La femme qui m’a fait jouir…
19 octobre 2019Héloïse, 39 ans
Ecrire à interstron.ru, même si j’aime parcourir les pages de votre magazine, me semblait une chose impossible tant ma vie sexuelle est plate actuellement. Séparée de mon homme depuis presque six mois, je n’ai toujours pas réussi à voir Gaëlle nue. Je dois dire que, même si je n’avais jamais goûté ou bien été tentée par l’amour lesbien, les courbes de mon amie ne me laissaient pas indifférente.
Confortablement allongées, le corps bercé par la petite brise de cette fin d’après-midi, nous avons commencé à parler de nos mecs et… de sexe, sujet que nous avions jusque-là peu abordé toutes les deux. Elle m’a expliqué que son mari, de quinze ans son aîné et très souvent parti pour son activité professionnelle, ne la comblait plus depuis bien longtemps. Malgré une ou deux aventures extraconjugales, mon amie semblait, comme moi, en manque de sexe ! Je ne sais pas si ce sont nos corps en tenue d’Ève ou l’évocation d’anciens amants et de nuits torrides (un cocktail des deux sans doute !) mais, lorsque j’ai senti la main de Gaëlle se poser délicatement sur ma cuisse, je n’ai opposé aucune résistance. J’ai même largement ouvert les jambes afin de lui faciliter le chemin. Elle a rapidement pris possession de mon intimité, glissant un puis deux doigts entre mes lèvres humides.
Nous nous fixions du regard mais, étonnamment, aucun mot ne sortait de nos bouches. Nos corps se sont vite plaqués l’un à l’autre et nos langues se sont mêlées sans aucune retenue. J’ai laissé Gaëlle mener la danse. Elle était visiblement plus experte que moi en matière d’amour entre femmes. Lorsque sa langue est venue s’insinuer entre mes lèvres pour déguster ma chatte, je n’ai pu retenir un gémissement. Cela a décuplé l’excitation de mon assaillante qui s’est mise à me manger littéralement tout en fouillant mon sexe humide de ses doigts. La sensation que cela provoquait était tout simplement délicieuse.
Sans nous soucier du temps, nous nous sommes aimées, embrassées, désirées, léchées, fouillées… C’était terriblement bon. Nous nous offrions l’une à l’autre sans aucun remords ni regret. Nous aurions pu continuer ainsi des heures durant si un bruit prononcé dans les feuillages ne nous avait fait lever la tête. À quelques mètres de nous, se trouvait le jardinier de Gaëlle qui devait être là depuis un bon moment à se rincer l’oeil. Nous avons souri alors que l’homme rangeait son outil qu’il venait visiblement d’astiquer avec force. Il est parti sans demander son reste (à mon grand regret !), et Gaëlle et moi avons continué nos petits jeux encore un long moment avant que le froid ne nous oblige à rentrer.
Depuis ce délicieux après-midi, Gaëlle et moi nous accordons souvent des petites parenthèses de plaisir à deux, en extérieur si le temps le permet. Hélas, pour l’heure, son jardinier n’a pas osé repointer le bout de son… nez !
(Image à la une : Getty Images)
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La réputation des hôtesses de l’air en matière de sexe dans cette vidéo n’est pas feinte, elles vont continuer à s’envoyer en l’air même après leur atterrissage, en duo lesbien, trio ou encore partie fine organisée par l’un de leur collègue stewart. C’est vers le 7ème ciel qu’elles vont décoller…détacher vos ceintures !