Mon beau fils et moi

La rédaction 6 mai 2021

Rebecca est sous le charme d’Éli, le fils de son nouveau compagnon. Elle a le double de son âge, mais ce n’est pas suffisant pour éteindre l’attirance qu’elle ressent envers cette personne dont l’accès est aussi interdit que désirable. Un jour qu’Éli rentre du sport et va pour se doucher, Rebecca lui propose de laver ses vêtements. Mais la lubrique quinquagénaire ne fera pas que s’occuper de ses fibres textiles…

J’ai fêté mes cinquante ans il y a peu de temps. Loin de me mettre un coup, je l’ai vécu comme une glorieuse journée. Moi, Rebecca, j’ai désormais 50 ans et je ne me suis jamais sentie aussi belle et épanouie. J’ai un corps toujours extrêmement ferme, je pratique beaucoup de sport avec plaisir, je me maquille et me coiffe avec soin, j’ai une poitrine du tonnerre de Dieu à la faveur d’une petite opération qui m’a apporté beaucoup de confiance en moi…

Bref, je me trouve souvent plus en forme que pas mal de femmes plus jeunes que moi ! Je me sens dans la fleur de l’âge, je sais ce que je veux, je connais mes désirs, et j’aime toujours autant séduire les hommes, avec lesquels je ne cesse de me sentir en position de pouvoir, car ils se pâment à mes pieds pour me mettre dans leur lit. Pour parachever la satisfaction de mon ego, j’ai le sentiment que plus j’avance en maturité, plus je plais aussi aux hommes plus jeunes, qui semblent m’apprécier à ma juste valeur avec ce regard de connaisseurs qui s’attarde sur ma croupe ou sur mon corsage affriolant. Cela me dépasse un peu, car ça a le don d’éveiller en moi des appétits libidineux impossibles à calmer.

Ces derniers jours, la tentation s’est matérialisée plus particulièrement en la personne d’Eli. C’est un problème, car Éli est le fils de mon nouveau compagnon, Éric. C’est le portrait craché du père, mais en version poulain, ou jeune étalon, si je puis dire…

Éli, c’est vraiment impossible de ne pas craquer sur lui, surtout pour une femme comme moi qui apprécie les jeunes hommes bien faits et qui ne se gêne pas pour fantasmer outrageusement sur leurs pectoraux ou leur insatiabilité sexuelle. Éli a 25 ans, un torse imberbe, le corps fin mais joliment bâti, des cheveux clairs qui ont l’air aussi soyeux qu’un pelage de chat, des yeux qui pétillent et un sourire irrésistible.

Je nourris vis-à-vis de lui une convoitise secrète qui surgit parfois même quand je baise avec son père. Ce dernier n’est pas mauvais amant, mais parfois, j’imagine que derrière moi, c’est son rejeton qui me pénètre sans jamais faiblir… Ça a le don de me faire jouir encore plus vite et plus fort et mon compagnon en est tout étonné à chaque fois. S’il savait ce qui se trame dans ma tête…

Les choses se sont accélérées le jour où Éli est revenu du sport dans la maison de son père, tout transpirant, pour se doucher et faire des lessives. J’étais seule sur place et je l’ai suivi jusqu’à l’étage dans la salle d’eau.

J’ai complètement profité de mon statut de belle-mère pour faire mine qu’il n’y avait pas à avoir de pudeur entre nous. Je me suis postée devant lui, dans ma robe beige boutonnée sur un chemisier rouge dans lequel mes seins appuyaient sur les boutons tant ils tendaient le tissu.

Je me sentais plus désirable que jamais, et donc très sûre de mon coup.

Je suis restée plantée devant le jeune homme. « Déshabille-toi, je vais m’occuper moi-même de tes vêtements. » Éli a eu un moment d’hésitation.

J’ai souri. « Ben quoi, j’en ai vu d’autres, tu sais ! » Il ne s’est pas dégonflé et, tout en me souriant avec cet air de grand charmeur, il a enlevé son short de sport et me l’a tendu, révélant son bas-ventre et sa queue, qui reposait sur des bourses fermes – pour le moment ! Je n’ai pas pu empêcher mon regard de jeter son dévolu sur son joli membre qui m’attirait inévitablement.

