Et au milieu coule une rivière… de plaisir !

La rédaction 13 mars 2021

Sandy, 35 ans est adepte du kink. Elle rencontre un homme qui assouvi ses fantasmes fétichistes au bord d’une rivière…

Je m’appelle Sindy, j’ai 35 ans et je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Je suis une trentenaire adepte de jeux un peu “kinky” ou fétichistes. J’ai découvert ces plaisirs auprès d’un homme avec lequel je parlais sur les réseaux sociaux en cachette de mon mari. Ça avait commencé de manière soft, à distance, par des conversations dans lesquelles il aimait me commander et me dire quoi faire. Par exemple, quand je me masturbais, il me donnait des consignes et m’ordonnait de m’y prendre de telle ou telle manière tout en me traitant de “petite chienne” qu’il rêve de “corriger”. J’adorais ça, entendre sa grosse voix dans les messages vocaux qu’il m’envoyait, ça avait vraiment le don de me faire délirer quand je jouissais.

Nous avons décidé de nous rencontrer dans un lieu à l’écart de la ville. Pour ajouter du piment, nous avons choisi un espace public, les bords de rivière à la périphérie de notre commune. Il n’y aurait probablement personne, mais nous y retrouver en cachette, en pleine journée, avait quelque chose de grisant ! Il était beau, plutôt mince, mais avec de beaux traits de visage, et sa voix était ce qui m’envoûtait le plus. Nous avons pique-niqué sur une nappe dans l’herbe au bord de l’eau pour faire plus ample connaissance, jusqu’à ce que ces mots se frayent un chemin dans sa bouche : « Déshabille-toi. » Rien qu’à entendre cet ordre, j’ai failli défaillir !

Docile, je me suis retrouvée nue dans l’herbe et je me suis mise à me caresser tout en guettant ses réactions. Il m’a prise en photo : « C’est bien, tourne-toi maintenant, que j’aie le temps de m’imaginer tout ce que je vais te faire. » Toujours plus excitée, j’ai roulé sur le ventre dans la pelouse pour lui présenter mon cul. À l’aide de mes deux mains, j’ai écarté mes deux boules de chair frémissante pour dégager mon anus et ma fente. « C’est bien. C’est par là que je vais te soumettre. » « Oui, maître. »

La phrase m’avait échappé. Mais qu’est-ce que ça me faisait mouiller ! Je me suis laissé attacher sur la nappe pour ne pas abîmer mes jambes, agenouillée, le buste en avant, cul exposé à la chaleur du soleil et à tous les sévices imaginables… Il m’a lié les mains avec des menottes et j’en ai frissonné de crainte et de joie. Il en voulait à mon cul surtout : il voulait le vénérer et le souiller à la fois, le fourrer, le malmener, le faire vibrer… Il a pris un fouet à longues lanières de cuir qu’il avait emporté et l’a abattu sur mon postérieur. Ouïe ! La souffrance et l’électrisation de la peau sous le choc, et puis juste après, l’onde de jouissance qui me traversait le sexe… J’étais à sa merci, prête à faire tout ce qu’il voudrait… Les mains liées, mon cul tendu en arrière et écarté en raison de ma position indécente, il en a profité pour m’enculer, à genoux derrière moi, en continuant à donner des fessées sur ma croupe. Je poussais des cris de plaisir à chaque instant, ne sachant pas quand allait tomber la prochaine, ni quand sa bite me prendrait jusqu’à me couper le souffle ! Mon cul était brûlant de sa pénétration, il cuisait extérieurement sous ses coups et intérieurement sous ses percées de plus en plus entêtantes.

Ça n’a pas tardé à devenir plus sérieux. Il m’a présenté le pommeau du fouet et il s’agissait en fait d’un joli gode avec lequel il avait l’intention de me sodomiser. Il me l’a enfoncé à la place de sa queue puis m’a délié les mains pour que je puisse m’en servir à mon aise. Je l’ai agitée dans mon cul en le maniant moi-même, me donnant un plaisir incommensurable, plaisir qu’il avait contribué à allumer… l

l me donnait à nouveau des ordres comme lors de nos sessions virtuelles et, en suivant ses consignes, je me suis retrouvée à demi sur le dos, pattes écartées, à tenir le gros gode dans mon postérieur où il m’envoyait des décharges orgasmiques, et de l’autre côté à me branler le clito, le regard perdu dans le ciel bleu, le plaisir foudroyant me faisant oublier toute forme de contrôle. « Fais-toi jouir, petite chienne. » Ses mots ajoutés à mes stimuli m’ont fait hurler de plaisir quand l’orgasme m’a pris dans ses bras et a recouvert toutes les douleurs de sa nappe de bonheur. Après avoir joui aussi puissamment, il m’a ordonné en me guidant avec le fouet, de venir à ses pieds. La chienne soumise que j’étais l’a sucé avec toute la gratitude dont j’étais remplie, pour tous les délices qu’il m’avait offerts.

Je l’ai pompé tout en recevant quelques petites caresses des lanières en cuir, jusqu’à ce qu’il éjacule une importante quantité de sperme dans ma bouche reconnaissante. Depuis, il est mon maître et il me donne un plaisir renouvelé chaque jour.

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