Cabine d’enfilage

La rédaction 11 avril 2019

Kyan, 26 ans, conseiller de vente, Paris.

À 20 ans, j’ai tenté ma chance comme mannequin à Paris. Un job bien payé dans un milieu glamour : j’avais beau n’avoir aucune expérience et être un petit provincial, j’étais motivé. J’ai fait mon premier casting pour une marque de sous-vêtements connue. J’avais décroché le rendez-vous grâce à un ami de la famille qui bossait au marketing. En arrivant dans l’immense loft, j’ai halluciné : des mannequins hyper bonnes déambulaient en petite tenue et prenaient la pause devant les directeurs du casting. Le staff m’a donné un boxer que j’ai enfilé dans une cabine à l’autre bout du loft, puis j’ai moi aussi défilé.

Le test n’a duré que quelques minutes. J’étais assez à l’aise (je fais beaucoup de sport et j’aime mon corps). Par contre, un groupe de trois filles en petite tenue m’a mis mal à l’aise : elles me regardaient en se murmurant des choses à l’oreille et en rigolant. J’essayais de ne pas y penser, d’autant plus qu’elles avaient des corps parfaits et des dessous qui ne laissaient pas beaucoup de place à l’imagination.

Une fois le test fini, j’ai donné quelques infos à la responsable du casting et j’ai filé en cabine. Et là, surprise… Les trois bombes étaient dans le box où j’avais laissé mes fringues. J’ai rigolé, mal à l’aise, et j’ai demandé ce qu’elles voulaient. Une rouquine avec des gros nibards a parlé la première : « On t’a vu passer et on n’a pas pu s’empêcher de remarquer que t’étais bien membré. » Les deux autres, une Black aux jambes superlongues et une blonde avec un cul de rêve, ont gloussé. Ce n’était pas la première fois qu’on me faisait la remarque. J’ai un sexe de plus de vingt-trois centimètres et même au repos, il fait de l’effet. Un peu par provoc, un peu parce que j’espérais qu’on aille plus loin, j’ai balancé : « Et encore, vous ne l’avez pas vu en action. » Deuxième hallu : une seconde plus tard, la blonde avait fermé le rideau de la cabine et j’étais coincé dans cette espèce de cagibi avec trois créatures à moitié nues devant moi.

J’aurais pu perdre mes moyens mais les nanas étaient si belles que je me sentais des pouvoirs de superhéros. La Black a été la première à agir : elle a mis sa main directement dans mon boxer et a sorti ma queue. Une demi-molle pas très glorieuse qu’elle a entrepris de faire durcir avec un bon mouvement du poignet. La blonde s’est mise à mes pieds et a lancé : « Allez Sonia, fait goûter ! » La fille a obéi, guidant ma bite vers la bouche de sa copine. La rousse l’a rejointe en bas. J’avais maintenant deux belles putes qui m’avalaient le bout à tour de rôle et je ne résistais pas au plaisir de leur attraper les cheveux pour les guider, les incitant à s’embrasser puis à s’occuper de mon érection.

Sonia avait arrêté de me branler et se tenait contre la cloison de la cabine, la main dans la culotte à s’astiquer le clito. Quelques minutes plus tard, la rousse a laissé la blonde s’occuper de moi en solo et a rejoint la belle black qui se touchait. Après l’avoir embrassée à pleine bouche, elle s’est mise à genoux devant elle et a baissé la culotte en dentelle, dévoilant une chatte satinée. Elle s’est alors mise à la bouffer comme si c’était une pêche juteuse.

Je n’en pouvais plus. La blonde me pompait maintenant comme une sangsue, en jetant des coups d’œil sur ses copines. L’ambiance était plus chaude que sur le tournage d’un porno et je me demandais ce que j’avais fait pour mériter un tel traitement de faveur… Quand la blonde s’est mise à me masser les prunes en m’avalant tout entier, j’ai compris que je n’allais pas tenir longtemps. Je grognais comme un ours en rut et en entendant ça, Sonia a attrapé la tête de la rousse, l’obligeant à lui bouffer la chatte à en perdre la respiration. J’appuyais également mes mains sur la tête de ma suceuse qui poussait des râles en pompant à fond.

Nos gémissements étaient de plus en plus forts et j’ai fini par éclater, les yeux rivés sur la brouteuse et sur Sonia qui prenait un pied d’enfer. La blonde a eu un mouvement de recul à cause d’un vrai geyser de sperme, mais je l’ai maintenue fermement, l’obligeant à boire mon foutre. Sonia a joui à son tour en criant, les jambes tremblantes de plaisir.

Après avoir rassemblé mes affaires, j’ai filé sans demander mon reste, encore choqué de ce qui s’était passé. J’ai décroché d’autres castings par la suite, mais pas celui-ci, et je crois bien que le raffut qu’on a fait avec cette bande de nymphos n’a pas dû aider.

(Photo à la une : Getty Images)

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