Il a vu mon visage et m’a souri encore plus, comprenant un peu mieux ce qui se tramait. « T’as pas peur du danger, toi. T’es sûre que c’est de mon linge dont tu veux t’occuper ? » a-t-il demandé tout en enlevant son t-shirt pour dévoiler son joli ventre délicatement sculpté à la peau veloutée. J’ai eu envie de me jeter à ses pieds pour y goûter et céder enfin à mon caprice… Éli me regardait toujours avec cet air goguenard : « Tu vas avoir des ennuis, toi… Mais j’avoue que je ne suis pas insensible à tes appels de phare et que ça fait un moment que je te mate en douce, moi aussi. »

Beau parleur, comme son père ! Et pas si candide que ça ! « C’est juste que j’ai du mal à résister à un bel homme comme toi… »

J’ai laissé tomber ses fringues sales au sol, dont l’odeur de sueur n’avait fait que raviver mes bas instincts… J’ai remarqué qu’il s’était mis à bander. J’ai posé une main sur son épaule et une autre sur sa queue en train de durcir. Sa bite, traversée du sang du désir qui lui montait jusqu’à la pointe, emplissait ma main avide de le sentir. Elle s’y lovait comme une bête docile qui vient s’épanouir et s’étirer contre un corps chaud.

Ma main, comme des serres, s’est refermée sur son pieu, que je regardais avec ardeur se gonfler petit à petit contre mes doigts. Éli, d’abord interdit, ne bougeait pas tout en se laissant caresser. Ma main faisait des allers-retours sur son érection. Quand j’ai lâché son regard pour fixer son membre viril, il s’est détendu et a cédé à son propre désir, que j’avais vu traverser ses prunelles.

Ma main sur son épaule s’est perdue dans ses cheveux. Il s’est avancé pour embrasser mon cou – il était tacite que nous ne nous embrasserions pas sur la bouche, question de principe. Il louchait sur mes seins depuis bien longtemps, alors je les lui ai offerts à manger. J’ai déboutonné mon chemisier sur mes rondeurs siliconées et sa bouche s’y est arrimée comme un coquillage à son rocher.

J’ai senti la tiédeur de ses lèvres contre le rebondi de mes seins, contre mes tétons durcis, contre le galbe de mes formes qu’il semblait vénérer et qu’il a couvert de baisers pleins de fièvre. Hum, le jeunot savait y faire ! Ses baisers étaient des papillons légers et stimulants qui venaient réveiller ma poitrine de leurs ailes duveteuses. J’avais envie de lui remplir la bouche de mes imposants nibards, qu’il en perde son souffle, le coco ! Il me faisait tellement penser à son père, et en même temps je ne pouvais m’empêcher de le trouver plus désirable !

Le jeune homme était désormais nu comme un ver, et je n’allais en effet pas m’occuper de ses fringues sales, mais d’une chose qui m’intéressait bien plus : sa jolie queue pleine de grâce et de vigueur. Il s’est étendu sur le large et moelleux tapis de bain pour me laisser le loisir de l’explorer et il s’est abandonné à ma bouche qui a attrapé son pieu désormais bien dur dans ma main avant de l’engouffrer dans ma bouche maquillée de gloss.

Je prenais soin de bien le prendre lentement entre mes lèvres, pour qu’il savoure cette caresse qui devait être moins maladroite que celles de ses partenaires de son âge. Ma bouche se régalait de son gland et de sa tige fine. Sa raideur ne faiblissait pas et s’épanouissait agréablement contre ma langue aux papilles en feu. Cette queue bien ferme me donnait follement envie de lui. J’avais retiré mon chemisier et ma culotte, déboutonné en partie ma robe qui ne recouvrait plus que mes hanches, mon corps nu dépassant de toutes parts.

J’avais envie de sentir cette queue en moi, contre la sensibilité de mes muqueuses, dans ma chatte qui trépignait à l’idée de l’y recevoir ! Nous nous sommes remis debout dans la salle de bain.

Je me suis tournée pour qu’il m’enfile par-derrière, position que j’affectionne particulièrement.

