Cours de langue

La rédaction 21 mai 2021

Stéphane, 45 ans veut apprendre le russe pour le boulot. Ses cours avec la divine Irina vont vite se transformer en travaux pratiques.

Je suis un mec de 45 ans et avant que je vous envoie cette histoire porno, on peut dire que je m’emmerdais carrément dans ma vie sexuelle. Ma libido a pas mal baissé ces dernières années car j’avais beaucoup de pression au taf.

J’ai un poste de représentant commercial pour une boîte internationale et c’est un boulot qui prend beaucoup de place et me fait pas mal cogiter. Ça a même été la cause de mon divorce. Heureusement, une autre femme est venue mettre de la lumière dans tout ce merdier. En vue d’une future collaboration avec un client russe, j’ai pris la décision de prendre des cours de langue et d’apprendre le russe qui m’avait toujours attiré. J’ai cherché en ligne des profs particuliers et je dois dire que lorsque j’ai vu la farandole de meufs russes canonissimes, je me suis dit que je pourrais y trouver de quoi me retaper (au moins le moral).

Mon dévolu s’est porté sur Irina, une femme de 40 ans à l’air un peu austère et à la peau pâle qui dégageait une force de dingue. Elle me faisait fantasmer, sur sa photo sage. Je me disais que c’était une façade et je me suis même paluché en m’imaginant apprendre les rudiments de la langue avec elle. Ça restait de l’ordre du fantasme, j’y pensais juste pour me marrer, mais j’avais vraiment en tête d’apprendre. C’était avant qu’Irina se pointe à ma porte et que je la découvre : cette femme avait tout d’une diva, à la fois hyper froide d’apparence et hyper bonne, avec un côté domina. Je l’imaginais divorcée comme moi, venue en France pour échapper à la dureté des préjugés envers les femmes seules en Russie. Elle avait un truc triste dans son visage. Elle m’a grave intimidé, et du coup elle m’a encore plus excité !

Nous avons commencé nos cours en tout bien tout honneur. Irina me vouvoyait tout le temps et ne se déridait pas d’un poil. Jusqu’à ce qu’elle fonde en larmes, un jour, en recevant un texto. C’était pour fignoler son divorce, elle devait retourner en Russie. Je me suis dit que ça tombait bien et que je lui offrirais mon épaule en réconfort ! Je me suis autorisé à disserter sur sa vie : elle retrouverait quelqu’un, elle était fabuleuse. Elle m’a regardé avec étonnement à travers ses larmes comme une gamine et pour la première fois, j’ai vu sa vulnérabilité derrière la façade stricte. Elle était trop craquante, je vous jure ! On a décidé de mettre un terme au cours et d’aller se jeter quelques verres dans le gosier au bar d’en bas. On a bu de la vodka en hommage à son divorce.

Elle s’est mise à me faire réciter des mots salaces en russe pour blaguer et j’adorais qu’elle me traite comme son écolier. Elle m’engueulait un peu en même temps, je kiffais trop qu’elle me rudoie comme ça. On est montés chez moi boire un dernier verre. Échauffé par la vodka, je me suis penché pour l’embrasser. Elle a rigolé tout en me tapant sur les doigts en reprenant son rôle de maîtresse stricte. Je crois qu’elle avait senti que ça me titillait quand elle était comme ça.

Avec ce sourire fiché sur son visage, elle s’est levée et s’est remise à me parler en russe. Je l’ai regardée sans comprendre. “Ça veut dire : laisse-toi faire.” Irina a retiré ses chaussures. Ses pieds tendus de bas noirs en nylon étaient si beaux… J’avais un petit faible pour les pieds et je n’avais jamais pu expérimenter. Ça rejoignait mon petit côté soumis “soft”. Avec ses jolis petons, elle est montée sur le canapé et, le visage impassible, elle s’est mise à me masser la teub à travers mon jean. La chipie ! J’étais dur comme du béton dans mon fute. Elle l’a senti et s’est installée à l’autre bout du canapé, tournée vers moi, attendant que je sorte le matos. J’ai libéré mon asperge et elle a tendu ses pieds vers ma tige pour la branler avec. Ce faisant, j’avais une jolie vue sous sa jupe et ses cuisses écartées.

Je voyais son petit string qui lui pénétrait presque le sexe. Elle continuait à me parler en russe tout en me faisant cette branlette très personnalisée. J’étais comme un fou ! D’un coup, ma libido est revenue rouler sur moi comme un bulldozer. Son ton était dur, on aurait dit qu’elle m’insultait. Peut-être que comme je trimais comme un âne au boulot, j’avais besoin de me lâcher dans le cul et de me faire traiter comme une merde, mais d’une manière qui m’excitait, moi et ma partenaire. Bref, j’étais aussi dur qu’un mur. Irina avait l’air de bien s’amuser. Elle s’est avancée pour lécher un peu mon pieu et le sucer. Puis elle a écarté son string sans prendre la peine de se déshabiller et elle m’a baisée en cavalant sur moi, avec toujours cette même autorité professorale. Elle me dominait de son buste imposant, et me bouffait la bite avec sa chatte. Son corps se gondolait sur moi et sa minette me faisait le meilleur des massages du chibre. J’ai joui comme un fou en entendant ses vocalises russes et j’adorais me laisser faire comme le bon élève docile que j’étais.

Elle aussi m’a dit qu’elle avait pris son pied et qu’elle avait hâte de reprendre nos cours. Autant vous dire qu’après ça, je suis devenu ultra assidu en russe ! Spaciba Irina !

A LIRE AUSSI : 

La bulgare naturiste 

Le cours de nata-fion 

Echange de langue 

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru