Le théâtre du sexe
4 décembre 2021Je m’appelle Coralie, j’ai 30 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. J’étais en déplacement pour le boulot à Toulouse, afin de rencontrer les gérants d’une salle de théâtre. Je devais y jouer un petit rôle en tant que comédienne et j’ai passé le casting avec eux et le metteur en scène sur place. C’est assez marrant, parce que les gérants sont deux cousins qui se ressemblent assez, en mode jumeaux. Ils ont l’air de tout faire ensemble.
Un jeu de comédienne
Le metteur en scène, lui, était un mec de 60 ans se rapprochant de la retraite, sympathique au demeurant. Mais mon attention se portait sur les jumeaux-cousins qui étaient d’agréables quadragénaires dégageant une virilité assez excitante. Les hommes ont bien le fantasme de se taper des jumelles, ce vieux cliché irréaliste, aucune raison que moi, je ne me fantasme pas sur ces deux Apollons !
C’était assez troublant, car je devais jouer une scène suggestive. Je devais faire semblant de draguer un mec en suçant un stylo. Je me suis appliquée du mieux que j’ai pu en fixant les gérants tour à tour. Je les ai presque mis mal à l’aise, les pauvres ! Comme c’était un peu organisé à l’arrache, ils m’ont dit d’attendre dans la pièce d’à côté, car j’étais la dernière à passer le casting. J’aurais ainsi ma réponse tout de suite. J’ai attendu et je n’ai pas été surprise quand ils sont venus me chercher pour m’annoncer que j’étais retenue. Comme nous allions bosser ensemble, ils m’ont proposé d’aller boire un verre et nous sommes sortis pour fêter ça.
Alexis, l’un des managers du théâtre, nous a invités chez lui pour un dernier verre. J’étais euphorique, et de plus en plus excitée. Les langues se sont déliées. “Tu nous a bluffés avec ton jeu super sensuel !” J’avais très envie de continuer à les chauffer. “T’es pas au bout de tes surprises”, j’ai dit. J’ai mis de la musique sur l’enceinte de son salon et je me suis mise à danser comme une grosse allumeuse devant eux. Bien vite, ils se sont laissés entraîner et je me suis retrouvée en sandwich entre Alexis et son cousin-jumeau, Pierre. Exactement le scénario sur lequel je fantasmais !
Ils m’avaient plu et c’était visiblement réciproque. Alexis, devant moi, se frottait contre ma cuisse, sa queue déjà dressée dans son pantalon. Derrière moi, j’avais la sensation sur mon cul de la bite de Pierre qui enflait de plus en plus contre mon jean. J’étais aux anges, surtout quand leurs bouches se sont collées à l’unisson dans mon cou pour me donner le frisson d’excitation de ma vie. Avaient-t-il déjà fait cela ensemble ? Leur relation de complicité était assez troublante. En tout cas, ils me désiraient suffisamment pour ne pas se gêner à m’entreprendre en même temps. En bref, ils étaient partageurs ! Dans son coin, le metteur en scène avait l’air vaguement excité lui aussi et je le sentais prêt à sortir sa queue pour se caresser.
L’art de la baise (à trois)
Nous nous sommes mis entièrement nus, comme un jeu. C’était si naturel… Alexis s’est assis dans le canapé à poil, jambes écartées. Il était tellement beau que je me suis mise à quatre pattes à côté de lui pour le sucer ardemment. Pierre a pris une photo de moi, fesses cambrées, une main de Alexis sur mon cul, et ma bouche en train de le pomper. Ça devait faire une belle photo !
Sentir la raideur de ce sexe contre mon palais me donnait la fièvre. Je les voulais tous les deux. Je me suis agenouillée sur le sol pour sucer Pierre à son tour, Alexis prenant cette fois les photos. J’étais bien heureuse d’avoir une telle audience. Ce n’est pas pour rien que je suis comédienne ! Alexis m’a prise dans une levrette acrobatique sur le canapé, moi penchée en avant, et lui en équilibre derrière moi. Son assurance était bonne, sa queue, un délice.
Nous avons fini sur le lit où Alexis m’a prise une deuxième fois, à plat ventre sur le matelas, me baisant par-derrière. Sa bite était sensuelle et bien dure, un régal. Pendant qu’il continuait de me baiser en levrette, Pierre s’est installé de l’autre côté sur le lit, de sorte que je puisse le sucer en même temps que je me faisais baiser.
C’était trop bon d’avoir ces deux queues qui glissaient en moi. J’étais galvanisée à leur contact. Les mecs se passaient le téléphone pour prendre des photos de moi sous différents angles. Mon joli corps sensuel s’étalait d’un bout à l’autre du lit entre leurs deux sexes et ça devait donner de très jolis clichés dont j’espérais qu’ils me les enverraient plus tard. Après l’avoir sucé, je suis montée sur Pierre qui était devant moi.
J’ai pris son sexe dans le mien qui était large de plaisir, et Alexis s’est doucement introduit dans mon cul en même temps. Une fusion parfaite de nos trois corps ! J’étais extatique… La double pénétration était d’une intensité presque douloureuse mais c’était si fort que seul le plaisir surnageait… et la jouissance, qui est née au cœur de mes orifices envahis par eux. Le metteur en scène avait suivi pour se branler et il prenait lui aussi des photos comme le gros goujat qu’il était.
Nous étions tous les trois promis à une très belle collaboration.
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