand même fait les choses bien : bon repas sur la terrasse, conversation sympa, une bouteille de rouge que j’avais bien choisie… Vers la fin du repas, j’ai enlevé ma veste, vu qu’il faisait vachement chaud, ce soir-là. Bérénice a levé les sourcils et m’a dit « Tu peux peut-être tout enlever ? ». Je ne me suis pas fait prier, surtout que la cochonne était déjà en train de se lever de table et d’avancer vers moi. À quelle pipe j’ai eu droit ! Elle savait parfaitement maintenir l’engin tout en avalant juste ce qu’il faut. Et sa façon de me téter le gland… Un régal !
Le problème, c’est que la demoiselle avait aussi envie que je la fourre. Et là, j’ai un peu perdu mes moyens. J’avais voulu me la jouer sûr de moi, et voilà que je l’avais toute molle à l’idée de la mettre dans cette belle femelle ! Mais Bérénice ne s’est pas plainte. Elle a juste attrapé ses affaires et m’a emmené dans ma chambre. Là, elle a sorti un joujou de son sac à main et m’a dit : « Regarde, ça va te faire autant de bien qu’à moi ». Et elle avait raison ! J’ai pris autant mon pied à la voir s’auto-enfiler qu’à la lui mettre. En deux minutes, mon sexe était reparti comme en 14 et je me branlais façon cochon sur cette superbe scène. Waouh, comme il lui rentrait bien dans la chatoune, son joujou ! Comme il ressortait tout luisant ! J’aurais eu envie de le lécher de haut en bas, mais je me suis contenté de regarder la garce faire en me tirant sur le gland.
Elle a bien vu que j’allais finir par venir, alors elle m’a dit : « Viens, ça sera encore meilleur avec ta bite… ». Mes aïeux, j’ai vraiment dû lutter pour arriver à tenir plus de trois minutes en elle. Elle était serrée comme une vierge et contractait ses muscles de la chatte à fond, comme si elle voulait me branler avec son vagin. C’était vraiment dément, surtout qu’elle couinait bien dès que je m’enfonçais jusqu’à la garde. J’ai fini par cracher, sans arriver à faire venir Bérénice. Mais ne vous inquiétez pas pour elle, elle s’est terminée avec son machin, qui glissait tout seul grâce à ce que je lui avais mis au fond.
Depuis, nous nous envoyons en l’air comme des petits fous. En plus, nous ne sommes pas exclusifs et Bérénice me parle depuis un petit moment de me faire tester des copines à elle… Je vous raconterai tout, les coquins d’Union !
(photo à la une : Getty Images)
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