La groupie du DJ
5 juin 2020Dans cette histoire de sexe, voici un petit exemple des aventures qui vous attendent : « Je voyais que sa petite chatte dégoulinait, elle aimait ça… »
Je m’appelle Loïc, et je suis un DJ plutôt connu. L’été dernier, je jouais à un festival électro de Cannes, et je suis tombé sur une vraie groupie, une comme j’en avais rarement vu. Ainsi commence mon histoire de sexe. Après mon passage sur scène, j’étais crevé. Je me suis dirigé vers les loges où se trouvaient les autres DJ de la soirée. La nana portait un short en jean découpé qui ne cachait rien de son cul et un débardeur léopard sous lequel pointaient ses tétons. Châtain, des petits seins avec la trace de bronzage, tatouée, gueule moyenne. Elle m’a bloqué l’accès à la loge, elle voulait absolument un autographe. Je lui ai demandé ce qu’elle foutait backstage, elle était copine avec l’un des mecs chargés du son. Finalement, j’ai cédé. Je l’ai laissée entrer avec moi dans la loge. Les potes picolaient sévère. Je lui ai dit : “Tu veux un autographe ? Ben va falloir que tu nous montres ton cul.” Et là, elle a direct viré son short. Elle portait un petit string noir en dentelle. J’ai pris un marqueur qui traînait et, sous le regard hilare des autres mecs, je lui ai écrit BITCH [ndlr : salope en anglais] en gros sur le cul.
Quand on est partis en boîte, elle est venue avec nous. C’était marrant de voir le mot “BITCH” dépasser de son short en jean. Toute la soirée, elle m’a suivi comme un clébard. Au bout d’un moment, j’étais bien saoul, je lui ai fait signe de venir aux chiottes avec moi. Le sol était crade, mais je lui ai dit de se mettre à genoux et de me pomper. La chienne a obtempéré. Elle suçait comme un pied, alors je l’ai fait se relever et je l’ai fourrée vite fait mal fait. J’ai craché la purée, puis je me suis barré. Elle a absolument voulu me glisser son numéro dans la poche.
Le lendemain, vers 16 heures, je me suis réveillé avec la gueule de bois et une bonne érection. J’ai tâté ma poche de jean et j’ai retrouvé son numéro. Je lui ai dit de se pointer avec une pizza et un vibro. Trente minutes plus tard, elle était dans ma chambre d’hôtel. Je lui ai demandé de se foutre à poil et à quatre pattes, puis j’ai posé la pizza sur son dos. J’ai bien pris le temps de la manger. Dès qu’elle levait la tête, je lui répétais de ne pas bouger. Je voyais que sa petite chatte dégoulinait, la salope aimait ça, qu’on lui manque de respect. Ça tombait bien, je n’en avais aucun pour elle.
Quand j’ai eu fini de manger je me suis mis à genoux, en face d’elle, pour qu’elle me pompe le dard. Elle était toujours à quatre pattes, je l’ai attirée à moi par les cheveux, et je lui ai fourré mon engin dans la bouche. Elle avait fait des progrès depuis la veille. J’ai senti ma bite grossir entre ses lèvres jusqu’à l’étouffer à moitié. Elle a eu un mouvement de recul réflexe, mais j’ai poussé ma teub encore plus profond. Elle s’est mise à saliver abondamment, ses yeux étaient humides, mais sa langue continuait à s’agiter contre ma teub alors que je lui filais des coups de boutoir dans la glotte. Je ne voulais pas cracher tout de suite, alors j’ai fini par lui lâcher les cheveux. Je lui ai dit de s’allonger sur le ventre et d’écarter sa raie. Quand elle a été en position, j’ai craché un gros mollard sur son trou du cul. Je lui ai filé une bonne fessée, elle a tressailli et gémi faiblement. Mon nœud a forcé sa rondelle, c’était chaud et serré. Je lui ai annoncé : “Je vais te pousser la merde”, avant de commencer à lui flanquer de violents coups de bite. Elle s’est mise à couiner, je lui ai ordonné : “Crie pas, salope !”, avant de lui défoncer le cul de plus belle. Avant de jouir, je suis sorti de son fion et je lui ai arrosé la tête. “Ouvre la bouche”, ai-je gueulé. Elle a léché ma bite jusqu’à ce qu’elle soit propre.
Je l’ai virée après ça, je voulais voir les copains. Le lendemain matin, je me suis réveillé tôt pour aller à la plage, et je lui ai dit de se pointer avec un parasol. Elle est venue, et a passé sa journée à m’abriter du soleil et à me pomper quand j’en avais envie. C’était vraiment une belle petite salope. Pendant tout mon séjour à Cannes, elle a fait tout ce que je voulais. Du coup, j’ai gardé son numéro, parce que j’en ai connu des fans salopes, mais elle décrochait le pompon.
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« Pendant de longues minutes, je l’ai pilonnée tout en l’embrassant, et ce jusqu’à nos jouissances réciproques! Je suis resté longtemps sur un petit nuage… Elle m’a dit qu’elle voulait mon sexe dans sa bouche. Anita m’a redonné la vigueur de mes vingt ans ! » André.
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Le soleil, le sable, la mer… Quoi de mieux pour exciter les sens ! Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce cocktail détonnant décuple l’appétit sexuel de ces jeunes grâces qui s’offrent lascivement aux coups de rein de leurs amants, bercées par les embruns marins. N’hésitez-plus, faîtes comme elles et jetez-vous sans plus attendre à l’eau !