J’ai attrapé un pan du mur de la douche pour garder l’équilibre tandis qu’il dirigeait son sexe à l’entrée de ma vulve. Nous étions sur le point de commettre l’irréparable et à partir du moment où j’ai senti son gland s’y poser, j’ai essayé de me concentrer sur le moment présent sans penser aux éventuelles conséquences de nos actions.

Il me tenait par les cuisses en appuyant sur le devant de mes jambes pour se stabiliser, moi je me penchais en avant tout en tendant mon cul vers lui et son sexe m’envahissait progressivement.

Le piercing qui décore une de mes petites lèvres provoquait un tiraillement délicat et agréable, tandis que la chair de mon jeune amant causait dans ma chatte, en s’y introduisant, des sensations vaginales puissantes.

Je sentais la peau de son ventre et de ses couilles contre mon cul, je voulais qu’il s’enfonce toujours plus loin, que je sois sa déesse et que je lui fasse perdre la tête comme je la faisais perdre à son géniteur. C’était fou, j’avais l’impression d’être avec mon régulier, mais avec des sensations démultipliées par le fait qu’il avait été détrôné par ce jeune corps alléchant.

Dans l’élan de nos ébats, nous nous sommes retrouvés à nouveau au sol, lui derrière moi sur le carrelage cette fois, le corps appuyé sur le côté pour qu’il puisse continuer de m’envahir de sa bite enflée par la passion. Éli bougeait le bassin pour se stimuler à l’intérieur de moi et me faire du bien avec ses coups de trique. Loin d’être inexpérimenté, il m’excitait follement en jouant sur le rythme et sur l’intensité.

Tantôt, il progressait lentement dans mon sexe et me régalait de ses percées délicates, et je sentais le gonflement de son désir dans l’étroitesse humide de mon couloir vers la jouissance, et quand je gémissais plus fort, il accentuait la rapidité de sa pénétration et recouvrait mes cris de plaisir du marteau-piqueur qu’il actionnait dans mon sexe. J’éprouvais alors ce ressenti indéfinissable de la rencontre de deux organes génitaux qui s’encastrent et se soudent l’un à l’autre.

Nous étions reliés par cette chaleur tiède de nos sexes qui se baisaient. Nos peaux réchauffaient le carrelage froid grâce à nos élans. Je me demandais comment j’en étais arrivée à faire cet écart impardonnable que constitue le fait de me taper le fils de mon compagnon, et en même temps l’évidence de l’attraction qui nous submergeait était bien là.

J’ai eu envie de le dominer en face-à-face pour qu’il puisse m’admirer et que, moi aussi, je puise dans l’image de son corps une excitation supplémentaire. Je jouais avec le côté MILF et femme fatale comme s’il s’agissait d’un déguisement que je revêtais.

Et le revêtir me donnait encore plus de plaisir que la simple baise, je me glissais dans un personnage qui excitait Éli comme un petit puceau et qui, en même temps, m’excitait moi-aussi de me voir ainsi vénérée pour ma féminité.

Éli s’est rallongé sur le tapis de bain, la tête contre la douche, le regard et le visage tournés vers moi dans une forme d’hypnotisme qui me le rendait encore plus craquant. Je suis montée sur lui à la manière d’une cavalière de rodéo.

Pour me sentir encore plus sexy, j’avais conservé mes hautes chaussures à talons qui donnaient un galbe parfait à mes jambes et qui me faisaient me sentir encore plus belle. Une fois sur lui, je le dominais de tout mon buste fier aux seins triomphants. Sa queue venait titiller ma chatte trempée des plaisirs déjà provoqués par la volupté de notre accouplement.

Sous moi, il me regardait comme une icône qu’on vénère, alors j’en rajoutais quant à mon personnage : je penchais la tête en arrière pour lui montrer ma gorge nue, j’attrapais la peau de mes fesses pour les écarter du mieux possible et lui permettre de me prendre plus loin encore dans ma chatte, réveillée par cette vague de luxure qui guidait mes gestes.

