L’hosto porno

La rédaction 17 juillet 2020

Tom, 28 ans, est médecin et tenu de garder son professionnalisme avec ses patientes. Clara, une petite estropiée, va pourtant le faire craquer de désir.

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Je suis étudiant en médecine et je fais mon internat dans la région de Marseille. L’hiver dernier, j’étais d’astreinte pendant les fêtes. Pas cool, mais j’ai eu la joie de rencontrer une patiente… en pleine forme. Clara était jolie, avec des yeux gris-verts et une silhouette que l’on devinait fine sous sa blouse d’hôpital. C’est la première chose que j’ai remarquée quand je suis entré dans sa chambre pour une visite de contrôle. Elle m’a souri et a désigné son plâtre, posé pour réparer une vilaine fracture ouverte de la cheville. Elle avait encore trois jours à passer avec nous car l’opération avait été suivie de complications. Mais je l’ai rassurée : ses constantes étaient de nouveaux bonnes et elle serait chez elle pour le Nouvel an.

La jeune femme a soupiré en m’entendant : « Ouf ! J’ai vu le moment où vous alliez me couper la jambe ! » J’ai ri et répondu qu’on se retenait de charcuter les jolies filles. Elle a souri et je me suis excusé pour mon commentaire, tout sauf professionnel. Mais elle ne m’en n’a pas tenu rigueur. Lors de ma visite du lendemain, elle m’a même montré son intérêt à son tour. Et pas de façon subtile.

Il faisait beau ce matin-là, la chambre baignait dans la lumière. Clara avait peigné ses cheveux en arrière et était encore plus craquante que la veille. Quand je lui ai demandé de ses nouvelles, elle s’est plainte de douleur à la jambe. Je lui ai donc proposé un massage. J’aurais pu appeler une infirmière, mais l’éclopée avait un sourire si charmant que j’ai décidé de gérer ça moi-même. « Allons-y doucement », ai-je dit en baissant le drap et en dégageant ses deux jambes. Flexions, extensions, pressions au-dessus du plâtre pour aider la circulation du sang… J’ai pris soin d’elle avec des gestes doux.

Quand j’ai relevé la tête, Clara a lancé d’une voix profonde : « Merci, c’était très bon. » Puis, lentement, je l’ai vu écarter les jambes. Sous la blouse, elle ne portait pas de culotte. Le sexe était épilé, seulement orné d’une fine bande de poils. Les grandes lèvres avaient l’air pulpeuses et les petites, bien roses, dépassaient délicatement. Clara les a entrouvertes du bout des doigts et j’ai vu un filet de mouille à l’entrée de sa chatte.

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J’ai essayé de contrôler mon érection violente. Si on nous surprenait, c’en était terminé de ma carrière de médecin… Mais comment résister quand Clara s’est mise à genoux sur le lit et m’a tiré par la blouse, puis s’est mise à farfouiller dans mon pantalon ? Impossible ! Je bandais très fort quand elle a pris ma verge entre ses doigts fins et a glissé mon gland dans sa bouche. Sa langue s’est enroulée autour de la tige et Clara a frotté mon bout contre l’intérieur de sa joue. Voir mon chibre lui déformer la bouche m’a excité à mort…

Il fallait faire vite. Il y avait moins d’infirmière en service à cause des fêtes, mais nous n’étions pas à l’abri que l’une d’elles me bipe ou entre dans la chambre. Mes regards inquiets vers la porte ont décidé Clara. Elle s’est réinstallée sur le lit et m’a maté par en dessous. « J’ai envie de vous, Docteur », a-t-elle murmuré avec une petite moue adorable. J’ai craqué. Je suis monté sur le lit, qui a grincé fortement. Mon sexe était bien lubrifié par la salive de la belle et j’ai joué avec en le frottant sur son clitoris. Elle a poussé un petit gémissement, fermant les yeux sous l’effet du plaisir. J’ai ouvert grand ses cuisses, en faisant bien attention à sa cheville. Hum, l’entrée de sa petite vulve était trempée… Elle avait manifestement adoré me sucer. J’ai saisi mon mandrin à la base et je l’ai rentré tout doucement, jusqu’à me plaquer tout contre Clara. En gémissant faiblement, elle s’est mise à onduler.

Là, je me suis appuyé sur mes avant-bras et j’ai choisi l’angle parfait pour la perforer. Ses soupirs se sont transformés en cris aigus, que j’ai pris soin d’étouffer en fourrant ma blouse qui était sur l’oreiller dans sa bouche. Ses grands yeux étaient flous de plaisir et le bâillon l’a rendue dingue : ses mouvements de bassin se sont faits beaucoup plus rapides, le plâtre qui pendait dans le vide tapant même contre le métal du lit.
Il ne fallait surtout pas qu’on nous entende. J’ai relevé ses jambes, que j’ai posées sur mes épaules et j’ai accéléré à mon tour, frottant mon bas-ventre contre son clito gonflé. Je voulais qu’elle jouisse…
J’ai enfoncé le bâillon plus profond dans sa bouche et donné trois coups de reins avec vigueur. Clara s’est cambrée vers l’arrière en mugissant. L’orgasme, enfin ! Je pouvais moi aussi me lâcher. Mon sexe a déchargé tout le contenu de mes couilles en rasades serrées.

Clara est partie deux jours plus tard de l’hosto. Nous nous revoyons souvent. Et maintenant qu’elle a retrouvé l’usage de ses deux jambes, la baise n’en est que plus acrobatique !

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