Les fesses de la sirène
4 juin 2019Embarquement immédiat sur un voilier pour une aventure torride à trois heures du matin !
J’avais dix-neuf ans et je venais de perdre ma virginité avec Pedro. Ça avait été nul, désagréable, un peu douloureux et en plus ce con avait joui au fond de moi… Sans capote ! Je m’en voulais tellement, pourquoi avais-je voulu que ce soit lui le premier ? Quelle idiote… J’avais tout raconté à Louise, ma meilleure copine, j’étais chez elle en vacances. Ça au moins, c’était cool : la journée à la plage et le soir, c’était la fête, ou alors on discutait jusqu’à plus d’heure toutes les deux… Ses parents étaient sympas, et il y avait souvent du monde chez eux. C’est lors d’une de ces soirées que j’ai rencontré Joël, une cinquantaine d’années et je ne sais pas… J’ai flashé sur lui. Sa femme était là aussi, très belle.
À un moment de la soirée, on s’est retrouvés tous les deux à discuter. Il me fascinait. Inconsciemment, je le draguais déjà, je crois. Il a fini par s’en rendre compte et il s’est mis à me courtiser plus ouvertement… Je ne m’y attendais pas du tout. Il n’était pas grossier ni rien, plutôt très charmeur. Il me souriait franchement me regardait dans les yeux, plongeait son regard dans mon décolleté, sur mes jambes… Je le sentais partout sur moi et j’aimais ça, je riais beaucoup. Sa femme est arrivée et s’est jointe à nous une minute, ils allaient y aller… Mais juste avant de partir Hector m’a glissé à l’oreille : « Le port, ponton C, dans une demi-heure. »
J’y suis allée. Il est arrivé cinq minutes après moi. Je me demandais ce que je faisais avec cet homme à trois heures du matin, je m’apprêtais à repartir, quand il a dit : « Viens, on embarque. » Le voilier était superbe, un treize-mètres m’a-t-il dit. Il a démarré le moteur. « Larguez les amarres ! » Il nous a détachés, et on a filé dans la nuit, juste éclairés par la lune. Il s’est mis torse nu et s’est affairé à mettre les voiles. Je le regardais, n’osant rien faire… Il était beau. Je me suis mise torse nu aussi, je voulais sentir le vent de l’aventure.
Il m’a vue et m’a regardée longuement avant de se mettre à chanter… Puis il est revenu vers moi et a pris la barre pour régler le bateau. « Tu es magnifique, tu es une délicieuse sirène, un merveilleux fruit défendu… Tu ne veux pas aller nous chercher du champagne ? » Je suis descendue dans la cabine, j’ai trouvé bouteille et verres, j’allais remonter. Mais d’abord, je me suis mise toute nue, je voulais tout lui montrer, qu’il me dise encore comment j’étais belle. J’étais sous son charme, je voulais l’envoûter. Je suis remontée nue, lascive, balançant les hanches sous un rythme imaginaire. Il était bouche bée… « Je suis belle ? Je te plais ? »
Je lui ai raconté ma première expérience loupée, je lui ai demandé de faire attention à moi. Je voulais que ce soit comme une première fois… Il m’a écoutée, nous avons bu, j’étais un peu éméchée, il a mis le pilote automatique et c’est devenu très sensuel.
Il m’a d’abord allongée sur le dos pour me lécher. Mon sexe s’ouvrait lentement, s’humidifiait sous sa langue, il savait à merveille jouer de mon clitoris, je me laissais aller, laissant échapper de petits cris… Je voulais que cela dure éternellement.
Mais il m’a retournée, j’étais à quatre pattes, il a engouffré sa tête entre mes jambes de nouveau, mais cette fois-ci, sa langue venait aussi sur mon périnée et sur mon anus. J’ai d’abord cru qu’il se trompait, j’étais réticente à cette caresse. « Laisse-toi aller. » J’ai arrêté de gigoter et je l’ai laissé faire. Il avait écarté mes globes fessiers de ses mains, et sa langue est venue sur mon petit trou comme pour le pénétrer. Il avait mis des doigts dans ma chatte et ne négligeait pas mon clitoris non plus. Très vite c’est devenu délicieux, j’ai su que j’allais jouir comme jamais, alors je me suis totalement abandonnée. Le plaisir est monté de mon ventre, il avait trois doigts dans ma chatte qu’il secouait vivement, je dégoulinais. Et mon petit trou… non, ce n’est pas possible, me suis-je dit : mon œillet s’était ouvert en grand et sa langue était dedans.
