La vilaine fille
25 février 2021Lily, 30 ans est vraiment une vilaine fille dont le passe-temps favori est de faire des infidélités à son mari ! Ouh la coquine !
Bonjour, je m’appelle Lily, j’ai 30 ans, et je suis une vilaine fille. Loin de culpabiliser, au contraire, ça m’amuse. Je vais vous expliquer dans cette histoire de sexe. J’ai rencontré mon mari il y a six ans, sur le site d’un job d’été. Nous étions tous les deux étudiants, son père était le directeur de l’entreprise. Son frère y travaillait aussi. Nous étions en tout six jeunes, mais j’étais la seule fille. Les deux frères m’ont tout de suite plu, et j’ai bien compris que je leur faisais aussi pas mal d’effet. Finalement, j’ai craqué pour le plus âgé, Clément, qui est aujourd’hui mon mari.
Les recoins de l’entrepôt se souviennent d’ailleurs de nos câlins furtifs, cet été-là. Cédric, son frère, très jaloux, n’a jamais vraiment accepté mon choix. Un jour, alors que nous dînions en famille, il a affirmé devant toute la tablée que son frère aimait « les filles de petite vertu« . Sur le coup, ses paroles m’avaient tellement blessée que je m’étais promis de me venger de lui.
Plus tard, Clément et moi nous sommes mariés. Cédric, lui, a rencontré le grand amour, une fille plutôt coincée, qui ne m’a jamais vraiment portée dans son coeur. La vengeance étant un plat qui se mange froid, je l’ai dégustée il y a seulement un mois…
Nous avions décidé d’emménager dans notre nouvelle maison. Cédric est venu nous prêter main-forte. Dans l’après-midi, mon mari retrouvés tous les deux. Claire, son amie, devait nous rejoindre vers 16 heures. Elle m’avait laissé un message. Cédric, qui n’avait pas son portable, l’ignorait. Là, j’ai décidé de profiter de mon avantage. J’ai retiré mon pull, laissant apparaître un T-shirt très court et serré qui mettait en valeur mes seins ronds et fermes, libres sous le tissu. Je ne porte presque jamais de soutien-gorge, je sais que ça excite terriblement mon mari, ainsi que mes collègues d’ailleurs…
Je me suis mise à prendre des poses très suggestives pour porter les cartons, cambrée, les fesses en l’air. Je me baissais sans cesse sous son nez, pour ramasser tout et n’importe quoi. Je le frôlais avec mes seins qui durcissaient sous le T-shirt. Toute cette mise en scène commençait sérieusement à m’exciter, et mon petit minou se mettait à baver. Cédric devenait rouge et nerveux, il semblait ne plus savoir où poser les yeux. Moi, je ne me contrôlais plus. Je voulais lui montrer que, s’il m’avait pris à l’époque pour une allumeuse, au moins je l’assumais et j’étais sûrement bien plus douée avec les hommes que sa petite sainte de copine. Mon but était qu’elle nous surprenne en pleine action, à son arrivée.
Au bout d’une demi-heure de mon petit jeu, j’ai décidé que les préliminaires suffisaient et qu’il fallait passer aux choses sérieuses. Feignant de tomber à cause d’un carton trop lourd, je me suis retrouvée couchée sur Cédric, qui ne savait plus où se mettre. Je me suis relevée, prenant appui sur mes avant-bras. Je lui ai collé mes seins sous les yeux et je lui ai lancé : « Tu penses que je ne suis qu’une allumeuse, peut-être, mais toi, là, tu ne peux plus résister ! » Il portait un pantalon de jogging qui ne cachait rien de son érection. Il m’a regardée comme un enfant pris en train de faire une bêtise, mais il n’a pas dit un mot.
À ce moment-là, je me suis transformée en véritable garce tant je m’étais prise au jeu. J’ai enlevé mon jean, ma culotte, et je me suis assise sur la bouche de Cédric qui n’avait pas bougé. Il a dû être surpris de voir mon minou tout épilé car il n’a pas réagi tout de suite. Il s’est vite rattrapé. Je frottais mon sexe enflé de désir sur son visage tout entier alors qu’il essayait d’atteindre ma vulve avec des petits coups de langue précis et efficaces. Sa figure était couverte de mouille. Là, je me suis retrouvée prise à mon propre piège. J’étais absolument incapable de le laisser en plan, comme je me l’étais imaginé dans mon scénario.
Mon beau-frère a agrippé mes cuisses pour m’empêcher de bouger. Sa langue m’a fouillée dans tous les recoins, elle allait de mon clitoris à mon petit trou. Au bout de quelques minutes, j’ai explosé de plaisir dans un orgasme d’une rare intensité. Après avoir repris mes esprits, je me suis dirigée vers sa belle queue bien dure, au bout de laquelle perlait un liquide translucide que je me suis empressée de lécher. Cédric avait le même goût délicieux que son frère. Sa queue, je l’ai sucée, avalée, gobée entièrement. J’ai bien soupçonné qu’il était au bord de l’explosion, mais je ne voulais pas qu’il s’arrête là. Alors je me suis mise en levrette, j’adore sentir claquer les couilles d’un homme contre mon cul. Il m’a demandé s’il pouvait m’enculer. Ça lui manquait trop. Pour sa bourgeoise, c’était impensable. Je n’avais pas le droit de refuser ça à mon beau-frère, surtout que la bourgeoise en question n’allait pas tarder à se ramener.
Cédric est entré dans mon tube tout doucement, comme s’il redoutait de me faire mal. C’était délicieux. Quand sa bite s’est trouvée bien en place, je lui ai ordonné de me défoncer le cul. Il ne s’est pas fait prier et m’a envoyé des coups de boutoir puissants, si puissants qu’au bout de quelques va-et-vient seulement, il a répandu sa semence entre mes fesses. Moi, j’ai eu simultanément un second orgasme hyper violent.
J’avais complètement oublié Claire, qui est arrivée en retard… Et heureusement. J’avais finalement décidé de conserver Éric en tant qu’amant, pour l’initier à bien des plaisirs qu’il ne connaîtrait pas avec elle. Depuis cet après-midi-là, nous nous revoyons de temps en temps pour des moments riches en émotions. J’ai avoué ma liaison à mon mari qui n’a pas été si surpris que ça, mais un peu jaloux quand même. Mon fantasme, maintenant, serait de faire l’amour avec les deux frères en même temps. Clément m’a promis d’accepter, si mon histoire était publiée. Permettez-moi de vivre ça !
(Image à la une : Getty Images)
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