Labour et bonne bourre
25 décembre 2020Richard, 54 ans, va voir sa femme sous un autre jour après qu’un jeune débarque dans leur ferme. Ils vont bien s’amuser tous les 3 !
Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe.
Bonjour, c’est Richard, exploitant agricole de 58 ans. Ma femme s’appelle Suzette. J’ai découvert récemment qu’elle était très différente de ce que je pensais, alors que l’on vit ensemble depuis 20 ans.
Suzette et moi, on s’est mariés parce que ça arrangeait tout le monde. Les terrains de nos deux familles sont voisins et il n’y a pas tant de jeunes que ça dans notre montagne. Alors nous nous sommes mariés. Nous avons eu 2 enfants, qui sont partis de la maison et nous travaillons beaucoup pour la ferme. On ne discute pas souvent. En bref, on s’aime à notre façon.
J’ai compris que c’était bien de l’amour que je ressentais pour elle quand j’ai recruté le fils d’amis, Ludovic, à la ferme. Il cherchait un boulot et comme à 18 ans, on est vaillant, je lui ai dit de s’installer chez nous. Il avait sa chambre, des congés pour les fêtes et le couvert chez nous. En plus, il pouvait reluquer ma Suzette, et il ne s’en privait pas !
Suzette a toujours été belle. De gros lolos, des cheveux blonds et un sourire qui charme. Même à 40 ans passés, je savais qu’elle plaisait : il n’y a qu’à voir comment les hommes la regardent quand elle les croise au marché. Le petit Ludovic, il a fait comme ces salauds, et même pire.
Suzanne est une brave femme, fidèle et tout. Mais c’est vrai que je la néglige. Les choses de la vie, c’est une fois par mois environ, quand je jette un œil sur un film cochon à la télé. Alors ça lui a donné des envies quand le petit s’est mis à lui tourner autour.
Pourquoi ça m’a excité ? Je crois que l’envie de ce saligaud, a fait monter la mienne, comme les bêtes au printemps quand elles sentent le soleil. La jeunesse, cela vous fait des choses comme ça… C’est moi qui ai poussé l’affaire, pour ainsi dire. Je voyais qu’ils en bavaient d’envie, quand Suzette allait nourrir les vaches et qu’il lui matait le cul dès qu’elle se penchait exprès.
Un matin, j’ai dit à Ludovic : « Suzette te réclame dans la chambre. » Il a filé vers la maison et je l’ai suivi discrètement. Vu l’heure, je savais que ma femme sortait de la douche et qu’elle devait être à s’essuyer avec sa serviette, son corps encore ferme et couvert de gouttes d’eau. Ça n’a pas loupé. En montant l’escalier à pas de loup, j’ai trouvé ma Suzette à poil et le petit, bouche bée au milieu de la chambre.
Suzette était toute rouge quand le petit lui a dit en bafouillant : « Ne soyez pas gênée, Suzette. Je ne pensais pas vous déranger ». Il s’est approché pour l’aider à mettre sa serviette autour d’elle. Le salaud en profitait pour la toucher, lui presser le sein, l’air de rien en la rhabillant. Suzette faisait mine de se cacher mais je voyais que les mains de Ludo sur elle, la rendait chose… Ils ont fini par faire tomber la serviette au sol et ils se sont embrassés tout gauchement.
interstron.ru VIDEO – CLAIRE, COACH SPORTIF
Par la porte entrouverte, j’ai regardé le garçon plaquer ma femme contre la commode. Elle a écarté les jambes d’elle-même, dévoilant sa toison bien fournie. Il s’est mis à quatre pattes et a léché comme un chat son bol de lait : goulument, pour ne pas en perdre une goutte. C’est là que Suzette m’a vu.
Elle a envoyé bouler le petit. Je n’ai pas bronché et je suis venu à côté d’elle. Elle s’est recroquevillée, mais j’ai simplement dit : « Ce n’est pas grave, ma douce. Je sais que je t’ai oubliée depuis trop longtemps. »
Je l’ai prise toute tremblante et je l’ai couchée sur le lit. Puis j’ai regardé Ludo et j’ai lancé : « Fini ce que tu as commencé. Elle mérite qu’on lui fasse du bien, ma Suzette ! » Au début, il a obéi parce qu’il avait peur que je lui fracasse la tête. Et puis il s’y est mis pour de vrai, encouragé par les gémissements de ma femme qui aimait drôlement qu’on lui mange la minette.
J’ai dégrafé mon pantalon pour me branler. Puis j’ai eu envie de participer plus et je me suis mis à genoux sur le matelas, au-dessus de la bouche de mon épouse. Elle m’a regardé d’un air doux, les yeux flous à cause du plaisir. Alors j’ai glissé mon pénis entre ses lèvres. Je n’avais pas encore pris ma douche et mon dard sentait fort, mais ma Suzette l’a pris volontiers en bouche. J’ai tourné la tête et je me suis laissé sucer bien confortablement, en matant Ludovic la tête entre les cuisses de ma femme.
En bas, ça bavait, ça glougloutait, le cochon en avait plein le museau. Je le voyais se frotter le bas-ventre sur la couverture, il devait avoir une trique de tous les diables ! Mais il est resté concentré et a continué à manger la cramouille de Suzette. Plus elle prenait de plaisir, plus elle pompait fort, au point que j’ai eu envie de la baiser.
Je me suis allongé sur le lit et j’ai fait rouler ma Suzette sur moi. Un coup de rein et j’y étais, en plein dans sa foufoune toute trempée ! Je n’ai même pas eu d’ordre à donner au petit. Déjà, il cherchait une capote dans la poche de son jean, l’enfilait et se mettait derrière ma femme. Il a réussi à la prendre d’un coup lui aussi, vu que la gueuse était très excitée. Et puis, il l’avait courte et fine, plus que moi qui labourait ma femme façon tracteur.
Le problème, c’est que je sentais un peu la queue de Ludo de l’autre côté et ça m’a gêné, alors je me suis retiré assez vite. Et puis ce n’était quand même pas pratique, de tringler dans cette position ! On a préféré se mettre au-dessus de sa bouche et on s’est astiqués en regardant Suzette qui se tripotait le frifri en gémissant.
Très rapidement, nous avons giclé. Double ration : ma femme en a pris dans la figure, sur le menton et jusqu’aux seins, ce qui a eu l’air de lui faire sacrément du bien… Après ça, j’ai pris un malin plaisir, à lui étaler partout avec la paume de la main. Une vraie tartine, ma Suzon !
L’épisode s’est passé il y a 6 mois. Depuis, il y en a eu d’autres, et pas seulement avec Ludovic. Ma Suzette et moi, on s’échange désormais et on a même découvert de chouettes endroits où faire ça. C’est en parlant avec des habitués que j’ai découvert le magazine. Je dois dire que je ne le regrette pas.