Cocu mais content !
16 janvier 2021Alain, 50 ans, vit une belle histoire d’amour avec Marion, splendide petite brune de 27 ans. L’appétit sexuel de la belle et son goût de l’exhib’ la conduisent à organiser un rendez-vous galant avec Jean-Claude, un sculptural Black, à l’heure précise où son mari doit rentrer du travail…Une réinterprétation du fameux « Ciel, mon mari ! », où c’est l’époux qui se cache dans le placard…
Je me prénomme Alain, j’ai 50 ans et j’ai la chance de partager la vie de Manon, une sublime femme brune de plus de vingt ans ma cadette. Cela faix deux ans maintenant que je vis cette merveilleuse aventure et, chaque matin, c’est un rêve éveillé de découvrir ma belle à mes côté dans le lit. Sexuellement, je suis comblé par le tempérament de feu de Manon. Son corps pulpeux est, à lui seul, un appel à l’amour ! Parfois, je dois bien l’avouer, j’ai même du mal à suivre le rythme effréné de nos ébats. D’autant que ma chérie a des goûts un peu particuliers. Elle me surprend toujours avec ses idées loufoques, je vais vous raconter l’une d’entre elle dans cette histoire de sexe.
Ce jour-là, je sentais bien que quelque chose se tramait. Elle m’avait appelé deux fois pour savoir à quelle heure je rentrais. Et lorsque j’ai ouvert la porte, il y régnait une atmosphère inhabituelle. La maison était silencieuse, seuls mes pas résonnaient sur le parquet. J’ai posé mon ordinateur portable sur le sol et je me suis dirigé vers le salon. Là par terre, trônait le soutien-gorge de Manon. Un frisson m’a parcouru tout le corps alors que des bruits discrets provenant du salon arrivaient à mes oreilles.
La porte était entrouverte. Je distinguais clairement des petits rires. Manon était là avec un homme.
J’ai regardé par l’embrasure. Elle n’avait pas choisi n’importe qui pour me tromper ! Un beau Black, à la bite éléphantesque et à la musculature très développée. Le fantasme de toutes les femmes et, bien sûr, la hantise de tous les hommes. Elle gémissait : « Oui, Jean-Claude… » Une façon de me le présenter, en somme.
Assis sur le canapé, les deux tourtereaux se caressaient, s’embrassaient, laissant libre cours à leurs désirs. Manon n’était vêtue que de bas résille autofixants. Elle portait également des chaussures à talons noires qui mettaient en valeur ses sublimes pieds. Dans mon pantalon, ma queue me faisait mal tellement l’excitation née de ce spectacle était forte. Le contraste de la peau couleur porcelaine de ma chérie mêlée à celle d’ébène de son Jean-Claude était d’une beauté rare.
Au delà du simple « plan cul », il semblait y avoir entre eux une réelle alchimie qui me laissait augurer d’un spectacle magnifique. Manon, s’offrait aux mains de son amant qui parcouraient tout son corps, passant successivement de sa poitrine aux tétons dressés à son sexe déjà ouvert par l’envie. Je ne pourrais expliquer la raison pour laquelle le spectacle de ma belle dans les bras d’un autre homme me procurait tant de plaisir ! J’en raffolais tout simplement.
La main sur le minou de ma brunette, Jean-Claude masturbait avec tendresse le bouton d’amour qui s’offrait à ses doigts agiles. Les images m’hypnotisaient. J’avais l’impression d’être plongé dans un rêve – mari trompé et bafoué mais, bizarrement, très heureux de l’être. La source de Manon ruisselait maintenant.
Le bruit provoqué par les caresses de son étalon ne laissait pas de place au doute. Ses doigts s’immisçaient entre les lèvres de ma chérie. Des va-et-vient habiles lui arrachaient des gémissements délicieux à entendre. Je ne bougeais pas, contemplatif face à cette interstron.ru de l’ébène et de l’ivoire. Par moments, Manon saisissait la main de son amant pour la diriger vers sa bouche et s’abreuver de son propre jus. J’étais dans un tel état d’excitation que j’aurais pu jouir sans même me toucher ! Je comprends que mon récit paraisse déconcertant pour certains.
J’aime Manon et je ne veux pas la priver de sexe. Elle est jeune, magnifique, fraîche…Alors, la voir prendre du plaisir dans les bras d’un autre ne peut que me ravir. C’est une infidélité souhaitée, programme, dont je suis le spectateur unique et privilégié.
Manon a toujours eu un faible pour les hommes de couleur, mais jamais elle n’avait eu l’occasion de vivre une aventure sexuelle dans les bras d’un beau Black. Cette première, elle la connaissait en ma compagnie, dans notre maison. Cela suffisait à m’emplir de joie. Ma douce tenait maintenant dans sa main l’énorme queue de Jean-Claude. Je voyais distinctement sa main coulisser le long de ce morceau de chair dur et à l’épaisseur impressionnante. L’homme au corps sculpté fermait les yeux, tout dévoué au plaisir que lui procurait la douce main de Manon.
