Le jour où ma chatte s’est ouverte
13 octobre 2021Je m’appelle Aurore, j’ai 24 ans et j’aimerais partager une histoire porno avec vous. Je vis depuis plus de quatre ans avec Pascal qui m’a tout appris et me comble chaque jour un peu plus. Je suis de taille moyenne, assez mince, j’ai de longs cheveux châtains et une poitrine ferme surmontée de petits bouts qu’il aime particulièrement lécher. À la suite d’un pari que j’ai fait, je dois vous raconter comment j’ai commencé à faire l’amour avec mon chéri… C’est-à-dire à faire l’amour tout court, puisque Pascal a été mon premier amant.
Déflorer ma chatte
J’avais 19 ans et je le connaissais depuis un peu plus de deux mois. Nous nous étions déjà embrassés et je l’avais laissé me caresser le sexe par-dessus le pantalon au cinéma… Et les seins aussi, mais pas plus. Mes parents m’avaient appris à me méfier des garçons, et j’étais restée très innocente… Nous avons décidé de partir pour un week-end de quatre jours à la mer où un ami de Pascal possédait un appartement. Le premier jour, après nous être promenés tout l’après-midi et avoir mangé, nous nous sommes retrouvés seuls dans l’appart’.
J’étais stressée à mort. Mais, après m’être douchée, je suis venue me coucher près de mon amour. J’avais tout de même gardé mon soutien-gorge, ma culotte et une robe de nuit. Je ne savais pas trop ce qui allait se passer. En revanche, je voulais être toute à lui. Pascal a vu mon trouble et s’est comporté en vrai gentleman. Il m’a embrassée longuement et chastement avant de m’aider à retirer ma robe de nuit, puis mon soutif. Il s’est émerveillé en voyant pour la première fois mes seins totalement libres. Il les léchait, il mordillait mes aréoles qui sont devenues minuscules et dures.
J’étais bien, je me sentais flotter et je commençais à oublier la crainte de cette première pénétration. Il s’est mis à me caresser les cuisses et le ventre en s’approchant de plus en plus de ma chatte. J’ai laissé sa main passer sous l’élastique de mon slip d’étudiante et me fouiller la toison. Il s’est ensuite occupé de mes grandes lèvres et, quand elles se sont humidifiées et ouvertes, il est passé à mon clitoris, à mes petites lèvres. J’étais maintenant totalement détendue et trempée. Par contre, quand il a retiré ma culotte, je suis redescendue sur terre.
Il m’a embrassée en susurrant: « N’aie pas peur, .. » Je lui ai expliqué que j’étais vierge (il le savait bien) et que je craignais qu’il me fasse mal en me déflorant. De plus, je sentais contre mon corps sa verge tendue. Elle me paraissait énorme, et ce n’était pas fait pour me rassurer. Nous avons discuté un moment et conclu qu’il valait mieux reporter au jour suivant la pénétration tant redoutée. Il a quand même repris ses attouchements et m’a menée progressivement vers l’orgasme.
Une chatte prête à s’ouvrir
J’ai compris par la suite qu’il s’agissait seulement d’un « grand plaisir », semblable à ceux que je m’accordais le soir en me chatouillant le clito, plutôt que d’un orgasme réel et dévastateur comme ceux que Pascal me procure maintenant. Nous avons fini par nous endormir, enlacés. Mais, le lendemain, j’étais fermement décidée à devenir femme et à perdre ce maudit hymen. Après le déjeuner, je me suis préparée, j’ai pris un bain chaud avec beaucoup de mousse. Je me suis rasé les aisselles, puis j’ai voulu m’épiler la chatte.
J’avais remarqué sous la douche, après le sport, que mes copines étaient partiellement ou complètement épilées. Mais je n’avais jamais touché à ma toison. J’ai donc rasé les côtés et le dessus de mon triangle de façon à ne laisser qu’un ticket de métro. Je l’ai également raccourci aux ciseaux avant de passer le rasoir sur mes grandes lèvres même s’il n’y avait déjà presque rien. Le soir, après le resto en amoureux, j’ai juste enfilé un slip en dentelle (le plus sexy que je possédais) ainsi qu’une jolie robe que j’ai gardée ouverte sur le devant.
Je me suis blottie contre lui, et nous avons commencé à nous embrasser, à nous toucher. Son érection m’a semblé encore plus immense que la veille, mais je voulais le faire, je voulais qu’il me prenne, je voulais le sentir en moi. Je me suis collée à lui et j’ai retiré le peu que je portais. Quand sa main est arrivée sur mon sexe, il s’est arrêté. L’air surpris, il a baissé les draps et a observé mon petit minou avec la plus grande attention. « C’était si joli« , a-t-il seulement murmuré avec regret…
Soudain, il est devenu très direct, beaucoup moins tendre. Il est monté sur moi et m’a écarté les jambes. Il a placé son gros membre à l’entrée de mon sexe encore fermé et, après avoir sauvagement cueilli mes lèvres, il m’a « dévirginisée » d’un grand coup. J’ai serré les dents pour ne pas crier. Mais quand il s’est retiré pour me pénétrer à nouveau (tout aussi puissamment), je n’ai pas pu retenir mon cri. Je l’ai agrippé très fort en geignant. Il a fait une pause et m’a demandé pourquoi je m’étais rasé le pubis.
Alors j’ai réprimé un sanglot pour lui dire que je souhaitais juste lui faire plaisir, être comme les autres filles que j’avais vues nues. Après quelques instants comme ça, il a recommencé à me pistonner plus doucement et s’est achevé sur mon ventre. Son membre crachait un sperme rosi par mon sang de vierge. Le lendemain, nous avons décidé que je ne m’épilerais plus sans son accord et nous avons fait l’amour tendrement, encore et encore. Ce n’est que deux semaines plus tard que j’ai connu mon premier vrai orgasme dévastateur…
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