L’autoroute fait bander
19 mars 2019Amir, 28 ans, Paris.
J’ai toujours aimé les voyages, en particulier ceux qui nous réservent de belles surprises. Parti de la banlieue parisienne pour retrouver des amis dans le sud de la France, je m’étais préparé psychologiquement à affronter une longue route en solitaire sur l’autoroute du soleil. J’avais emporté avec moi la panoplie pour tuer l’ennui : CD, canettes de boisson énergisante, chips et deux litres d’eau. J’avais même plié une tente dans le coffre, au cas où l’envie d’une petite sieste me prendrait (je détestais dormir dans ma voiture, et les aires d’autoroute étaient parfaites pour ça).
À peine avais-je fait quelques kilomètres que je croise sur mon chemin une jeune femme, le pouce levé sur le trottoir. Son gros sac sur le dos et sa pancarte en carton où était griffonné « Marseille » lui donnait l’allure parfaite du cliché de l’auto-stoppeuse. Je me suis arrêté à son niveau et lui ai dit de monter, sa compagnie serait sûrement plus intéressante que le dernier CD des Daft Punk (que je connaissais sur le bout des doigts). « Céline », m’a-t-elle dit en souriant pour se présenter, après s’être empêtrée dans de longs remerciements.
Nous avons fait connaissance sur la route, et nous nous sommes tout de suite très bien entendu sur tout – même les Daft Punk ! Ce qui est vraiment difficile avec quelqu’un d’aussi exigeant que moi. À un moment, nous avons parlé de sexe. Je lui ai avoué qu’il m’arrivait souvent de sortir en club libertin à Paris. Elle m’a répondu sans aucune gêne qu’elle n’y avait encore jamais mis les pieds, mais que l’idée l’intéressait. Nous avons parlé de nos pratiques sexuelles, de nos préférences.
À force de parler de cul, j’avais une trique du tonnerre. Je voyais que notre conversation ne laissait pas non plus Céline indifférente, elle était rouge et des perles de sueur dégoulinaient sur son débardeur blanc. Clignotant. Aire d’autoroute la plus proche. Déploiement de tente. Céline, un peu euphorique par la chaleur ambiante et par l’inertie de la voiture, s’est lancée dans un strip-tease du tonnerre. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge et elle n’a eu aucun mal à dévoiler ses petits seins rebondis, qu’elle dégageait de son débardeur avec une fausse pudeur. J’ai tout de suite eu envie de me jeter dessus et de les goûter. Mais lorsque je me suis approché d’elle, les mains tendues vers ses deux tétons, elle m’a glissé entre les doigts pour filer sous la tente.
« Rhoo, quelqu’un pourrait nous voir, enfin ! ». Nous nous sommes donc allongés tous les deux à l’abri des regards indiscrets, en nous déshabillant à la hâte et maladroitement. Mon érection commençait à devenir douloureuse à force d’être coincée dans mon jean. Heureusement, Céline s’est tout de suite jetée dessus en l’avalant goulûment. Elle lapait, léchait, malaxait mes deux boules. Elle aurait eu un réel succès en club libertin, elle avait un savoir-faire indéniable !
Chaud comme la braise, je l’ai ensuite retournée sur le ventre et je suis venu m’empaler sur elle. J’attendais ça avec tellement d’impatience ! Je l’ai bourrinée tendrement d’abord, puis de plus en plus fort. Elle couinait littéralement. J’ai fermement pressé une main sur sa bouche pour la faire taire, il ne s’agissait pas qu’un passant mal luné mette fin à nos ébats. J’ai rapidement (peut-être trop rapidement) éjaculé. En me retirant, j’ai vu qu’elle était toujours autant excitée. J’ai continué à la masturber pour la calmer. Après un orgasme violent, elle m’a regardé avec un sourire satisfait. Nous avons fait deux autres pauses « aire d’autoroute » avant que le voyage ne se termine et que je la dépose à Marseille.
Nous ne nous sommes jamais revus… Mais dès que je prends la bretelle qui me mène à l’autoroute, cette fameuse A6, mon cœur s’emballe un peu, et ma queue se remet à bander.
(Photo à la une : Getty Images)
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« Elles se sont alors approchées de moi, m’ont fait rentrer dans la tente et mis sur le dos sur leur matelas gonflable, et après avoir sorti ma queue qui était déjà bien raide, elles ont commencé à me sucer en même temps. » Vincent.
Sous la tente un soir de pluie
« Quand l’heure de se coucher est venue, mon homme s’est révélé d’humeur coquine. Il voulait me faire comprendre que la nuit n’était pas finie pour nous. Il a commencé par m’embrasser… Il m’a caressé la cuisse. Il sait que ça m’excite beaucoup. » Jenn.