L’hôtesse s’envoie en l’air
10 septembre 2015Il est sympa ce commandant de bord ! A chaque voyage, il rapporte un petit souvenir à son hôtesse au sol préférée. Cette fois-ci, le présent va la faire décoller pour un vol au septième ciel qu’elle ne sera pas près d’oublier.
Le commandant de bord me rapportait toujours un cadeau de ses voyages et là, mon petit doigt me disait que la surprise allait être à hauteur de mes espérances…
Lorsqu’il m’a demandé de venir le rejoindre dans son bureau, je m’imaginais être comblée, mais pas à ce point! Il savait que mon petit copain, un steward, avait changé de compagnie. Résultat : on se voyait beaucoup moins. Comme ma réputation d’insatiable du sexe n’était plus à faire, le commandant se doutait de mon désarroi de ne plus baiser à ma convenance.
Ce n’est pas qu’il me plaisait physiquement, ce n’était pas trop mon genre, mais son œil pervers m’émoustillait. Une fois, je me souviens même m’être caressée en pensant à lui, imaginant sa grosse langue baveuse entre mes cuisses.
“Tu es prête pour le cadeau?”, m’a-t-il demandé. Un peu que je l’étais, depuis le temps que je l’attendais! Lorsqu’il a ouvert sa mallette et que j’ai vu apparaître un superbe vibro, j’en ai eu le souffle coupé! C’était certes osé mais, même si j’ai marqué un temps d’arrêt dû à la surprise, cette situation m’a très vite excitée.
Je n’avais pas baisé de la semaine et, chaude comme je l’étais, il me fallait ma dose ! “C’est un tout nouveau jouet qui n’est pas encore sorti chez nous! On m’en a dit le plus grand bien. Je l’ai essayé avec une fille lors d’une escale et je peux te garantir que, niveau altitude, elle a décollé façon avion de chasse !” Les mots du commandant de bord me mettaient encore plus l’eau à la bouche… et ailleurs! Les sextoys, ce n’est pas trop mon truc. Je préfère largement les sexes d’homme à ces engins sans goût ni chaleur et surtout, qui ne jouissent jamais pour me combler de leur semence. Pourtant, Lorsqu’Hector m’a proposé de le tester en sa compagnie, je n’ai pas su refuser! Le commandant m’a d’abord roulé une superbe pelle pour finir de me mettre en appétit avant de sortir l’objet de sa mallette. “Installe-toi sur mon fauteuil, tu y seras mieux pour prendre ton pied!” J’aimais son côté directif. Ses mots ne laissaient pas la place au refus, et c’est tout naturellement que j’ai obéi.
Hector a tout d’abord promené l’objet le long de mes cuisses, le faisant vibrer sur mon corps déjà tendu par le désir. Mon partenaire respirait très fort, marque de son envie de me voir pilonnée par son cadeau et, peut-être, par son manche à balai personnel! Je lâchais prise dans cette pièce, vêtue de ma tenue de service et chaude comme un moteur de jumbo au décollage. La petite hôtesse était prête à s’envoyer en l’air avec son joli cadeau. Hector a lentement soulevé ma jupe pour laisser apparaître mon string blanc. En écartant le tissu, j’ai constaté que ce préambule m’avait mise en émoi, car ma chatte suintait littéralement de mouille. Devant ce spectacle alléchant, Hector n’a pu s’empêcher de passer un doigt entre mes lèvres afin de prélever un peu de mon jus, qu’il a immédiatement goûté. “Délicieux!”, s’est-il exclamé. J’ai réalisé que, niveau sexe, j’avais trouvé un partenaire aussi chaud que moi, ce qui n’était pas peu dire !
Hector a frotté le bout de l’objet sur mes lèvres. Les vibrations étaient vraiment délicieuses. Mon intimité s’est ouverte sans résistance pour laisser entrer le sextoy, qui s’est enfoncé entre mes cuisses jusqu’à la base. Hector avait monté les vibrations au maximum, ce qui m’arrachait déjà des gémissements de chatte en chaleur. Je me tortillais sur le siège sous les va-et-vient de ce sexe factice. Les jambes largement ouvertes, j’avançais mon bassin en cadence afin d’aiguiller le commandant de bord sur la marche à suivre.
