Prise dans un sex shop !

La rédaction 21 janvier 2021

Très coquine Chloé, 21 ans, se rend dans un sex-shop afin d’offrir un sextoy pour l’enterrement de vie de jeune fille de sa meilleure amie. Finalement c’est elle qui va se retrouver à tester les godes à l’arrière du magasin en compagnie du vendeur ténébreux.

Je vous écris pour vous raconter ma dernière aventure de libertine dans cette histoire de sexe. Attention, âmes sensibles, s’abstenir. Ma meilleur amie Iris se marie dans quelques mois. Comme je suis la coquine de la bande, j’ai été chargée de la préparation d’un enterrement de vie de jeune fille super chaud : chippendale, alcool à gogo et comme final, un beau panier garni d’objets sexy. Je voulais notamment offrir un beau gode à Iris, et aller l’acheter dans une boutique où j’avais croisé des vendeurs très craquants.

Dès mon entrée dans le magasin, j’ai repéré un brun costaud au regard de braise. J’ai foncé droit sur lui : « Salut, je voudrais offrir un gode pour l’enterrement de vie de jeune fille de ma meilleure copine et j’ai besoin de conseils ». Le beau gosse a répondu en souriant : « Ça tombe bien. Moi, c’est Kevin, mais tu peux m’appeler le roi du gode », et il m’a entraînée au rayon sextoys.

Des bleus, des roses, des petits, des gros… Il y en avait vraiment pour tous les goûts. J’ai attrapé un oeuf vibrant. Kevin m’a regardée d’un air faussement déçu « Ah ça, c’est pour les débutantes. Tu ne veux pas un truc plus… conséquent ? » J’ai souri d’un air naïf et j’ai saisi un gros machin bleu. « Le double dong ? À utiliser avec ton amie, ça peut être chouette ». Son regard en disait long sur ce qu’il avait dans la tête : une image de moi et ma copine en train de nous prendre le cul par l’intermédiaire du gode

Très émoustillée par cette idée, j’ai passé la vitesse supérieure : « Et avec un homme, on peut tenter ? » À mon grand plaisir, Kevin s’est approché de moi et m’a peloté les fesses sans vergogne, en me chuchotant à l’oreille : « Le boss n’est pas là. On peut passer dans l’arrière-salle, voir si cette petite merveille rentre… » Bouillante de désir, je l’ai suivi dans une petite pièce mal rangée, avec un canapé et tout un tas d’objets qui traînaient dans les coins. Je n’étais sans doute pas la seule à être passée par là… Kevin s’est de suite mis à poil et m’a demandé de faire pareil. Il a attrapé un appareil photo sur une table basse et m’a regardée me déshabiller. « Montre-moi ce que tu as ! » J’avais l’impression d’être dans un de ces pornos où l’actrice doit faire ses preuves lors d’un casting très, très hot. J’ai décidé de me lâcher totalement et j’ai présenté mon cul et ma chatte bien ouverts à mon photographe.

Kevin bandait à présent comme un taureau et sa grosse bite semblait palpiter d’excitation. Il m’a tendu le gode d’une main et s’est mis à se toucher de l’autre. À quatre pattes devant lui, j’ai commencé à sucer le gode pour le lubrifier. Pas besoin de beaucoup, je sentais déjà ma rondelle se détendre sous l’effet du désir. Tenant fermement le chibre en plastique d’une main, j’ai écarté mon cul de l’autre. Et doucement, j’ai senti le dong s’enfoncer dans moi…

Kevin s’est branlé de plus belle, son gland rentrant même carrément dans ma chatte tellement il tirait sur son mandrin. Après quelques allers-retours, je lui ai laissé le champ libre : j’ai retiré le gode pour qu’il admire mon petit trou maintenant bien ouvert. Sans rien dire, Kevin a craché dedans… avant d’y mettre son gland d’un coup ! Je n’ai pas pu retenir un cri.

M’attrapant fermement, Kevin a pénétré plus profond encore. Sa queue était tellement grosse que je devais serrer les dents pour ne pas hurler. Un dernier coup de reins, il était maintenant tout au fond… N’y tenant plus, j’ai lâché un hurlement de plaisir, puis un deuxième. Kevin me labourait maintenant le fion… Je me suis mise à beugler comme une chienne, sans aucune retenue. L’affaire a dû durer au moins quinze minutes. Je ne savais plus où j’étais…

Les prunes de l’étalon tapaient sur mon con humide, ses ongles s’enfonçaient dans ma croupe et surtout, son braquemart me défonçait jusqu’au trognon. Quel plaisir ! J’ai joui à deux reprises, en montant à chaque fois dans les aigus. Kevin a fini par me retourner pour me prendre face à lui, mais toujours par le cul. Un vrai maniaque de la sodo ! Enfin, il a éjaculé en grognant comme un ours, m’inondant de sperme chaud.

En sortant de la pièce, j’ai vu le regard des autres clients : pour sûr, notre partie de baise était parvenue jusqu’à eux. Mort de rire, Kevin est allé chercher un gode derrière la caisse, dans un bel emballage rose. « Cadeau », a-t-il souri, « Tu le donneras à ton amie ! » J’ai finalement acheté un autre sextoy à Iris. Et j’ai gardé le cadeau de Kevin, que j’utilise depuis en pensant très fort à lui.

(Photo à la une : Getty Images)

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