Le charme insoupçonné du fils de mon collègue
10 novembre 2020Patricia, 55 ans, se rend en vacances dans la maison d’un de ses collègues. Le fils de ce dernier débarque et Patricia tombe sous le charme…
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L’été dernier, je me suis retrouvée en vacances sans avoir rien réservé, car je m’étais mal organisée. Au dernier moment, un collègue de 60 ans, Lucien, m’a proposé de venir séjourner dans sa maison sur le bassin d’Arcachon. J’ai accepté, car après tout je n’avais nulle part où aller et je m’entendais bien avec cet homme divorcé sympathique. Toutefois, je ne voulais pas vraiment qu’il se passe quoi que ce soit entre nous, je n’avais pas la tête à ça.
Nous avons donc séjourné paisiblement comme des amis ou un vieux couple abstinent, à paresser en bord de mer. Jusqu’au moment où son fils de 28 ans, Julien, est venu nous rejoindre pour quelques jours. Il était grand, bronzé, cheveux châtains assez épais et ondulés. Un très beau jeune homme que j’ai vite pris sous mon aile car je le trouvais intéressant.
N’ayant pas d’enfant, j’aime bien nouer des relations avec ceux de mes proches. Nous nous sommes mis à nous balader sur la plage le soir tous les deux, à discuter pendant des heures, à nous baigner, à aller faire du vélo. Il était plus actif que son père et plus proche de ma personnalité.
Un soir, alors que nous marchions sur la plage tard dans la nuit car nous avions longuement discuté à la maison, il m’a pris la main. J’ai fait les gros yeux : « Mais enfin Julien tu es beaucoup trop jeune pour moi ! Et que dirait ton père ? » En même temps, j’aimais le contact de ses doigts chauds et doux autour des miens. Il s’est arrêté pour me faire face : « Je m’en moque de l’écart d’âge, j’ai envie de toi. Pas toi ? »
Il m’a attirée contre lui. Mes seins libres sous ma robe blanche légère sont venus s’écraser contre sa poitrine comme un coussin confortable. Nos bassins se sont pressés l’un contre l’autre et j’ai accueilli la caresse de sa langue dans ma bouche. L’air marin du soir balayait nos cheveux libres, gorgés de sel et de soleil. Ses mains ont caressé mes fesses lentement, réveillant chaque parcelle de peau. La chaleur de son contact a réchauffé mon cul, jusqu’à me faire mouiller ma culotte.
Il faisait désormais nuit noire, et le ciel était magnifique. Julien m’a attirée sur la jetée, ce pont en bois qui se jette dans la mer. Il n’y avait personne car il était tard et il faisait frais. Je me suis étendue sur les planches. Là, les lampadaires éclairaient ma peau et les traces de bronzage laissées par mon maillot.
Je ne voulais pas qu’il regarde mon corps de trop près, mais il a enlevé ma robe et a admiré ma nudité avec tendresse et désir. Ma culotte a fini à mes côtés. Son visage si jeune et si beau me regardait. Sa tête est descendue entre mes cuisses et sa langue s’est mise à lécher ma chatte offerte au vent du soir.
Il était habile, il titillait parfaitement mon clito de ses ardeurs humides. Sa fougue me plaisait. J’avais vu tant d’hommes de mon âge qui n’étaient pas vraiment gourmands, dont l’avidité sexuelle avait disparu ! Lui voulait se donner corps et âme. Je l’ai un peu guidé : « Plus vite, un peu moins fort, oui comme ça… » Mon jeune amant s’appliquait et moi, détendue sur la jetée de bois, j’en profitais.
Je voulais qu’il me lèche longtemps, je voulais vraiment tirer toute la sève de cette patience et de cette jeunesse éclatante. J’ai joui une première fois grâce à ses coups de langue appliqués, le corps à la fois bouillonnant et parcouru de chair de poule à cause de la brise. Le bruit des vagues nous berçait, les étoiles brillaient au-dessus de moi quand j’ai joui, yeux grand ouverts.
Puis je lui ai demandé de me doigter la chatte et de prendre son temps. A demi allongé à mes côtés sur la jetée, il a crocheté deux doigts en moi pour caresser l’intérieur de mon vagin, d’abord doucement, le temps de l’apprivoiser puis, suivant mes indications, en pressant de plus en plus fort et sans discontinuer.
En même temps qu’il me caressait, je me branlais à nouveau le clito. Les vibrations dans mon bouton de plaisir s’intensifiaient en rencontrant la pression délicieuse de ses longs et jolis doigts qui stimulaient mon point G. Il regardait mon corps, émerveillé, mon buste se tordre. Il guettait la moindre de mes réactions, me dévorait du regard. C’était torride !
Comme il était très discipliné, j’ai encore atteint un double orgasme partant du contact de ses doigts et remontant dans mon clito et mon ventre. Je sentais ma cyprine s’écouler sur sa main. Le fils de mon collègue était vraiment un super coup ! Mais il ne faudrait surtout pas que son père l’apprenne, il risquerait de mal le prendre…
Je voulais savourer encore ce moment. J’adorais ma nudité dans l’air du soir, le fait qu’il se soit si bien occupé de moi. Sa bite était dure, grosse, enflée, elle me donnait l’eau à la bouche. Il a retiré son pantalon et son caleçon et est venu entre mes jambes. Il a frotté son sexe contre le mien, écartant mes lèvres, excitant l’entrée de mon vagin, tout en caressant l’intérieur de mes cuisses de ses doigts de velours. Quel merveilleux amant…
Je voulais qu’il me saute à présent. Il m’a prise en missionnaire avec son gros sexe, magnifiquement dressé contre son corps si jeune… Cet envahissement m’a encore ravie, car il était vigoureux, il me baisait bien. Je débordais de désir alors je voulais qu’il me baise vite et fort, je voulais qu’il m’emporte dans sa fougue. Je sentais sa verge grosse en moi, se frayant un chemin et stimulant tout mon sexe…
Il s’enfonçait et bougeait ses jolies fesses lisses rapidement pour me prendre comme un animal fou. Je l’accueillais contre moi pendant que je le sentais me prendre avec une folle sensualité. Nos sexes avaient une parfaite alchimie entre eux… J’ai fini par me mettre sur le ventre, sur la jetée, allongée, pour qu’il se glisse en moi. J’adore cette position car avoir les jambes un peu resserrées crée encore plus de sensations.
Sa bite se glissait dans ma chatte et provoquait une marée de plaisir. Mes cris se mêlaient aux échos de la mer… Cette fois, il allait au ralenti, de sorte que je sente bien toute sa queue entrer et bouger en moi… J’ai encore joui et lui aussi a fini par tout lâcher – il avait été tellement endurant malgré son impatience ! C’était incroyable, j’avais l’impression de vivre une seconde jeunesse. Nous sommes rentrés en nous embrassant dans les dunes, et nous avons même encore baisé sur le chemin du retour…
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Caillat
À la fois romantique sensuel et chaud, très bien j’ai aimé….