L’avion de chasse
29 juin 2020Vince, 26 ans.
Je suis conseiller de vente pour une marque de chaussures bien connue. Comme pas mal de mecs dans ma branche, j’ai un truc pour les jolis pieds féminins (et les demoiselles qui savent s’en servir pour des histoires de sexe chaudes).
Albane avait de l’argent, ou plutôt un mari blindé : on la voyait souvent à la boutique avec ses copines et la CB de son mec. Un anniversaire ou une soirée de prévue dans son agenda et hop ! Elle débarquait avec sa bande, des avions de chasse qui me laissaient rêveur. Mais c’était elle la plus jolie de toutes : 1,75 m, des yeux verts et de long cheveux châtains, très lisses, de gros nibards et la taille fine, sans parler de ses longues jambes… Et de ses pieds de reine.
Un jour qu’elle venait seule à la boutique, j’ai dit à ma patronne que j’allais m’occuper d’elle. Je l’avais assez observée comme ça, il me fallait de l’action ! J’ai joué les parfaits assistants en lui sortant tous les nouveaux modèles et en lui faisant des compliments. Je me foutais du gros caillou à son doigt : elle était hyperréceptive à ma technique de drague, et son mari avait l’air bien loin.
Au bout d’un quart d’heure d’essayage, je lui ai expliqué qu’elle avait l’air légèrement tendue. Alors pourquoi ne pas lui faire un petit passage de la voûte plantaire ? Elle a rigolé et a lancé : « Pourquoi pas ? » Coup de chance, c’était l’heure de la pause déjeuner de ma boss et elle s’est tirée en me laissant le contrôle de la boutique. J’ai fait un rapide aller-retour derrière la caisse et j’ai désactivé les deux caméras de surveillance. Puis je me suis agenouillé devant Albane.
La belle avait des pieds réellement sublimes : un 37 tout fin, du vernis rose pâle qui faisait ressortir sa peau bronzée et, comble du sexy, un anneau d’argent au deuxième orteil gauche. J’ai pris sa cheville entre mes mains et j’ai massé délicatement. Elle s’est enfoncée dans la banquette et m’a regardé, les yeux brillants.
Lentement, je suis descendu jusqu’à son pied, que j’ai malaxé. Les orteils d’Albane s’écartaient sous l’effet du plaisir et elle a poussé un gémissement. Tout doucement, j’ai penché mon visage vers l’objet de mon fantasme, en continuant de la regarder dans les yeux. Elle n’a pas bronché. Alors j’ai l’ai léchée sensuellement de la pointe de son gros orteil jusqu’au la cambrure.
Albane était maintenant collée à son siège, haletante. Sa grosse poitrine se soulevait rapidement, et je devinais ses tétons qui pointaient à travers son top. J’ai persévéré dans mes léchouilles, arrachant des gémissement de plaisir à la belle. Enfin, très doucement, j’ai fait descendre la braguette de mon pantalon.
Je bandais comme un âne et des gouttes de liquide séminal perlaient sur mon bout. Albane, les yeux baissés sur mon dard, a avancé lentement la jambe droite jusqu’à le toucher. Puis la gauche, jusqu’à enserrer ma virilité entre ses petons si sensuels…
On aurait dit qu’elle avait fait ça toute sa vie. À genoux devant elle, je pouvais la voir dans toute son agilité branler mon chibre, maîtrisant parfaitement la pression, faisant parfois remonter tout doucement mes couilles ou pressant mon gland prêt à éclater.
Je priais pour que personne ne rentre dans la boutique mais j’avais de plus en plus de mal à surveiller l’entrée : Albane me branlait maintenant si bien que la tête me tournait. Quand elle a remonté sa jupette et écarté son string, le spectacle a été complet… Sa vulve parfaite était toute baveuse. Elle a commencé à se toucher le clito en poussant des miaulements de chatte en chaleur, pendant que je soufflais pour retarder l’orgasme. Mais la belle a si bien fait coulisser mon membre que j’ai déchargé, des coulures blanches s’étalant partout sur ses pieds.
Depuis, Albane a quitté Monaco pour des vacances autour du monde avec son mari. J’attends impatiemment son retour et l’arrivée de notre nouvelle collection, que je me ferai un plaisir de lui faire essayer.
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« J’ai fourré ma langue entre ses lèvres ourlées. Je l’ai lapée, sucée, aspirée, avec volupté et frénésie. Elle roulait des hanches en criant son bonheur et en pissant son jus salé. Son goût était bien plus fort que celui de Manon. J’étais dans un état second. Je m’éclatais sans culpabilité avec la mère de ma copine, qui était certainement elle-même en train de branler de l’autre côté ! Quand elle a eu bien joui, elle m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit. J’ai senti deux doigts se poser sur mon sexe en feu. » Amanda, 23 ans.
« J’avais justement un chibre dans chaque main et je continuais à les astiquer consciencieusement. L’un d’eux se plaça derrière moi et m’écarta les cuisses. Je sentis son gland me frôler avant de me pénétrer. Quelle chance d’être tombée en panne ! Un des hommes fit le constat amusé qu’ils avaient suffisamment de capotes pour me bourrer tout l’après-midi. Il s’allongea à plat, dos sur le lit et m’invita à m’empaler sur sa lance. » Vivienne, 48 ans.