Plaisirs normands
13 juin 2019Valentine, 30 ans.
En novembre 2016, Arnaud, mon copain, a décidé de nous offrir un week-end en amoureux au Tréport, afin de célébrer nos cinq ans de vie commune. Nous vivons ensemble depuis deux ans, mais nous partons peu en vacances, nos horaires ne nous le permettent pas souvent. Il est douanier et moi, je suis chargée de communication pour une grande chaîne d’hôtels. Arnaud est très tendre avec moi et il a décidé de me permettre de vivre pleinement ma bisexualité, sans forcément y participer à chaque fois.
Nous étions donc partis en voiture pour ce petit port normand que nous adorons, passer un week-end qui s’annonçait pluvieux et froid. Mais nous avions surtout décidé de nous retrouver. Arnaud avait loué une chambre douillette dans un petit hôtel cossu. Nous sommes arrivés le vendredi soir, mais c’est le samedi après-midi que notre week-end a pris une tournure intéressante. Nous étions allés faire un tour sur la plage et, à vrai dire, nous étions pratiquement seuls, mis à part quelques familles qui ramassaient des galets. L’idée m’a prise de proposer à Arnaud une petite gâterie à l’intérieur d’une grotte, dans la falaise. Il était tout à fait partant. Nous sommes donc entrés et Arnaud m’a prise par la taille pour m’embrasser fougueusement. Je reconnaissais bien là mon chéri. Sa langue fouillait ma bouche et ses baisers descendaient déjà le long de mon cou, j’en ressentais un vif plaisir. C’est alors que j’ai décidé de me pencher vers son jean et de caresser sa queue au travers, puis de le déboutonner et de sortir la superbe chose.
Même si je la connaissais par coeur, elle me semblait encore plus attractive dans cette grotte humide et fraîche. J’ai commencé par léchouiller son gland, par y poser de petits bisous, tout en caressant de mes doigts ses couilles bien lisses. Arnaud me répondait par des mains aux fesses très puissantes, j’adorais. C’est là que j’ai décidé d’engloutir son membre au fond de ma bouche et de le faire tournoyer entre ma langue et mon palais. J’avais envie de sentir l’âpreté de son jus dans ma gorge. Je dois dire que je mettais du coeur à l’ouvrage. Sucer cette belle bite bien large a toujours été pour moi un vrai plaisir. Dans ces cas-là, Arnaud me surnomme sa « petite salope maison« . Au bout de quelques minutes, j’ai senti le liquide chaud et visqueux couler sur ma langue. J’étais ravie. Il m’a embrassée avec amour, et son sperme est passé de ma bouche à la sienne, comme souvent après mes pipes. Arnaud s’est rhabillé et moi, j’ai essuyé son jus.
En sortant, nous avons eu la surprise de croiser un couple dans la quarantaine, accompagné d’une jeune fille âgée d’une vingtaine d’années. Si les parents ne nous avaient même pas aperçus, la nana, elle, ne cessait pas de nous mater. Elle semblait particulièrement intéressée par mon homme. Nous avons repris notre balade. Le soir même, au restaurant de l’hôtel, nous avons eu la surprise de croiser à la table d’à côté, la famille de la plage. La jeune fille ne détachait plus son regard de nous. Arnaud était très troublé. La situation commençait à grandement m’exciter.
À un moment, j’ai vu la demoiselle s’absenter pour aller aux WC et j’ai décidé de la rejoindre. Elle a été surprise de me voir, mais pas choquée. Elle m’a avoué rapidement qu’elle nous avait vus sortir de la grotte et qu’elle trouvait mon homme très beau. Visiblement, à 35 ans, il plaisait bien aux minettes. En discutant un peu avec elle, j’ai appris qu’elle s’appelait Agathe et qu’elle venait pour fêter ses 19 ans avec ses parents. Elle ne partageait pas la même chambre qu’eux. J’ai décidé de lui proposer une aventure dont elle se souviendrait. Je lui ai donné mon numéro de portable, ainsi que celui de notre chambre et je lui ai suggéré de nous rejoindre au bar de l’hôtel ou dans notre chambre plus tard dans la soirée. Au bout de quelques minutes, nous avons repris chacune le chemin de notre table, moi plus excitée que jamais.
Arnaud a été très émoustillé par le petit scénario. À la fin du repas, elle s’est levée et a suivi ses parents, non sans nous gratifier au passage d’un clin d’oeil très complice. Une demi-heure plus tard, nous nous sommes retrouvés avec Agathe au bar de l’hôtel. Là, sirotant chacun notre verre, un scotch pour Arnaud, une vodka-pomme pour Agathe, et une coupe de champagne rosé pour moi, nous avons pu faire connaissance. Elle vivait à Versailles et était élève en classe préparatoire pour une grande école d’ingénieurs. Elle n’avait plus de copain depuis trois semaines et se sentait donc libre comme l’air. Arnaud lui a pris la main et lui a proposé un autre verre que nous consommerions dans notre chambre. Elle a hésité, puis elle a accepté.
