La maîtresse du couple

La rédaction 26 novembre 2021

Je m’appelle Coraline, j’ai 37 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Après mon divorce, je me suis retrouvée sans ressources et, comme je n’avais aucune qualification, je n’ai rien trouvé d’autre à faire que des ménages. Tous les matins, j’épluchais les petites annonces. C’est ainsi que je suis tombée sur un couple pas banal…

Nus comme des vers

Lorsque je suis arrivée à l’adresse indiquée, la porte était entrebâillée. Dans l’entrée, j’ai entendu un râle de plaisir, entrecoupé de gémissements essentiellement composés de “oui” et de “encore”. Mes futurs employeurs étaient en train de s’envoyer en l’air. Je suis ressortie discrètement, j’ai refermé la porte et j’ai longuement carillonné.

Un type d’une quarantaine d’années est venu m’ouvrir… nu comme un ver ! Devant mon étonnement, il a dit : “J’espère que la vue d’un homme nu ne vous dérange pas ? Que me vaut l’honneur ?” Ce n’était pas qu’il se balade la bite à l’air qui m’étonnait, mais son érection. Une érection solide d’ailleurs et une belle queue. Involontairement, un petit rire m’a échappé. “Je viens pour la place de femme de ménage.” Il s’est gratté les testicules en fronçant les sourcils.

cet instant, une brune bien en chair est apparue derrière lui. “Cherche pas Lionel, c’est moi qui ai passé une annonce.Elle aussi était complètement nue. S’adressant à moi, elle a ajouté : “Je m’appelle Élisabeth, ça ne vous gêne pas si on reste comme ça ?” J’ai fait signe que non.

On s’est installés au salon pour discuter des horaires et du travail que j’aurais à effectuer. Mine de rien, je les matais en douce. La femme était appétissante. Grande, avec des gros seins qui tombaient un peu et un arrière-train de jument. L’homme était plus petit qu’elle, presque un gringalet, mais bien monté. Il a débandé progressivement à mesure qu’on parlait.

Au bout d’un moment, sa femme l’a remarqué et a lancé en désignant son sexe qui s’avachissait : “Tu n’es pas très galant avec Madame !” Il a répliqué : “Ça dépend de Madame. Si elle veut jouer avec nous, moi, j’ai rien contre, et ça me requinquerait…

Tous les deux me regardaient avec bienveillance. Rien de forcé, c’était juste une proposition un peu incongrue. Depuis quelques mois, des employeurs libidineux et sournois qui me pelotaient en douce, j’en avais tellement croisé que la franchise de ces deux-là a enlevé le morceau. En plus, physiquement, ils n’étaient pas déplaisants.

J’ai commencé à déboutonner mon corsage. Lionel m’a arrêtée : “Laissez-nous faire…” Il s’est assis à côté de moi et m’a enlacée pour me rouler un patin. Élisabeth a dégrafé ma jupe et l’a fait glisser à mes pieds avec mon slip. À cause du baiser, je ne pouvais pas la voir. Ses mains ont écarté mes genoux. J’ai tressailli quand sa bouche s’est collée sur mon abricot.

L’homme s’est redressé comme si quelque chose l’avait piqué. “Mais qu’est-ce que tu fais ?, a-t-il lancé à sa femme. Tu es folle ? Comment est-ce que tu oses te conduire ainsi avec Madame que tu connais à peine ?” Elle n’a rien répondu, et pour cause, sa langue fouillait ma chatte. Il lui a flanqué une claque retentissante sur les fesses. J’ai eu un instant de flottement. À quoi jouaient-ils ? La réponse m’a vite été donnée.

La brune a enfoncé la pointe de sa langue dans mon vagin en gigotant son cul tandis que son mari la fessait. Il s’agissait visiblement d’un jeu entre eux. Plus il la fessait, plus il bandait, et plus elle me bouffait bien. Je me retenais pour ne pas jouir trop vite.

Embauche par le cul

Quand sa croupe de jument a pris une teinte rouge vif, il s’est placé à genoux derrière elle et a entrepris de l’enculer. Elle a relevé la tête en poussant un cri. Ses yeux s’étaient écarquillés. L’homme a donné un coup de reins plus violent. Elle a râlé : “Non ! Pas ça, salaud ! Ta bite est trop grosse, elle me fait mal…” Mais il y avait quelque chose dans son ton qui démentait ses paroles. D’ailleurs, il n’en a pas tenu compte.

Elle a replongé le nez dans ma chatte, et leur jeu a continué. De temps en temps, elle protestait et il répliquait en la traitant de salope ou de grosse cochonne. Mais sa langue savait très bien faire ce qu’il fallait. J’ai commencé à soupirer quand elle s’est concentrée sur mon bouton. Lui la tenait aux hanches et remuait lentement d’avant en arrière.

Peu à peu, elle a semblé s’habituer au morceau de chair qui coulissait plus aisément dans son cul, et des halètements de plaisir ont remplacé ses plaintes. Ensuite, les halètements ont laissé la place à des petits cris énervés, à des tortillements du bassin. Visiblement, la douleur initiale était oubliée. Elle cambrait les reins pour s’offrir davantage.

Enfin, abandonnant mon minou, elle s’est mise à gémir : “Oh ! Mon chéri ! J’ai envie que tu décharges dans mon cul…” Mais il s’est retiré d’un coup sec. “Non. Je ne veux pas jouir dans ton cul. Pas avec une si belle femme à côté de moi.” Et tous les deux m’ont à nouveau regardée avec insistance. Sa bite pointait vers le ciel, rouge et luisante.

Nous sommes restés immobiles à nous observer. Une odeur de sexe et de transpiration montait de nos corps en chaleur. Après un temps assez long, Élisabeth a dit en se tournant vers son mari, un doigt pointé vers ma chatte : “Tu n’as qu’à l’enfiler…” De la tête, il a fait non. Elle a repris : “Qu’est-ce qui te plairait alors ?” Il a répondu : “Dans son cul.” Cette façon de parler de moi comme si j’étais à leur disposition me faisait un effet incroyable.

Comme je sentais qu’ils attendaient une initiative de ma part, j’ai écarté mes fesses à deux mains en demandant à sa femme : “D’accord, si vous me préparez avec votre bouche.” Sans cacher sa jubilation, elle a collé sa langue sur mon petit trou. L’homme, les yeux exorbités, s’est approché pour voir de plus près. Ensuite, il m’a enculée et j’ai divinement bien joui.

Bien évidemment, ils m’ont embauchée. Depuis, je suis devenue leur femme de ménage et leur maîtresse. Beaucoup plus maîtresse que femme de ménage d’ailleurs, puisque nous envisageons de vivre ensemble tous les trois. Ils sont aussi cochons l’un que l’autre, et je m’éclate avec eux comme ça ne m’était plus arrivé depuis que mon mari m’a quittée. C’est vraiment parfait !

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