La délicatesse de Jean-Claude, son tact, sa voix suave et son physique contrastaient avec les mots très cochons qui sortaient de sa bouche : « Tu aimes ma grosse queue, hein ? C’est pas ton mari qui peut te faire ça, te défoncer comme moi je le fais ? »
Manon répondait : « Oui, oui ! » Ah, les femmes….Ces petites phrases assassines ajoutaient beaucoup de piment à la situation. Je me disais tout bas qu’effectivement, ça devait la changer de ma petite quéquette. A les regarder se caresser ainsi, se délecter de leurs baisers mutuels, je savais qu’elle allait aimer ça, se faire défoncer par cette bite de compétition. Toutes les mêmes !
Manon en levrette sur le canapé, cela devenait de plus en plus torride…A sa posture, je savais qu’elle ne désirait qu’une chose, goûter à l’énorme queue qui s’offrait à elle. Sa bouche gourmande est descendue peu à peu des pectoraux de Jean-Claude à son bas-ventre. Je retenais mon souffle ! Mes jambes avaient du mal à me soutenir car le spectacle était magique. Je me régalais de la vision de ma chérie, en levrette sur le canapé, les jambes écartées. La mouille luisait sur sa chatte, et sa cambrure me permettait de me régaler de la vue de son œillet, qu’elle se plaît à m’abandonner régulièrement.
Sa bouche avait maintenant pris possession du bâton de réglisse démesuré. J’entendais les bruits de succion et les gémissements de Jean-Claude, qui succombait aux coups de langue de ma chérie. Elle lapait cette tige, mangeait littéralement les couilles pleines de son amant qui, d’un coup, lui saisi la tête.
C’est lui maintenant qui donnait le rythme de cette fellation hors-norme.
Manon avait du mal à mettre ce sexe si large au fond de sa bouche, mais cette sensation de domination lui plaisait. Elle bavait, miaulait et écartait sa chatte. Moi, je profitais du spectacle. Peu à peu, Manon avait pris de l’assurance. Elle semblait s’être familiarisée avec ce calibre incroyable et léchait cette bite avec une excitation non dissimulée. J’aimais la voir soutenir le regard de son amant et plonger danses yeux pour mesurer son plaisir. Et je me demandais vraiment où elle avait trouvé son étalon. En club libertin, j’avais déjà eu l’occasion de voir ma douce prendre un autre homme dans sa bouche, mais jamais le spectacle ne m’avait procuré autant de plaisir. C’était un véritable délice. Pomper, pomper et pomper encore…Manon semblait ne plus vouloir – ou même ne plus pouvoir – se détacher du sexe dressé de son amant. Et comme je connaissais bien ses grands talents de suceuse, je craignais même que leurs ébats ne se limitent à une simple pipe tant les gémissements de Jean-Claude se faisaient plus rapprochés et bruyants. Manon a fini par lâcher le sexe qu’elle tenait fermement entre ses mains.
Lorsque ma beauté s’est allongée sur le canapé, prête à recevoir en elle cette queue énorme qu’elle désirait tant, j’ai ressenti une émotion difficile à décrire. D’une main ferme et virile, Jean-Claude a saisi sa proie et s’est introduit en son intimité avec une étonnante facilité. Ouverte par le plaisir, Manon m’étonnait par sa dilatation. Je fixais l’énorme morceau de chair qui allait et venait au fond de ma chérie, lui extirpant des râles de plaisir qui résonnent encore aujourd’hui dans ma tête.
Elle semblait si fragile sous la musculature imposante de son amant ! Ma chérie pliait sous les coups de boutoir…Mais ne rompait pas ! Au contraire, elle a vite invité son « homme » à la baiser plus fort. Cette queue la rendait folle et moi, heureux ! « Vas-y, encore, mets-moi tout, c’est trop bon… », les mots qui sortaient de sa bouche sonnaient comme une symphonie jouissive à mes oreilles.
Lorsque ma chérie s’est retournée pour offrir sa cambrure de rêve à son prince d’ébène, j’ai retenu mon souffle. Son œillet était si dilaté par l’envie ! J’ai bien cru que la bite de Jean-Claude allait s’y engouffrer. Mais non. Sa queue gigantesque s’est enfoncée dans la chatte de Manon. Ma belle écartait les cuisses au maximum. Les coups de reins de Jean-Claude se sont accélérés et ont gagné en puissance. Cette étreinte était d’une beauté rare et d’une intensité à couper le souffle. Je fixais le petit trou de ma belle qui se dilatait sous le pilonnage intense de son amant. J’avais envie d’y plonger, mais je retenais mon désir, bien décidé à ne rester que spectateur. Manon poussait maintenant tout son bassin en arrière pour s’empaler encore plus profondément sur cette bite tendue. Son visage se déformait sous le plaisir, mais sa beauté restait intacte. Ses grands yeux de biche, ses lèvres pulpeuses, tout chez Manon est un régal. Je pourrais passer des heures à la fixer.