Une fois en haut, mon homme l’a complimentée sur ses jolies formes et la douceur de sa peau. Tout en lui parlant, il la caressait et commençait déjà à la déshabiller. C’est à ce moment-là que le room service est arrivé et a posé les verres. Le serveur nous a regardés tous les trois et avec un large sourire, nous a souhaité une « très bonne soirée« . Le petit coquin avait tout compris… Le temps que je le raccompagne à la porte et le gratifie d’un billet, Agathe et Arnaud s’embrassaient déjà fougueusement. Elle avait ôté son chemisier et désormais, sa poitrine était libre. Ses seins ronds et fermes m’excitaient, tandis qu’elle passait ses doigts sur l’entrejambe de mon homme. Lui, loin d’être en reste, s’était agenouillé devant notre amante d’un soir et commençait à titiller de ses phalanges le minou épilé de la belle.
Sa jupe, tout comme son string, ont volé dans la chambre. Moi, je me suis approchée pour embrasser ses jolis seins, mais Agathe a eu un geste de recul. Jamais aucune femme ne l’avait encore touchée. Toutefois, l’excitation a pris le pas sur sa raison et elle s’est laissé faire. Je lui ai bouffé les seins pendant que mon homme léchait son minou trempé. Je voyais à la taille de la queue d’Arnaud qu’il appréciait le spectacle. Je l’ai pris par la main et l’ai allongé sur le lit. J’ai commencé à le branler tendrement quand Agathe s’est approchée et a passé un grand coup de langue le long de sa tige. La petite avait compris ce que j’attendais d’elle. À quatre pattes devant sa queue, elle l’a engouffrée dans sa bouche.
Pendant qu’elle pompait mon homme, Agathe m’offrait, sans le savoir, une vue plongeante sur son minou que j’allais pouvoir lécher et embrasser. Dès mes premiers coups de langue, je l’ai sentie s’accélérer autour du membre bien dur de monsieur. Du bout de ses grands bras, Arnaud malaxait la poitrine d’Agathe. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il a dû nous prévenir qu’il allait jouir. Du coup, Agathe a redoublé sa pipe. Ma langue n’en finissait plus de jouer de son minou, mais mes doigts n’étaient pas en reste et je les hasardais vers son petit trou, Agathe ne semblait pas récalcitrante. C’est à ce moment-là qu’Arnaud a éjaculé dans la bouche d’Agathe et sur ses seins.
Elle s’est écroulée sur le torse de mon chéri, tandis que moi, je doigtais désormais pleinement son petit trou d’une main et que, de l’autre, je branlais mon homme. À un moment, j’ai jeté un oeil vers lui et je lui ai dit qu’il pouvait maintenant la sodomiser, qu’elle était prête. Elle n’a pas bronché. Arnaud s’est présenté derrière elle et, d’un coup de reins, il a entré sa queue large dans le petit trou de cette jeune salope. Agathe, à quatre pattes, m’a demandé de venir l’embrasser. Sa bouche était chaude et parfumée de l’arôme typé de mon homme, cela me faisait mouiller. C’est alors que j’ai senti les doigts de la coquine chercher mon minou. Elle m’a demandé si elle pouvait me lécher. Visiblement, sa bisexualité se révélait.
Pendant ce temps-là, les coups de reins d’Arnaud ne cessaient pas, et Agathe semblait apprécier. À un moment, l’un d’entre eux a dû être plus fort que les autres, car elle s’est arrêtée de me lécher et a poussé un râle de plaisir. Je sais que dans ces cas-là, Arnaud est capable de se retenir de jouir pendant très longtemps. Je regardais cette belle queue pilonner le petit trou de sa propriétaire qui aimait ça. Bientôt, j’ai compris qu’il allait jouir à nouveau. Sa bite est ressortie et il a balancé son jus sur le dos blanc de Agathe. Je me suis empressée d’aller le lécher.
Repus mais heureux, nous nous sommes écroulés.
Quelques minutes plus tard, je suis allée prendre une douche, seule. À mon retour, quelle n’a pas été ma surprise de voir Agathe, les jambes écartées, en train de se faire baiser par Arnaud qui avait retrouvé toute sa vigueur (encore !). Sur le dos, les cuisses relevées sur les épaules de mon homme, elle se pinçait les lèvres pour ne pas jouir trop fort. Arnaud, lui, ne cessait de la pilonner, d’une manière presque mécanique. Alors qu’il allait gicler (encore !), il s’est retiré et Agathe a ouvert grand la bouche pour recueillir son jus. Visiblement, cette fille aimait vraiment la queue !
Après, elle a également pris une douche, s’est rhabillée puis a rejoint sa chambre. Arnaud et moi nous nous sommes enlacés et nous sommes endormis. Au petit matin, j’avais un SMS d’Agathe qui me demandait quand nous remettrions cela, mais cette fois-ci à Paris. Depuis ce jour, elle fait souvent des trios avec nous, parfois même des plans à quatre grâce à un collègue d’Arnaud, très coquin lui aussi.
(Image à la une : Getty Images)
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