La pompe de la cochonne
1 novembre 2021Je m’appelle Pascal, j’ai 40 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Les gens prennent des vacances l’été, moi je travaille dur. J’ai monté ma boîte d’entretien des piscines et je passe tout juillet et août à aller chez des gens pour nettoyer les conneries qu’ils font dans leur maison de vacances.
Jolie minette a besoin de compagnie
Il y a deux ans, j’ai été appelé pour un problème dans un trou paumé, à l’extérieur d’Arles. J’ai débarqué avec ma camionnette et mes outils en plein cagnard, pensant arriver dans une famille parisienne en goguette. Mais c’est une jolie Lolita en bikini qui m’a accueilli. Elle m’a raconté une histoire de pompe de nettoyage qui ne marchait pas.
Je suis allé dans le local piscine et j’ai commencé à vérifier si tout fonctionnait. La gamine se tenait à côté de moi, à faire des commentaires sur la chaleur, sur le fait qu’elle s’ennuyait en attendant que des copains à elle arrivent de Marseille… Moi, je captais surtout qu’il n’y avait aucun souci avec la piscine et que la Lolita avait surtout envie de compagnie.
Je me suis tourné vers elle et j’ai balancé : « Dis-moi, c’est quoi le vrai problème ici ? » Elle a gloussé et a montré sa bouche : « Je voudrais vérifier si cette pompe-là fonctionne bien. » J’ai été pris d’un coup de chaud et j’ai senti ma bite durcir d’un coup dans mon short. À peine le temps de dire ouf que la petite avait attrapé un coussin dans le coin du local, l’avait mis sous ses genoux et se mettait en position pour me sucer. Je n’ai pas pu résister. J’ai attrapé ses cheveux et je l’ai plaquée sur ma tige.
Elle a léché à travers le jean, mordillant le bout. J’ai tiré sur la ficelle de son maillot qui s’est défait en laissant sortir ses gros nibards bien fermes. Déjà, la garce avait sorti mon chibre et léchouillait le gland.
J’ai enfoncé ma bite dans sa bouche, et elle a poussé un râle. J’ai commencé à lui bourrer la bouche comme il faut, pendant qu’elle faisait des bruits de lavabo comme dans les films X. Pas de doute, sa pompe marchait à fond !
Ma tige entre ses gros seins
Je sentais que j’allais gicler si je ne me concentrais pas, alors je suis ressorti. J’ai pressé ses loches et j’ai plié les genoux, histoire de me retrouver à la bonne hauteur. J’ai pu fourrer mon chibre entre ses gros melons, et elle m’a regardé d’un air gourmand, tout en laissant un filet de salive couler jusqu’à mon gland. Mon bâton a pu glisser sans problème, et j’ai serré ses nibards encore plus.
J’avais des envies cochonnes avec elle. Je l’ai allongée sur les coussins poussiéreux et je me suis mis au-dessus d’elle, la bite tendue vers ses lèvres de suceuse. Je la dominais complètement, et elle n’avait qu’à avaler au rythme que j’avais choisi. De temps en temps, elle se dégageait pour reprendre son souffle, et je lui collais mes burnes sous le nez pour qu’elle les lèche.
Elle remontait très loin, presque jusqu’à l’anus. J’en avais des frissons dans le dos. Vraiment, j’avais dégotté une avaleuse de première… J’ai fini par sortir de sa bouche et j’ai remonté ses jambes. J’ai inspecté sa petite chatte rose et je me suis demandé quel âge elle avait. Sans doute la petite vingtaine, vu comme elle était serrée, mais déjà des manières de femme expérimentée. Combien de ses petits copains de Marseille lui avaient déjà pris la chatte ?
Très excité, j’ai décidé qu’il était temps que je la fourre moi aussi. J’ai donné un coup de reins et je me suis retrouvé dans son con étroit. Elle gémissait comme une petite chienne, ce qui m’a fait durcir encore plus. Je suis resté à la limer pendant cinq bonnes minutes en malaxant ses gros seins qui gigotaient dans tous les sens.
Quand j’ai senti que c’était bientôt bon pour moi, je me suis retiré. Un long filet de mouille me reliait à ce petit con de salope. J’ai empoigné mon vié et je l’ai porté vers sa bouche, la mouille coulant sur sa langue. J’ai planté une dernière fois mon dard dans sa glotte et j’ai déchargé. Une grosse lampée de sperme chaud pour la mignonne ! Elle a tout bu les yeux fermés.
La petite coquine m’a rappelé plusieurs fois. Je suis retourné la voir et j’ai même pu rencontrer une de ses copines. Pour sûr, ça a été un de mes meilleurs étés.