Le couvreur voyeur m’a parlé de toi
21 juillet 2020Ruben, 50 ans, tombe sur une partouze en descendant du toit d’un immeuble. Il va avoir le droit à un porno live mémorable !
Quand cette histoire de sexe m’est arrivée, je me suis dit « ça, c’est une dinguerie pour interstron.ru ». Je suis couvreur en région lyonnaise. Ce matin-là, j’étais en train d’évaluer les dégâts sur une cheminée après les tempêtes de cet hiver, sur le second bâtiment d’un immeuble qui donnait sur une cour. Un boulot de routine. J’allais redescendre du toit en rappel, le long de la façade, pour passer par la fenêtre des communs juste en dessous des combles. Et puis j’ai vu du mouvement du coin de l’œil. Je me suis retourné par réflexe.
Il faut voir dans quelle position j’étais : suspendu au niveau du cinquième comme une araignée, avec mon casque et mon baudrier. Le mouvement venait d’un appartement du bâtiment A, pile en face de moi et à seulement dix mètres de distance (la cour qui séparait les deux bâtiments était petite). J’ai plissé les yeux pour être sûr de ce que je voyais par la fenêtre. Quatre personnes, deux mecs, deux nanas. Les filles étaient allongées sur le lit, à plat ventre et la tête dans ma direction, et les mecs étaient chacun en train de manger un cul. J’ai ouvert des mirettes grandes comme des soucoupes. Le pire, c’est que ces gens savaient que j’étais là ! Les nanas me regardaient. Quand elles ont vu que je matais, elles ont rigolé et m’ont fait des grands coucous. Les gars ont plongé encore plus fort entre leurs fesses.
BOUTIQUE SEXY – LES SOLDES SONT LÀ !
Une des nanas a mimé une pipe avec sa main et sa langue. J’ai senti le baudrier qui me serrait à l’entrejambe. Allez, j’étais en train de bander… L’autre m’a fait signe de sortir ma queue. J’ai regardé à droite et à gauche pour être sûr qu’aucun voisin ne pouvait me voir. On était en fin de matinée et les partouzeurs étaient apparemment les seuls dans l’immeuble. J’ai déboutonné mon pantalon et en galérant un peu, j’ai sorti l’engin. Il faisait frais, alors j’ai dû m’activer pour faire monter la sauce. Les mecs m’ont bien aidé en changeant de position. Ils se sont redressés et se sont mis à s’astiquer au-dessus du cul des deux filles. Elles, elles me regardaient en faisant des mous de cochonnes. Ah, et je ne les ai pas décrites. Deux blondes avec les cheveux longs qui se ressemblaient comme des sœurs jumelles. La trentaine. Des beaux nichons qu’elles me montraient en se relevant un peu du lit. J’ai fait signe avec les doigts qu’elles s’embrassent. Elles ont ri et se sont rapprochées, puis elles se sont roulées des patins très sensuels, en montrant bien leurs langues qui se touchaient.
Derrière, les mecs étaient aussi chauds que moi. Ça tirait sec sur les bistouquettes. Ils se sont redressés sur leurs avant-bras d’un côté et de l’autre, ils ont empoigné leurs gros gourdins. Les filles ont compris le signal. Elles ont écarté leurs fesses et se sont laissé embrocher lentement. On voyait qu’elles les sentaient passer. Elles me regardaient avec des grands yeux écarquillés… J’étais à bloc sur mon dard. Malheureusement, les mecs étaient plus endurants que moi. J’ai tenu trois minutes, mais quand les filles ont recommencé à se galocher tout en se faisant défoncer à mort, j’ai juté. Mon foutre a coulé de cinq étages jusqu’au sol de la cour. En voyant ça, les filles m’ont fait des coucous toutes contentes mais les mecs les ont vite replaquées sur le lit pour les terminer dans les règles. Le premier s’est retiré et s’est terminé sur le cul de sa blonde, l’autre l’a farcie sans pitié. La fille qui s’était pris le foutre dans le cul s’est relevé la première et a léché le jus étalé sur les fesses de sa copine, puis c’est elle qui s’est fait lécher la crème qu’elle avait dans le fion.
Je me repasse le film souvent et je regrette de ne pas avoir pensé à filmer. Un truc de fou, je vous dis !