Aux gémissements poussés par les deux tourtereaux, je devinais que cette chevauchée fantastique touchait à sa fin. J’ai profité de ce moment pour bouger subrepticement, en faisant un tout petit peu de bruit. Ma femme a jeté un coup d’œil vers la porte, et je pense qu’elle m’a aperçu. Mais, au lieu d’être embarrassée, elle a encore accéléré le mouvement. Elle est venue s’asseoir sur son étalon et s’est démenée pour le conduire au nirvana. L’atmosphère de la pièce était devenue moite, et une odeur de sexe bestial se dégageait de cette fusion des corps. La sueur, la mouille, tout se mélangeait et mettait mes sens en transe.
Puis, tout s’est accéléré, Manon a donné un tel rythme à l’étreinte que Jean-Claude a succombé.
Il a crié sa jouissance alors qu’il se vidait dans le bout de latex qui couvrait sa belle queue épaisse. Manon, insatiable, a continué à le chevaucher en lui intimant l’ordre de ne pas débander. Elle gémissait plus, elle chantait de plaisir ! Quand Manon a joui, un feu d’artifice sonore s’est rependu dans l’air. Elle s’est retournée vers moi, éreintée, et j’ai même vu une larme de plaisir perler le long de sa joue. Ma belle était comblée. Mon sourire lui a fait comprendre que j’avais vécu un moment exceptionnel.
Jean-Claude s’est rhabillé et il est parti rapidement. Il s’est montré un peu mufle sur la fin. Sans pouvoir me retenir plus longtemps, j’ai baissé mon pantalon et j’ai pénétré ma belle. Sa chatte, encore béante, était chaude, humide, ouverte par les coups de boutoir de son amant. Mon excitation était telle que quelques va-et-vient ont suffi à me faire décoller. J’ai joui en râlant dans le vagin de Manon. Puis, nous nous sommes blottis l’un contre l’autre, sans un mot, des images plein la tête. Ma coquine a le don d’organiser les séances de cul les plus chaudes. Aujourd’hui, je suis plus que tout un homme heureux !
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Ohib
Les femmes autant que les hommes éprouvent un plaisir intense à tromper son compagnon. Pour éviter tout conflit, j’ai épousé une libertine connue dans un club pour libertins. Nous sommes libres sanas tabous ni interdits
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Doudou
En couple Laure et moi sommes libertins. C’est du confort, il n’y a pas de jalousie, pas d’histoire… Nous essayons de trouver des idées pour faire plaisir à l’autre, organiser des soirées cul, faire des surprises, il n’y a pas très longtemps ma compagne est partie en voyage. Un matin elle m’envoie un texto me disant qu’une femme va venir à la maison. Effectivement, à l’heure prévue, arrive une copine avec laquelle nous avions fait une fois un trio. Ce soir là nous n’étions que tous les deux. Ma chérie me faisait un magnifique cadeaux. Notre copine et moi avons pris un apéritif et nous sommes monté dans la chambre. Bien sûr j’ai envoyé des texto à ma chérie afin qu’elle sache où nous en étions et pour qu’elle puisse fantasmer. Quand nous sommes monté lui ai envoyé un texto très court mais très explicite. »On monte »‘ ça voulait bien dire qu’on allait commencer à baisers. Et effectivement, on a bien baisé. J’ai jouis au fond de son minou. Elle a pris une douché et est rentrée chez elle. J’ai beaucoup remercié ma chérie d’amour pour ce beau cadeau.
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Mantouri
Merci pour ce texte bandant. Moi je dirais que vous avez de la chance avec une épouse aussi belle qui vous donne tant de bonheur
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Candau4black
Bonjour, avec une compagne de 20 ans de moins que moi, et devant ses frustrations pendant l’amour avec moi, nous avons fait un deal : j’ai trouvé un jeune black bien monté à qui j’ai offert ma salope, poignets attachés au lit , nue et yeux bandés, il l’a prise deux fois dans ses trois trous et comme entendu il est parti sans qu’elle sache qui l’avait baisée. En me branlant, je me suis contenté de l’embrasser, dégustant un goût de sperme dans sa bouche et en léchant son minou.
Devant son plaisir, notre complice est revenu tous les weekends et la prenait devant moi, sans que je participe à lla demande de mon amie.