J’ai oublié mon maillot

La rédaction 18 février 2020

Jérémy, 31 ans

J'ai oublié mon maillot histoire de sexe

Je m’appelle Jérémy, j’ai 31 ans et je suis un fidèle lecteur d’interstron.ru que j’achète tous les mois en kiosque. Je vous envoie une bonne histoire et quelques photos que je vous autorise à publier. Il y a deux semaines, Séverine, ma cousine, m’a annoncé qu’elle se pointait.

J’habite Mandelieu, près de Cannes. Je suis allé la chercher à la gare. Elle était venue avec une copine, Rebecca, une belle brune à gros seins, méditerranéenne, et chaude comme la braise, ça crevait les yeux ! Par exemple, elle a voulu prendre une douche et elle en est ressortie à poil : « J’ai pas de serviette ! » Tu parles, la miss, elle dégoulinait de partout !

Le soir, on est allés faire un tour à La Siesta, sur la route d’Antibes, et on a picolé. La copine de Séverine m’a passé plein de mains au cul. Sauf qu’elle n’a pas tenu le coup. Elle s’est endormie pendant le trajet du retour, j’ai dû la porter jusqu’au lit. Le lendemain, elle était tellement malade qu’on est partis à deux, Séverine et moi, aux îles de Lérins.

J’ai un petit bateau à moteur. Pour serrer des meufs, c’est efficace. Sauf que là, j’étais avec ma cousine. On a mouillé au large de Saint-Honorat. Et là, Séverine m’annonce qu’elle a oublié le sac avec le pique-nique. Il y avait tout dedans : les bières, la pissaladière, la crème solaire, les maillots. J’ai fouillé dans la cabine, je lui ai passé de l’écran total, et pour le maillot, je lui ai dit qu’elle n’en avait pas besoin : on allait jeter l’ancre au large de la plage de la Batterie, une crique naturiste: « Je virerai mon caleçon par solidarité, t’inquiète. »

On a mouillé en mer, et on s’est mis à poil. On ne s’est pas baignés longtemps. L’eau était super froide à cause du mistral. On est remontés à bord pour faire bronzette, et là, j’ai pu détailler le beau corps de ma cousine. Des seins lourds, de bonnes hanches, et une touffe de poils au niveau du pubis (le reste était parfaitement épilé). De son côté, elle a détaillé ma masculinité. Je me suis rappelé que j’avais une bouteille de rosé dans le minifrigo. Nous l’avons sifflée en nous remémorant des anecdotes sur nos vacances à l’île d’Oléron, quand nous étions gosses. C’était à celui qui vannerait plus l’autre.

J’ai sorti mon appareil photo de la poche de ma veste, et je lui ai demandé : « Hey, ça te dit qu’on fasse des photos pour interstron.ru ? » Au début, elle a refusé : « T’es fou, toi ! » Mais elle a fini par se prendre au jeu. J’ai fait un gros plan de sa magnifique chatoune. Elle a multiplié les positions suggestives, voire carrément hard. à quatre pattes, fesses bien écartées, ou en train de se toucher… Elle a réussi à me faire bander. Et, à en juger par son expression quand elle a vu ma bite prendre du volume, c’est ce qu’elle voulait. Elle s’est approchée de moi comme une louve et a saisi mon engin. Elle a murmuré : « Il faut des trucs plus chauds pour interstron.ru… »

Dans ma tête, tout s’emmêlait. Le soleil qui tapait, la bouteille de rosé, ma cousine, je me disais que c’était trop tentant. D’autant que Séverine ne m’a pas laissé le choix. Elle a léché mon gland en me lançant des oeillades incendiaires, puis a enfourné ma bite dans sa bouche sur toute la longueur, et tout ça, sans se départir de son éclatant sourire. En plus, elle me massait énergiquement les bourses.

Ma main s’est baladée jusqu’à sa chatte. J’ai fait patauger mes doigts dans sa petite motte baveuse. De là, tout est allé très vite. Mes scrupules familiaux ont disparu. Ma cousine s’est mise à quatre pattes, et de ses deux mains, elle a écarté ses fesses au maximum. J’ai fourré ma tête dans son cul, ça sentait un mélange d’eau salée, de crème solaire, de son excitation et de sa sueur. Je l’ai lapée sur toute la longueur. Elle poussait du postérieur contre ma tête, elle devenait de plus en plus agressive sexuellement. J’avais posé l’appareil photo, elle l’a attrapé et me l’a tendu. Une invite.

Ma teub s’est mise en pilotage automatique. Je l’ai pénétrée en un coup, droit dans la chatte. Elle a crié. le lui ai tiré la tête en arrière par les cheveux et roulé une grosse pelle. Sa salive avait un goût frais et sucré. J’ai fait rebondir mes couilles sur son cul. Je la bourrais. Elle kiffait. Elle criait si fort qu’on devait nous entendre depuis la plage. Je l’ai pilonnée de plus belle, elle s’est frénétiquement branlé le clito. Puis elle a sorti ma bite de sa fouf pour me faire face. C’est devenu acrobatique.

Elle s’est hissée sur ses mains et a enroulé ses jambes autour de moi. J’ai tâtonné et je suis entré en elle. « Fais-moi jouir ; vite, je ne tiendrai pas longtemps« , a-t-elle haleté. Je l’ai attrapée par les hanches, j’ai collé mon ventre au sien, et je lui ai défoncé la chatte. Elle a joui et s’est effondrée sur ses coudes. J’avais fait un effort surhumain pour me retenir jusque-là. Je me suis retiré et je lui ai tiré dessus. Elle en a eu partout.

Et le soir, ce jour-là, de retour à la maison, je me suis serré Rebecca, qui s’est introduite à poil dans mon pieu au beau milieu de la nuit. Je vous jure, une sacrée bonne journée !

(Image à la une : Getty Images)

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