La procédure de vol a été tout de suite comprise, puisque la langue d’Hector est venue se poser sur mon clitoris en feu. Quel délice ! Moi, j’avais surtout envie de pousser un peu plus loin l’expérience et de prendre possession du manche du commandant. J’ai baissé sa bra- guette et hop, j’ai englouti sa queue bien tendue entre mes lèvres. À en juger par les gémissements qui s’échappaient de la bouche de mon partenaire, je crois que mes prouesses le faisaient voler à haute altitude !
Il a déboutonné ma chemise d’uniforme pour se délecter de la vue de ma poitrine dont les tétons pointaient sous l’effet du plaisir. “Ça, c’est encore mieux que ton jouet!, a déclaré le commandant en me montrant sa belle bite – Je vous le dirai lorsque je l’aurai en moi!, lui ai-je rétorqué. Cette réponse a encore plus énervé le roi du manche à balai qui s’est assis confortablement dans son fauteuil pour se faire pomper comme un pacha. J’adore avoir une queue bien épaisse dans la bouche. Je pourrais sucer pendant des heures, et surtout dans des endroits incongrus, avec du monde autour, cela m’excite encore plus ! Là, nous étions tranquilles mais, comme le commandant avait une réputation de chaud lapin, j’étais persuadée que mes collègues, qui m’avaient vue entrer dans son bureau depuis un petit moment déjà, devaient s’imaginer des choses.
Et en fait, ils avaient raison! “Crache sur ma queue, sois une vraie chienne!”, a réclamé le commandant.
Inutile de me le demander deux fois, être chienne, ça, je savais le faire ! J’ai laissé tomber un long filet de bave sur cette tige bien dure qui ne cessait de gonfler entre mes mains. J’ai commencé à branler avec force l’engin de mon supérieur, tout en gobant son gros gland. Je serrais bien fort la base de sa queue afin que tout le sang se concentre vers le haut. On n’était pas loin du crash en plein vol! Je m’amusais à glisser ma langue dans son méat pour téter les petites gouttes d’excitation qui perlaient de ce magnifique champignon de chair. “Mais tu es une vraie experte de la pipe!”, n’a pu s’empêcher de gémir mon prince des airs.
C’est vrai que là, je lui réservais un traitement de première classe! D’ailleurs, j’ai réalisé qu’il était temps que moi aussi, je pense à mon plaisir, si je ne voulais pas que cette belle queue me recouvre prématurément le palais de foutre épais. Sans plus attendre, je suis venue m’empaler sur cette tige super dure. Je faisais partie du personnel au sol, mais ce n’était pas une raison pour ne pas m’envoyer en l’air! Question plan de vol, c’était moi qui, pour l’instant, tenais les commandes. J’imprimais le rythme de ce corps à corps torride dont les vocalises gutturales devaient être appréciées par les collègues qui se trouvaient derrière la porte… Peu m’importait ! Pour l’heure, seul le plaisir de sentir une bonne et grosse bite en moi était dans mes priorités. J’avais gardé mes habits pour ce quicky et je dois reconnaître que cela ne faisait qu’ajouter à l’ambiance excitante de la situation.
À ce moment-là, je me suis retournée afin de mieux gérer mes mouvements de bassin sur le joujou de chair qui s’activait entre mes cuisses. Je restais volontairement immobile quelques instants, le sexe de mon partenaire tout entier plongé dans mon intimité, avant de reprendre ma danse du ventre. Hector pétrissait mes seins et tirait avec force sur mes tétons dressés. Mes gémissements du début avaient maintenant cédé la place à des cris de plaisir impossibles à réprimer. On sentait que le commandant était un habitué des longs courriers car, niveau endurance, malgré des débuts timides, il tenait clairement le rythme. Bien décidée à goûter à cette bite par tous les trous, j’ai écarté mes fesses pour me dilater au maximum… Hector n’a pas été long à remarquer mon manège et, tout en me pilonnant, il a glissé deux doigts au fond de mon petit cul.
