Surprise au strip-club
19 décembre 2020Abdel, 37 ans, profite de ses vacances à Ibiza. Un soir, il se rend dans un strip-club où une des danseuses est en fait une vieille connaissance…
Si je vous écris aujourd’hui, c’est que j’ai un secret à partager. Et je ne peux le faire qu’avec des gens très ouverts d’esprit. Voici mon histoire de sexe…
L’été dernier, je suis parti avec des potes, banquiers, comme moi, à Ibiza. Au programme : plage, boîtes de nuit jusqu’à l’aube, mais aussi notre petit péché mignon, des virées au strip-club. Le problème, c’est que là-bas, je suis tombé sur une nana hyper chaude. Et qu’il s’agissait de la nièce d’un pote. Pire : je l’ai baisée et j’ai adoré. J’espère que vous ne me jugerez pas trop sévèrement !
Je savais que Sabrina était récemment partie en Espagne pour ses études. C’est la plus jeune des nièces de mon ami : elle a 20 ans et la tête sur les épaules. Alors, quand je suis arrivé dans le club ce soir-là et que je l’ai vue se dandiner en string ficelle sur le podium, j’ai tout simplement halluciné. Comme je ne voulais pas me taper la honte devant mes copains, j’ai demandé au manager une danse privée avec elle dans un salon du club. Quand elle est entrée dans la cabine, j’ai cru qu’elle allait tomber dans les pommes en me reconnaissant. Elle a avalé cul-sec la flûte de champagne posée sur ma table puis nous avons discuté tous les deux.
Sabrina était à Ibiza pour un mois seulement, avant de reprendre la fac à Barcelone. Pour cet été, elle avait juste décidé de se faire un paquet de fric pendant ses vacances. J’étais rassuré. La coquine a même voulu me montrer le petit coin repos où elle et les autres filles prenaient leurs pauses, pour me prouver qu’il n’y avait pas de choses louches dans le club. Je l’ai suivie. Dans les escaliers qui menaient à la petite pièce, je n’ai pas pu m’empêcher de la reluquer. Elle avait un corps parfait, fin et ferme, de beaux cheveux brillants, et ce string… Il lui rentrait dans le cul d’une façon terriblement sexy ! J’ai secoué la tête pour chasser ces mauvaises pensées de ma tête, en imaginant comme mon pote pèterait un plomb s’il apprenait la situation.
Sabrina m’a fait entrer dans le coin repos. C’était une petite chambre sombre où il y avait des canapés et des tas de coussins. La musique du club nous parvenait faiblement, assourdie par de la mousse collée aux murs. J’ai pris Sabrina dans mes bras et je lui ai dit qu’elle avait raison de faire sa vie. Et là… la petite a éclaté en sanglot et s’est serrée contre moi.
Je l’ai regardée droit dans les yeux. On aurait dit une biche, le regard humide et reconnaissant… Sans réfléchir à ce qui était en train de se passer, je me suis penché vers elle, enivré par son parfum capiteux. Ses lèvres étaient comme du velours… « Oh, serre-moi fort ! » a lâché Sabrina dans un murmure. À partir de là, la situation a totalement dérapé.
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Je l’ai serrée encore plus fort. Elle a relevé sa jambe droite et l’a enroulée autour de moi. Nos bouches étaient aimantées l’une à l’autre, les langues en mode Lavomatic. J’ai soulevé ma gazelle comme une plume, avant de la plaquer contre le mur. Des doigts, j’ai senti le string se tendre sur son cul bombé. La peau était satinée, son odeur entêtante…
J’ai sorti mon sexe, qui a bondi à peine mon falzar tombé au sol. Quand il est entré en contact avec le string de la belle, j’ai cru imploser. Sa petite motte palpitante n’était qu’à un fin bout de tissu de mon gland, lui-même gonflé par le plaisir… et si pressé d’entrer en elle ! Mais pour commencer, j’ai préféré glisser un doigt pour prendre la température. C’était brûlant et liquide, mais surtout, le feulement qu’a lancé la petite garce m’a convaincu que rien ne servait d’attendre. Elle était à point. Mais la coquine s’est désengagée de mes bras et s’est laissée glisser jusqu’à mes pieds.
En un clin d’œil, elle a saisi ma queue comme un cornet de glace dégoulinant de pré-cum, puis poser sa bouche gourmande dessus. Elle a sucé mon bout humide, sa main enveloppant la base. Elle a léché, léché, puis s’est mise à la pomper gaillardement. Je gémissais de honte et de plaisir… D’une petite voix, la coquine m’a demandé : « Veux-tu que je m’arrête ? » En guise de réponse, je l’ai réempalée d’une main ferme sur mon gros chibre. Et j’ai fermé les yeux pour faire taire ma conscience.
De longues et délicieuses minutes se sont écoulées. J’étais bouillant : il fallait que je la pénètre. Alors, je l’ai aidée à se redresser et j’ai essuyé ses lèvres trempées de salive. Puis je me suis assis sur un des canapés, bien calé entre deux coussins. Face à moi se tenait l’envoutante Sabrina, ses longs cheveux retombant sur sa face rougie par l’effort… J’ai baissé le string. Son abricot parfait luisait dans la pénombre : la mouille suintait des petites lèvres qui dépassaient légèrement, le clitoris était gonflé.
J’ai attiré doucement Sabrina vers moi, puis je l’ai invitée à me chevaucher. Lentement, je l’ai vue s’asseoir sur ma queue, celle-ci disparaissant totalement. Elle m’avait avalé avec sa chatte. Ses cuisses, de part et d’autre de mon gourdin, étaient d’une douceur incroyable. J’ai commencé à la faire cavaler sur ma bite et plus j’accélérais, plus elle couinait. Ses petits bruits se sont transformés en hurlement quand j’ai atteint la vitesse maxi, la perforant totalement. « Je viens ! », a-t-elle beuglé. De quoi m’obliger à la remuer comme une poupée de chiffon, dans laquelle j’ai déversé ma semence. Elle a joui au même moment en me labourant le dos de ses ongles et en mugissant à mon oreille.
Nous nous sommes rhabillés, totalement essoufflés, mais aussi partagés entre la gêne et le sentiment d’avoir vécu un moment unique. Unique, il l’est resté, puisque nous n’avons jamais révélé la vérité à personne ni recommencé.