La petite partouze dans la prairie
24 août 2020Thibaut, 29 ans, est un paysan en manque d’amour. Un jour, 2 parisiennes blondes et sexy débarquent dans sa campagne. Un trio hors norme s’annonce…
Je suis agriculteur dans le Gers et ça n’est pas facile pour moi de trouver des nanas sérieuses. Il y a bien les fêtes de villages, mais j’aimerais mieux trouver l’amour qu’une gonzesse de passage. C’est justement en voulant parler de ma recherche de la perle rare que j’ai vécu une sacrée histoire de sexe.
J’ai été contacté récemment par une boîte de production télé. C’est le maire de mon bled qui a donné mon numéro à la journaliste. Au téléphone, elle m’a expliqué, qu’elle voulait m’interviewer pour un sujet sur les paysans en manque d’amour. Comme elle disait aussi que ça m’aiderait à trouver, j’ai dit oui. Elle est arrivée la semaine d’après avec une jeunette qui la suivait partout. Les deux se ressemblaient beaucoup : blondes, bien foutues et des vêtements moulants pas pratiques pour la campagne. Des parisiennes quoi (une de 40 ans, l’autre de 20). Et puis elles gloussaient tout le temps en me regardant par en dessous. Alors, au troisième repérage dans ma grange, j’ai pété un plomb.
« Vous ne vous foutez pas un peu de ma gueule ? », j’ai lancé à la journaliste. Elle a arrêté de ricaner. Et elle m’a expliqué qu’elle était gênée parce qu’elle me trouvait beau, que ça ne se faisait pas de se sentir « proche de son sujet » comme ça. Du coup, elle essayait de décompresser en rigolant avec son assistante. J’étais mal à l’aise de m’être énervé, et puis aussi de la façon qu’elle a eu d’un coup de me regarder. Elle s’est avancée vers moi et elle m’a pris la main. Il y a eu comme un moment bizarre, où même les animaux dehors ont arrêté de faire du bruit. Quand elle m’a embrassé sur la joue, j’ai senti la chaleur m’envahir. J’ai fermé les yeux. Un deuxième bisou, plus près de la bouche cette fois. J’ai senti la blonde qui se rapprochait de ma bouche. Son haleine sentait le fruit rouge. Je l’ai laissée faire.
Je l’ai attrapée par les hanches quand elle m’a roulé une pelle. J’avais envie de la soulever et de la culbuter dans le foin. C’est elle qui a donné le signal : ses mains cherchaient ma bite à travers mon bleu de travail ! À côté, la gamine n’en perdait pas une miette. On aurait dit un film érotique à la télé : une fille qui aime la bite, sa copine qui mate. Et moi, j’étais ici, planté comme un navet. J’ai décidé de saisir ma chance.
J’ai suivi mon instinct et j’ai basculé la blonde dans le foin. Son parfum m’envahissait le nez et me faisait perdre la tête. Très vite, elle a sorti mon sexe. Je me suis mis sur le dos et je l’ai soulevée pour la mettre au-dessus de moi. Elle était légère comme tout. D’un coup sec, j’ai baissé sa jupe. Elle n’avait pas de culotte. J’ai vaguement pensé que ça sentait le piège, cette affaire. On aurait dit qu’elle avait prévu son coup. Mais elle m’a attrapé le chibre et m’a dirigé droit vers sa minette, alors je n’ai rien dit.
La blonde s’est carrément foutue ma queue à l’intérieur en criant qu’elle aimait ça. L’assistante nous matait toujours, comme si elle attendait un signal. J’essayais de me concentrer sur la foldingue qui me chevauchait, de la paille plein les cheveux, criant comme une actrice de cul. D’un coup, elle s’est tournée vers l’autre et a dit « Viens, j’ai besoin que tu me stimules ». Un vrai délire. La petite s’est avancée. C’était tellement bizarre que j’ai eu envie de dégager la journaliste de sur ma bite, mais ses allers-retours me faisaient bander comme un taureau. Alors j’ai juste regardé l’assistante se mettre à plat ventre… à la hauteur de la minette de sa patronne !
On aurait dit un petit chat. Avec le bout de sa langue, elle a commencé à lécher le clitoris de sa boss, tout en surveillant ses réactions. L’autre gueulait de plus en plus, serrant son vagin autour de mon braquemart. Elle a hurlé de plus belle : « Bouffe-moi, vas-y ! ». Je ne contrôlais plus rien. La petite s’activait désormais sur l’amazone et sur moi, alternant les coups de langues et les suçotages démoniaques. Je secouais la blonde sur ma bite pour me donner un maximum de plaisir, les yeux baissés sur la gueuse qui léchait ma verge dès qu’elle ressortait de sa patronne.
Même dans les films, je n’avais jamais vu ça. J’ai senti que la moutarde montait, alors par correction, j’ai prévenu. La blonde s’est cambrée, me serrant si fort entre ses cuisses qu’il n’y a plus eu de place pour l’assistante. Son vagin était tellement contracté que c’était comme si une main me branlait à l’intérieur d’elle. Je l’ai secouée, secouée, pour faire sortir le jus, et je lui ai repeint l’intérieur.
C’était tellement fort que je suis resté là, dans la paille, sans arriver à respirer correctement. Mais le plus fou était à venir. La blonde s’est relevée, les jambes en coton, et son assistante s’est mise entre ses jambes, la bouche grande ouverte. Les yeux écarquillés, j’ai vu la patronne se branler le clito comme si elle faisait une crise d’épilepsie. Quand elle a joui, sa chatte s’est relâchée et tout mon foutre est ressorti. L’assistante s’est redressée et a collé sa bouche contre la fente. Et elle a bu comme si c’était de l’eau de source. Je n’ai pas voulu revoir ses deux folles. Elles m’ont appelé pendant 3 jours pour repasser me voir, expliquant sur mon répondeur « qu’on pouvait repartir sur de nouvelles bases pour le sujet ». Sauf que moi, j’ai eu ma dose de parisiennes pour la vie, croyez-moi !