Pause gourmande sur l’autoroute

La rédaction 21 avril 2019

Philippe, 36 ans, chauffeur routier.

Pause gourmande sur l'autoroute

Bonjour à tous. Je m’appelle Philippe, j’ai 36 ans et je suis chauffeur routier. Votre magazine m’accompagne tout au long de mes déplacements, les témoignages de vos lecteurs et lectrices m’excitent énormément, et j’ai à mon tour envie de vous faire partager une de mes aventures. L’an dernier, je circulais sur l’autoroute qui traverse la Vendée. J’ai été interpellé par une voiture qui me dépassait. Elle restait à ma hauteur. Naturellement, j’ai tourné la tête à gauche pour voir à l’intérieur. La conductrice portait une jupe qu’elle avait retroussée, et l’on remarquait clairement ses bas noirs et sa culotte blanche, qu’elle caressait du bout des doigts. Il n’est pas rare que des femmes s’amusent à exciter les routiers en dévoilant leurs cuisses ou leur décolleté, mais là, elle m’allumait carrément ! Je me régalais du spectacle, mais elle a dû bientôt me dépasser car des véhicules arrivaient derrière elle. Pour la remercier, je lui ai fait plusieurs appels de phare et elle m’a répondu en mettant ses feux de détresse. Je pensais que c’était fini, qu’elle allait accélérer et disparaître. Mais non ! Elle gardait une distance raisonnable afin que je ne la perde pas de vue.

A l’approche d’une aire de repos, elle a mis son clignotant, puis elle a emprunté la sortie et allumé ses warnings. Ça tombait bien, j’avais prévu de faire une pause à cet endroit. J’ai stationné sur l’emplacement réservé aux poids lourds. J’ai vu ma conductrice se diriger vers les toilettes. Voulait-elle que je la suive ou faisait-elle simplement une pause pipi ? Curieux, j’ai obliqué en direction des sanitaires et je l’ai croisée au moment où elle ressortait. Elle m’a souri. Brune, la quarantaine, elle portait un tailleur qui mettait bien ses formes en valeur, avec de jolies bottes à talons. Elle était magnifique. Pour cacher mon émoi, je lui ai lancé : « Votre comportement est très dangereux pour la sécurité routière, Madame ! » Elle m’a demandé : « Pourquoi, vous n’avez pas apprécié ? » Je lui ai répondu que le problème n’était pas là. Il résidait plutôt dans mon état d’excitation avancé ! Elle m’a assuré qu’elle pouvait arranger ça ! Puis, abandonnant le vouvoiement, elle m’a glissé : « Ton camion est confortable ? » Elle semblait très sûre d’elle.

Un peu intimidé, je lui ai proposé de venir le visiter, et je l’ai laissée monter devant moi. Elle me tendait son cul. En regardant furtivement entre ses cuisses, je me suis aperçu que sa culotte s’était volatilisée ! Ça allait être chaud, j’en étais sûr. Le temps que je ferme les rideaux, elle avait déjà ôté ses bottes et s’était assise sur la couchette, les jambes écartées, face à moi. Elle se caressait le clitoris et de la mouille coulait entre ses fesses. « Viens me lécher, je suis tout excitée ! » Je me suis appliqué à recueillir sa liqueur de femme avec ma langue, tout en lui titillant le clitoris et en lui enfonçant deux doigts dans la chatte. Elle se tortillait, et bientôt, elle a joui en râlant de plaisir. « Vas-y, déshabille-toi », a-t-elle enchaîné. En quelques secondes, je me suis retrouvé à poil face à elle. Elle a tendu ses longues jambes vers moi pour me caresser le torse, et rapidement, elle est descendue vers ma bite raide pour la branler délicatement entre ses pieds. Le doux contact de ses bas me rendait dingue et je me serais bien laissé aller à éjaculer dessus, mais il ne fallait pas que ça s’arrête déjà.

Je lui ai demandé de me sucer. Elle a sorti un préservatif de son sac à main et elle l’a déroulé sur ma bite. Son string est tombé quand elle a pris la capote, alors je l’ai attrapé pour le porter à mes narines. Il était tout humide. Cette situation était vraiment trop excitante. J’allais flancher et gicler de suite, aussi je lui ai demandé de se positionner en levrette, et ma langue a de nouveau fouillé son intimité. J’allais de son clitoris à son anus, et bientôt, elle m’a supplié : « Mets ta bite dans ma chatte, j’ai envie de me faire saillir comme une chienne en chaleur ! » Cette invitation pour le moins directe a décuplé mon excitation, et je me suis rapidement enfoncé en elle, commençant mes va-et-vient. Elle couinait, se caressait le clito, et bientôt, a gémi : « Je vais jouir ! Vas-y lâche-toi, envoie tout ! »Son vagin s’est contracté sur mon sexe, faisant monter inévitablement ma semence. J’ai éjaculé dans un râle puissant, remplissant ma capote pendant que ma partenaire hurlait son plaisir. Une fois nos pulsions assouvies, je lui ai demandé pourquoi elle m’avait choisi, moi.

Elle m’a expliqué qu’elle nourrissait ce fantasme depuis longtemps, mais qu’elle n’avait jamais osé franchir le pas. Aujourd’hui, elle s’était décidée : elle m’avait repéré au péage et s’était lancée. Après coup, elle a reconnu que c’était risqué, qu’elle aurait pu tomber sur un mec dangereux, mais qu’avec moi, elle avait eu de la chance. Pour me remercier, elle m’a offert son string ainsi que ses bas pour que je m’amuse avec, et également son numéro de téléphone. Depuis, quand je suis bloqué le week-end dans son département, elle passe me chercher pour des soirées de folie. On regarde parfois un de vos DVD, ou bien on va en club échangiste. Son nouveau fantasme est de faire l’amour avec une autre femme. Si ça arrive en ma présence, je vous raconterai. Bisous à tous.

(Image à la une : Getty Images)

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