Ma 1ère sodomie et pas la dernière !

La rédaction 19 août 2021

Maeva va se laisser aller à la concrétisation de ses désirs les plus secrets. Depuis le temps que la demoiselle fantasme sur Jimmy, le frère de sa meilleure amie et coloc’, elle voit une occasion en béton de s’adonner à une nouvelle expérience sexuelle.
Par derrière toute !

Jimmy est le genre de beau gosse que toutes les femmes souhaiteraient avoir un jour dans leur lit. Crâne rasé, mâchoire carrée, torse gonflé à bloc, il n’a aucun problème pour s’attirer les plus jolies meufs de la région. Il s’en vante beaucoup, d’ailleurs, surtout auprès de Julie, sa sœur et ma coloc’, qui écoute régulièrement ses frasques avec l’impression d’être sur une autre planète. La dernière histoire qu’il nous a racontée date d’hier soir.

Il nous a détaillé en long et en large comment il avait ramoné le cul d’une meuf qui ne pouvait s’empêcher de pousser des hurlements de plaisir. « Elle a fini par bouffer l’oreiller comme si c’était un cheeseburger ». Je n’avais jamais pratiqué la sodomie, j’ai toujours pensé que cette affaire était au mieux dégueulasse, au pire douloureuse, bref, un risque inutile, surtout que j’adorais baiser de façon classique.

Mais je dois bien avouer, qu’après avoir écouté avec beaucoup d’attention toute la séance de Jimmy, il avait éveillé ma curiosité. Le lendemain, alors que Julie était partie en cours, et que nous étions restés seuls, Jimmy et moi, dans le salon, j’essayais de trouver un moyen d’attirer son attention.

Je lui ai demandé un verre d’eau, ce n’était pas l’idée la plus brillante que j’ai eue, mais ce n’était pas la pire non plus ; Jimmy s’est approché doucement de moi, comme un petit chat, et m’a donné un grand verre d’eau : « À vos ordres, princesse ». Rien à dire, il avait la tchatche avec les filles.

Jouant de mon rôle de femme assistée, je lui ai alors demandé un massage des pieds.

C’était quitte ou double : soit Jimmy était sincèrement intéressé par moi, soit il allait me tourner le dos.

Il s’est finalement agenouillé et a commencé un massage, version expert, de ma voûte plantaire et de mes orteils. Ses mains étaient forgées pour me faire du bien, non seulement il s’occupait comme un vrai professionnel de mes extrémités, mais il n’en n’oubliait pas pour autant les mollets, toujours très sollicités au cours d’une journée.

Ça m’a vraiment mise en condition pour du sexe, je me sentais beaucoup mieux, toutes les tensions de mon corps étaient en train de se dissiper, et je flottais littéralement sous son emprise, comme s’il me transformait en petite poupée de chiffon. J’ai alors refermé le magazine de mode qui m’avait accaparée durant quelques heures, et je me suis entièrement abandonnée à lui. Jimmy a remonté doucement les points de pression de son massage, osant s’aventurer jusqu’à ma poitrine, pour titiller du bout des doigts mes deux seins impatients.

Il massait non seulement les tétons, mais également les muscles latéraux, qui peuvent parfois être un peu douloureux quand on ne porte pas de sous-vêtements, ce qui est mon cas. Ses mains se sont ensuite promenées du côté de mes épaules, puis de mon cou, et, dans un élan de courage, il a déposé ses lèvres sur les miennes, déclenchant par la même le début des hostilités. Je me suis relevée comme un soldat au garde-à-vous, impatiente de connaître les capacités de ce Don Juan.

Il a retiré mon tee-shirt et s’est empressé d’aller goûter mes deux tétines qui pointaient vers lui, comme un appel. Sa langue s’est faite délicate sur cette partie très fine de mon anatomie, un délice. Il m’a à nouveau roulé une grosse pelle, certainement pour égarer mon attention, tandis que sa main descendait dans ma culotte, à la recherche de ma chatte.

Il n’a pas dû être déçu en découvrant que tout le tissu était trempé ! J’étais totalement humide, en pleine chute du Niagara ! Ça a dû lui donner un petit coup de boost à l’égo, s’il en avait besoin. Il savait qu’il me plaisait, il n’avait plus rien à prouver. À ce moment-là, je ne voulais plus me retenir, je lui ai tout lâché :

« J’ai envie que tu me bouffes le cul. Depuis que tu nous as raconté ton expérience avec cette nana rencontrée chez des amis, je suis obsédée à l’idée de jouir de l’anus. J’ai connu pas mal de mecs, mais aucun n’y a eu droit. Je suis sûre que toi tu sauras trouver la clé de mon plaisir anal. »

Il n’a pas fallu lui dire deux fois. Il s’est rué sur mon trou du cul, a écarté bien fort les deux miches, et m’a léché le pourtour d’un geste précis.

Je vais être sincère avec vous : je ne pensais pas que ça pourrait être si agréable. C’était délicieux de ressentir une pression à la fois douce et humide sur mon petit soleil. J’ai alors accompagné son geste, j’ai moi aussi bien tiré sur mon petit cul pour qu’il puisse plonger sa tête au plus profond. Sa langue continuait son exploration.