Je me suis lâchée, j’ai ouvert la bouche et laisser aller tous ces cris qui étaient en moi, que tout le monde sache. Un torrent de plaisir m’a envahie, et « Ohhh ! » Une vague de jus s’est écoulée de mon sexe. Je me suis écroulée, épuisée, le bateau avançait toujours, Hector était là, et me regardait tout sourire…
On est resté là, sous la lune, et puis j’ai eu envie, encore. J’ai sorti le sexe d’Hector de son short et je l’ai sucé. Puis il était nu lui aussi. On a filé dans la cabine. On s’est caressés. J’ai voulu qu’il me prenne, qu’il vienne dans ma chatte. Je le lui ai dit. Il s’est engouffré. Quelle délivrance, mon sexe n’attendait que cela. Je m’agrippais à lui comme une naufragée, et il me possédait. Ma chatte était ouverte comme jamais, béante, dégoulinante, et lui impérieux me faisait mouiller encore plus…
Il m’a retournée, s’est enfoncé en moi, je couinais de plaisir. J’allais jouir à nouveau, j’étais en levrette et il me possédait, ma chatte bien sûr, mais tout mon corps aussi et moi je m’abandonnais entièrement. J’ai joui à nouveau. Il était toujours là, au fond de moi. Son sexe toujours bien dur.
Il m’a humecté le cul de sa salive, a joué avec ma rondelle du bout des doigts, je me laissais faire, j’étais à sa merci. Puis son gland est venu frapper à mon petit trou, je l’attendais, je le redoutais aussi. Il a pris son temps. Il me caressait les seins, j’étais perdue. Je voulais qu’il me baise encore. « Je suis prête… Viens dans mon cul… S’il te plaît… » Il n’a rien dit, son sexe s’est immobilisé, il me couvrait de tout son corps. J’attendais. « J’arrive, ouvre-toi bien petite fée, laisse-moi passer… » Ces mots susurrés à mon oreille, il a poussé. Son gland a trouvé le chemin de mon cul. J’étais comme soulagée, aucune douleur, une sensation de bien-être, de plénitude, d’être remplie, quel bonheur ! Mes doigts s’activaient sur ma chatte, sur mon clito. Lui m’envahissait le fion… J’étais vraiment dilatée, mais mon conduit était forcé de s’élargir encore pour le laisser passer.
Il est ressorti pour mieux me pénétrer à nouveau. Il m’enduisait de salive, et le plaisir est revenu. Quelle surprise, il était là au fond de moi, il montait petit à petit. Hector me labourait comme un gentleman, me laissant reprendre mon souffle, me laissant m’apprivoiser, me laissant retrouver le plaisir. Il m’enculait et j’y prenais du plaisir, il m’enculait et c’était bon. Son sexe coulissait dans mon cul, tout en douceur. C’était très intense, mes parois le laissaient glisser. J’étais confiante : il n’allait pas me le mettre tout entier, il voulait que je jouisse, alors je me suis concentrée sur mes sensations, j’ai fait mienne cette dilatation forcée… Mes doigts s’activaient sur ma chatte, sur mon clito et je me suis mise à jouir encore une fois, d’une jouissance inédite, interdite, une jouissance cachée. Il m’a laissé jouir et s’est retiré de mon cul.
J’ai repris mes esprits, il était là, il bandait toujours… Je l’ai pris dans ma main, dans la bouche, sentir l’odeur de mon propre cul… Je l’ai branlé, qu’il vienne sur mon visage, qu’il m’enduise de sperme comme dans les films. Il s’est branlé au-dessus de moi, je le regardais, dans les yeux… Allez ! Qu’il m’asperge, qu’il prenne son pied lui aussi, qu’il m’enduise de son foutre ! Il a fini par jouir, j’en avais partout : les joues, la bouche, les yeux… Il avait joui et dans son regard, j’ai vu l’extase… On est rentrés au petit matin : j’avais déjà envie de lui à nouveau !
(Image à la une : Getty Images)
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La petite sirène
« J’ai appuyé sur son dos pour qu’elle se courbe et je lui ai enfoncé mon engin en un coup de hanche. Elle était trempée, ça coulissait parfaitement ! Elle ne faisait aucun bruit, pas un gémissement. Normalement, je pense toujours qu’il y a un problème dans ces moments-là, mais au vu de ses gestes j’ai su qu’elle aimait ça. » Jean-Charles.
Rencontre bi dans les dunes
» Nos deux belles brunes étaient installées l’une à côté de l’autre. Elles ont commencé à se caresser les cuisses, échauffées par nos récits de plus en plus libérés. Nos deux sirènes se sont caressées avec une infinie douceur. » Les coquins des dunes.
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Angélique, Cindy, Chéryle et Alice ont toutes les quatre répondu à notre annonce de casting. Angélique et Cindy désirent tenter une nouvelle expérience. Chéryle brune plantureuse aimerait se lancer dans le X. Et Alice veut prouver à ses amis qu’elle n’est pas si coincée que ça. Un nouveau casting très prometteur….