En amazone sur mon jeune amant, je voyais dans ses traits mon compagnon et je m’imaginais aussi étudiante à son âge, à baiser comme une petite catin dans les studios de mes petits copains et à prendre mon pied avec un garçon différent chaque semaine. De l’eau avait coulé sous les ponts depuis et j’étais désormais encore plus en possession de mes désirs. J’avais peut-être moins d’amants, mais je m’autorisais les aventures les plus folles, y compris celle que nous étions en train de vivre dans le plus grand secret.

Contre le carrelage, Éli se faisait réceptacle de mes élans de luxure, et je coulissais sur sa queue bien enflée de haut en bas pour qu’elle vienne raviver tous les récepteurs sensoriels de mon sexe. J’adorais qu’il me foute pendant ces longues minutes avec ses gestes et ses mimiques de jeune homme aussi lubrique que moi. Je me penchais sur lui pour tenir le mur de la douche et redoubler mes ondulations de bassin sur sa trique.

Mes seins valdinguaient dans son visage tandis que mon cul était comme possédé par le démon. Si Éric entrait à ce moment-là, c’en serait fini de nous, alors nous profitions encore tant que nous pouvions. L’odeur de sa sueur et de nos sécrétions sexuelles nous enivraient, je sentais qu’il perdait pied tant le plaisir était houleux et ça me plaisait d’être celle qui suscitait ça en lui.

Je suis montée sur sa bite dos à lui, accroupie sur son pieu à faire l’ascenseur dessus, tandis que lui me soutenait sous les cuisses. Visage crispé par la force de mon plaisir, je jouais à avaler sa queue qui entrait et sortait de ma minette, parfois je restais bien empalée sur lui à le masser de l’intérieur et à faire se régaler ma chatte au passage, et parfois je laissais son gland en suspens, à patienter dans mon vestibule, juste le temps que les spasmes de mon plaisir soient suffisamment intenses pour le faire replonger en moi.

La sensualité de ses percées, mon envie de lui à son apogée, les mots qu’il me murmurait, les « t’es trop bonne, trop belle », les « je vais jouir », « ça va mal finir », « je peux pas m’empêcher », ses gémissements de (faux) puceau, c’était dingue ! Sa queue se plantait en moi et frétillait dans mon sexe qui menait la danse. La chaleur qui montait dans la salle de bain nous enveloppait, ses mains me pétrissaient le cul avec acharnement, tant et si bien que le coulissement de sa queue commençait à incendier mon sexe.

Ses mains dans l’intérieur tout doux de mes cuisses faisaient frissonner le creux de mes jambes. Le plaisir est monté d’un cran et j’ai continué mes acrobaties sensuelles tandis qu’il m’inondait de sa ferveur… « J’ai tellement envie de te faire jouir… »

Quand il a dit ça, j’ai senti les convulsions de l’orgasme qui se frayait un chemin. Avec ma main, j’ai effleuré mon clito, j’étais tellement bouillante, sa pénétration était tellement intense avec ses mouvements de bassin que j’ai joui dans un énième accroupissement sur sa bite.

Éli s’est redressé, la queue toujours droite. Il avait tenu bon !

À genoux contre lui, j’ai pris sa trique pleine de ma mouille entre mes dents. Une main sur la base de son sexe à deux doigts de l’explosion, j’ai léché, embrassé et avalé son pieu. Il a voulu se retirer, mais j’ai accéléré encore plus quand j’ai senti qu’il défaillait et sa queue tremblait presque dans ma bouche toute chaude qui le gardait bien au fond de la gorge pendant de longues secondes, tout en le massant de mes lèvres moelleuses.

Son sperme a jailli et a rempli mon orifice buccal, résultat du désir fou qui l’avait envahi dès que je l’avais suivi dans la salle d’eau pour poser mes yeux sur lui. J’en avais partout.

J’avais encore le sang chaud, avec des sécrétions qui me coulaient entre les cuisses. Éli a embrassé mon dos tendrement et s’est carapaté de la salle de bain au moment même où j’entendais la porte de la maison s’ouvrir…

J’ai disparu sous la douche en prenant soin de faire disparaître mes sous-vêtements tachés de mouille, pour effacer les traces du crime. Je me suis délassée sous l’eau chaude, des images sexy et non-censurées plein la tête qui, pour l’heure, étaient plus fortes que ma culpabilité.

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