Je raffole de cette sensation d’être remplie par tous les trous ! J’ai déjà eu l’occasion de coucher avec deux mecs en même temps. J’en ai appris quelque chose: la double pénétration est un plaisir aussi rare qu’indescriptible! Je la conseille à toutes les femmes… Ma mouille coulait abondamment. J’en ai recueilli avec mes doigts et j’ai passé ce lubrifiant naturel sur mon petit trou afin de faciliter la sodomie que je sentais poindre à grands pas. “Tu aimerais l’avoir dans le cul?”, s’est enfin exclamé mon partenaire qui avait fini par capter mon message pourtant dépourvu d’ambiguïté. Pour ne pas passer pour une fille ultra dévergondée et qui se laisse prendre les fesses dès la première fois, j’ai fait mine d’être un peu choquée. Hector a souri et m’a demandé de me lever et de m’appuyer sur le bord de son bureau. Mais, alors que je m’attendais à recevoir son gros gland entre les fesses, Hector a continué à se délecter de ma minette.
Moi, j’étais chauffée à blanc, et c’était dans ma rosette que je voulais recevoir son manche ! J’ai donc pris l’initiative de me mettre en position sur le fauteuil, lui présentant mon œillet parfaitement dilaté. “Mets-la-moi dans le cul !” , ai-je lancé sans prendre de gants. Cette fois, le message était sans détour, et Hector a calé son gland épais sur mes fesses. Il n’a pas eu à pousser bien fort pour être englouti par ma grotte. Hum, c’était parfait. Cette queue était d’un calibre idéal pour passer par ma petite porte.
La sodomie, quel pied! J’adore cette sensation d’être possédée ainsi.
Tout à mon plaisir, je fermais les yeux alors qu’Hector avait retrouvé de la voix. “Tu kiffes ça, hein, l’avoir dans le cul! Ça te plaît de te faire prendre comme la garce que tu es!” Inutile de répondre, mes gémissements avaient valeur d’assentiment. Hector s’amusait à ressortir entièrement sa queue de mon conduit pour venir s’y engouffrer de nouveau avec une violence folle. Il m’écartelait littéralement, mais c’était si bon ! Son piston coulissait, et les va-et-vient entre mes fesses se faisaient de plus en plus puissants.
J’écartais le passage d’une main tout en triturant mon clito gonflé de l’autre. J’ai incité Hector à continuer ce traitement de choc, et l’orgasme est arrivé, brutal, incontrôlable. J’ai crié mon plaisir alors que le commandant, toujours calé au fond de ma piste d’atterrissage, continuait sans relâche de me flanquer de vigoureux coups de reins. “Défonce-moi, défonce-moi, défonce-moi!” Cette phrase sortait en continu de ma bouche alors que ma jouissance perdurait. Je pense que les collègues de l’autre côté de la porte ont dû apprécier mes cris, que je ne tentais même plus de réprimer. J’aurais pu encaisser un tel traitement encore longtemps, mais j’avais maintenant envie de sentir la semence chaude du commandant se répandre sur mon visage… Spermivore j’étais, spermivore je restais !
J’étais maintenant en pilote automatique. Confortablement assise, la langue tendue, j’attendais patiemment que le sublime nectar sorte de cette bite raidie pour venir couvrir mon visage. “T’as envie que je te jouisse dessus, ma garce ! Je suis sûr que tu raffoles du sperme…” Ça, on pouvait dire que le commandant était devin. Il était rare que je laisse mon partenaire jouir en moi, préférant de loin sentir les jets de foutre tiède se répandre sur ma figure. En plus, il paraît que c’est bon pour la peau. Alors, pourquoi s’en priver ?J’ai malaxé les couilles du commandant afin d’être certaine de recevoir le plus de liquide possible. Hector me triturait les seins.
J’avais repris sa grosse queue dans ma bouche. Enfin, il a senti que ça venait, est vite sorti d’entre mes lèvres, et des jets de plaisir sont venus couvrir mon visage de cochonne. J’en avais partout! Je me suis jetée sur ce gland tout luisant de sperme pour rattraper la semence qui coulait encore.
Hector a passé sa queue toujours dure sur mon visage pour récupérer le jus qui s’y trouvait et me le coller dans la bouche. Je ne me suis pas fait prier pour avaler le délicieux nectar.
Notre vol s’était merveilleusement bien déroulé, et la “passagère” que s’est déclarée “très contente”! J’ai d’ailleurs assuré le commandant de bord que je reviendrais bientôt faire un voyage dans son agréable compagnie. En plus, j’ai eu droit au cadeau, dont je me sers presque tous les jours.
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johnnie85
Très beau récit ,bien exprimé et décrit.On en redemande !