Le secret de l’Espagnole

La rédaction 16 avril 2019

Paco, 43 ans, Paris

Je m’appelle Paco, j’ai 43 ans, et j’ai longtemps vécu à Madrid. J’y ai construit un début de vie de famille avant de me faire plaquer par ma femme qui a réussi à garder les enfants quand nous sommes passés devant le juge. Comme j’ai une partie de ma famille qui est française, j’ai décidé de revenir aux sources, il y a 2 ans, et de m’acheter un petit studio dans le 20e arrondissement de Paris. C’est très populaire et culturellement très mélangé. On y fait des découvertes humaines chaque jour, tout ce que j’aime !

Je donne des cours en espagnol pour maîtriser des logiciels informatiques (j’ai beaucoup d’expatriés de tous âges parmi mes élèves), et c’est de cette façon que j’ai rencontré Sylvia, une belle Espagnole d’à peine 26 ans qui venait tout juste de débarquer dans la capitale et qui était en formation au sein d’une entreprise.

Un après-midi, à la sortie de mes cours, elle m’a demandé si elle pouvait boire un verre avec moi, elle n’avait que peu d’amis et maîtrisait mal le français. J’ai accepté et j’ai fait connaissance avec un bout de femme d’une timidité charmante. Et d’une beauté fatale. Au vu de notre différence d’âge, je me persuadais que succomber à ses sirènes serait la pire idée qui puisse me traverser l’esprit. Elle me ferait souffrir, c’était sûr. Mais elle m’attendait, imperturbable, à la fin de chacun de mes cours, et nous avons très vite lié une amitié solide. Je la désirais au plus profond de moi, mais je devinais que de son côté, l’attirance n’était pas réciproque. Elle me voyait simplement comme un moyen de palier à une solitude dans un pays où chaque phrase lui semblait incompréhensible. En tout cas, c’est ce que je me disais. Et puis un jour, elle a eu un problème d’eau chez elle, si bien qu’elle m’a demandé de venir dormir chez moi une nuit, pour prendre une douche. Elle m’a glissé qu’elle voyait en moi un « ami de confiance », ce qui m’a fait très plaisir !

Comme je n’allais pas laisser une jeune fille de 26 ans sans l’hygiène la plus élémentaire, j’ai accepté qu’elle dorme chez moi. J’avais préparé le canapé-lit la veille de son arrivée, persuadé qu’elle ne me laisserait pas l’approcher. Mais quand elle a sonné à la porte de mon appartement, un large sourire aux lèvres et une bouteille de vin à la main, j’ai su qu’elle était dans de bonnes conditions pour lâcher prise. Nous avons parlé de tout et de rien. De l’Espagne, surtout, de sa vie sentimentale, aussi, et enfin de la mienne et de mes enfants qui me manquaient. C’est elle qui m’a embrassé la première. Dans un mélange d’admiration et de compassion. Ses lèvres étaient d’une douceur incroyable, une friandise sur un corps tendu, jeune et ferme. Je n’avais pas connu beaucoup de femmes depuis mon arrivée à Paris et ce contact soudain avec un corps féminin m’a fait vibrer. J’en avais la chair de poule et je crois bien que je tremblais. J’espérais secrètement qu’elle ne s’en rende pas compte.

Lentement, j’ai glissé ma paume sur sa cuisse, et elle m’a laissé faire, en écartant ses jambes un peu plus. Elle portait une jupe en cuir avec des collants. Je devinais à travers le nylon la finesse de sa peau et l’humidité de son corps. Nous nous sommes mutuellement déshabillés dans une sensualité troublante, en prenant notre temps. Nous savions que nous avions toute la nuit pour nous découvrir. Elle m’a ensuite demandé de mettre de la musique d’un chanteur espagnol qu’elle adorait et m’a fait un show sexy incroyable. Avec son corps de rêve et des déhanchés vertigineux, je me suis donc posé la question si elle n’avait pas travaillé avant dans le milieu de la nuit, en tant que danseuse ou serveuse. Elle m’a glissé à l’oreille que « c’était son petit secret ». Je n’ai rien demandé de plus, trop content de pouvoir la posséder, au moins pour une nuit. Sa minette était brûlante. Ses gémissements aussi. Je l’ai baisée en levrette, écartant pas intermittence ses deux petites rondelles pour laisser entrevoir le soleil qui s’y cachait. Je n’ai pas fait long feu, le manque d’entraînement, très certainement.

Elle a pris une douche à la fin de nos ébats en me remerciant pour l’eau chaude.

Et depuis, son problème d’eau a été réparé. Elle me demande quand même de dormir dans mes draps dès qu’elle en a l’occasion. Je me suis promis que j’oserai un jour lui poser la question de son passé si mystérieux… mais en attendant, je profite de « son petit secret » les nuits où elle se transforme en diablesse sur mon lit.

(Photo à la une : Getty Images)

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