Par moment, Jimmy abandonnait mon cul pour se concentrer sur ma chatte, avec la même application. Sa langue faisait des allers-retours explosifs entre mon petit trou et le haut de ma fente. Elle ne négligeait pas pour autant mon joli clitoris érigé qui réclamait également son dû. Solide, droit, rigide, il était presque prêt à imploser.

La patience de Jimmy ne m’était plus supportable, j’étais au maximum de l’excitation, à deux doigts de jouir dans sa bouche.

D’autant que je m’en souvienne, jamais je n’avais connu une telle intensité, un tel désir pour l’autre. J’aurais été prête à baiser avec n’importe quoi, un concombre, une chaise, un déodorant, du moment qu’un objet long me perforerait le cul. J’ai supplié Jimmy de me prendre et il m’a allongée sur le canapé, et m’a guidée pour remonter mes jambes bien haut.

Heureusement que j’étais souple car il m’a pliée façon chaise de jardin. Pour vous faire le topo : mes doigts de pieds disaient bonjour à mes oreilles. Il a alors investi ma chatte qui ne demandait que ça et, après quelques allers-retours qui ont fini de me mettre en transe, il l’a abandonnée pour s’approcher de la zone tant convoitée : mon cul. Je sentais bien son gland tout lisse, tout gluant glisser sur ma rosette et pointer le bout de son nez à son entrée. Il poussait doucement sa bite dans mon antre tout en caressant ma chatte de sa main libre. Frustrée, je le suppliais de m’envahir, de me combler, par le cul ou par le con, mais qu’il me prenne enfin.

Toutes mes inquiétudes s’étaient évanouies, j’étais détendue, ouverte, dans l’attente de sa queue au plus profond de moi. Enfin, il s’est lancé dans une première tentative, poussant doucement, d’un coup de rein un peu plus assumé, sa longue tige à l’attaque de mon conduit anal. Réfrénant son désir, il fit une pause, à l’écoute de mon corps. Peut-être avait-il senti une légère tension.

Il est resté quelques secondes comme ça, impassible, caressant les pourtours de ma chatte, puis, très lentement il a repris sa poussée à l’intérieur de mon cul. Je sentais chaque centimètre dilater mon tube et se créer un espace à l’intérieur de moi, près de mes organes, au sein de ma chair.

Il accompagnait sa progression de mots crus et de caresses qui me maintenaient dans un autre monde. Mon corps n’était plus que sensations, le plaisir y circulait sans fin.

Jimmy a finalement réussi à s’empaler en moi jusqu’aux couilles. Parvenu à ses fins il m’a tout aussi doucement abandonnée, me laissant exsangue et une fois de plus inassouvie. Manifestement il était satisfait : « Dis-donc ! Pour une première, tu te débrouilles bien ! » Il faut dire que le mérite lui revenait en partie ; il avait bien savonné le terrain.

Sa queue était encore bien ­dressée et mon bas ventre réclamait toujours de l’attention. Considérant que j’avais bien passé le stade débutant, Jimmy m’a ordonné de me mettre en levrette ; selon ses dires, les sensations étaient bien plus fortes. Je me suis donc agenouillée sur le canapé, j’ai planté mes ongles dans le dossier, et il m’a envahie le cul de ­nouveau.

Je me suis laissée tringlée ainsi, et c’est vrai que, dans cette position, sa bite remontait agréablement vers mon coccyx, et je sentais son organe accéder à des zones de mon corps jusqu’ici insoupçonnées. J’en ai profité pour me masturber en même temps afin d’adoucir les sensations qui flirtaient avec la douleur. J’avoue que j’ai pris un pied de dingue, et à ce moment-là, moi aussi j’avais envie de mordre dans les coussins pour retenir les cris qui naturellement voulaient s’échapper de moi.

Je me suis imaginée Julie débarquer à ce moment-là. La pauvre, elle peut être si prude parfois qu’elle aurait fait un arrêt cardiaque en voyant son frère planté dans le cul de sa coloc’, ça c’est sûr. Finalement, Jimmy s’est allongé et m’a fait asseoir au-dessus de lui, en grenouille, dos à son visage. Cette position était encore plus intense que la précédente, je ne pouvais plus rien contrôler, ni me soustraire à ses coups de reins, ni tortiller les fesses, j’étais obligée de subir ses allers et retours sans demander mon reste.

J’ai continué à me toucher le clito en même temps, jusqu’à ce que l’orgasme m’emporte. Un feu d’artifice a soudain explosé dans ma tête, tout mon corps s’est mis à trembler, j’ai senti mes yeux se révulser, mon esprit partir vers d’autres mondes.

Cela a été la jouissance la plus puissante de mon existence.

Et je crois bien que Jimmy en était un peu jaloux. Il s’est alors relevé et a poussé ses derniers grands coups de rein, jusqu’à gicler d’épais jets blancs à l’entrée de mon cul, dont la circonférence me semblait être maintenant aussi large qu’une canette de soda.

« Ah bah mon cochon ! » me suis-je écriée, en touchant mon cul plein de sperme. Il m’a embrassé sur le coin de la joue en me disant : « Pas un mot à Julie, hein ? » La belle affaire ! Si je me doutais de son silence auprès de sa sœur, je savais bien que dès le lendemain, tous ses amis seraient au courant de sa dernière prouesse sexuelle.

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