Telle mère, telle fille !

La rédaction 13 mai 2019

Laurence, 48 ans.

Bonjour, je vous écris pour vous dire que j’aime la bite. J’aime son odeur. J’aime le sperme surtout ! Ahhh… Ce membre qui durcit au moindre attouchement ! Il me rend folle ! J’aime exciter les mecs. Malgré mes 48 ans, je les fais bien bander, croyez-moi ! Chaque midi, je me rends au supermarché. Je porte une tenue assez courte, mais respectueuse tout de même. Et là, je me penche sans prêter attention aux regards. Évidemment, pendant ce temps-là, je sens très bien leurs yeux qui se posent sur mes cuisses et mon cul. Leurs yeux me braquent et me suivent le long des allées… Je fais monter la température, tranquillement. J’imagine leurs queues qui durcissent dans leurs petits slips.

L’autre jour, il y en a un qui m’a suivie jusqu’à ma voiture en sortant du magasin. Il m’a proposé de m’aider à mettre mes courses dans le coffre. Je l’avais bien repéré dans les rayons. Après m’avoir aidée, il s’est mis de côté pour bien se trouver aux premières loges et mater ma culotte lorsque je suis montée dans mon 4×4. Ce qui l’a décidé à me faire un nouvelle proposition : « Un petit coup de main pour tout décharger à la maison aussi ? » Je lui ai répondu qu’il était rare de trouver un homme aussi galant de nos jours, et il m’a suivie avec sa voiture.

Arrivé à la maison, il m’a aidée comme promis. Puis : « Mais comment pourrais-je vous dédommager, mon petit ami ? » D’un seul mouvement, je me suis retrouvée sur la table de la salle à manger, sa tête fourrée sous ma jupe. Mon dieu que c’est bon une langue qui sait où aller ! Je mouillais comme un nuage. Je lui ai demandé de me baiser avec une capote… Il avait tout prévu !

Sa queue était courtaude, mais costaude. Il bougeait très fort en moi, et la table chavirait presque, c’était tellement bon ! Je l’ai prévenu que mon mari allait rentrer dès qu’il a eu fini de me secouer, comme ça j’étais débarrassée…

Le lendemain, je suis allée chez ma mère. Elle habite en Normandie, et le week-end je l’aide à jardiner. Elle devait se rendre à l’hôpital pour ses soins. Je lui ai dit : « OK, je te dépose. » Elle m’a répondu : « Non, toi, tu restes là, les jardiniers vont venir pour tailler la haie. Moi, j’ai un VSL qui arrive. » En les attendant, j’ai décidé de faire un brin de ménage. Mais j’ai trouvé qu’il faisait bien chaud, alors hop : top et petite culotte, tout simplement !

J’ai entendu les mecs qui travaillaient dehors. Ils s’étaient mis au travail. Le bruit de mon aspirateur couvrait presque celui de leurs engins, un vrai groupe de rock ! Mais à un certain moment, j’ai senti comme une présence derrière moi… Je me suis retournée et là j’ai vu les ouvriers qui étaient en train de me mater. Le plus âgé m’a demandé s’il était possible d’avoir un peu d’eau. « Bien sûr, entrez ! »

D’un coup, je ne pensais plus du tout à ma tenue ! J’ai pris une bouteille bien fraîche au frigo. Ils devaient avoir une sacrée vue sur ma petite culotte tanga quand je me suis baissée pour attraper ça. La situation m’excitait, je leur faisais de l’effet aussi visiblement, ils étaient tout penauds. Je me suis permise de leur demander : « Vous n’avez pas chaud habillés comme ça ? » L’un d’entre eux m’a répondu : « Ben si, mais en dessous… On est à poil ! » Et ils se sont marrés. « Ah bon ? Mais les clientes seraient heureuses de le savoir ! Vous devriez au moins retirer le haut de la cotte ! » L’ancien l’a fait. Il avait un torse velu d’ouvrier qui en a vu d’autres. « Un vrai gorille ! » s’est exclamé son jeune collègue. « Et encore, t’as rien vu ! » a-t-il rétorqué. Je n’ai pas pris soin de leur apprendre que le gorille n’était pas particulièrement bien pourvu, cela aurait été contreproductif. Non, au lieu de ça, j’ai suggéré : « Oh oui ? On peut voir ? »

Telle mere telle fille 1

Ni une ni deux, la combinaison s’est ouverte. Mais quelle gaule ! Je l’ai félicité : « Pas mal… » Et je l’ai attrapé par la queue. Et dire que j’étais en train de caresser cette queue dans la cuisine de ma mère… Le plus jeune se trouvait derrière moi. Il était en train de se branler contre ma raie. Je sentais son membre qui glissait de bas en haut. Le machin était long. Je tortillais mon cul comme un ver. Le vieux m’a malaxé les seins sans ménagement. C’était délicieux. Sa queue merveilleuse et dure me plaisait de plus en plus. Ensuite, le plus vieux a dit au jeune : « Regarde dans le tiroir voir s’il y a des capotes. » Et effectivement il y en avait ! Le jeune en a pris une et se l’est mise sur le bout pour me pénétrer. Haann, j’ai fondu.

Puis le vieux a voulu son tour. Il m’a soulevée comme une plume pour m’allonger sur la table. Son gland était énorme. Mes lèvres humides s’ouvraient. J’ai chopé ses couilles et j’ai tiré dessus pour qu’il me pénètre plus fort. Il m’a niquée très fort. Je le sentais bien. Je lui ai demandé de me défoncer. Ses couilles battaient sur mes fesses.

Grimpé sur la table, le jeune se faisait sucer. Il couinait que c’était bon. Il m’a prévenu que la sève montait. Je lui ai dit « reste, reste », et une giclée est arrivée. J’ai adoré. Le vieux continuait à me bourrer la fente sans s’arrêter ! À un moment, il m’a juste dit : « Tu es aussi bonne que ta mère, toi ! » Je ne me suis pas laissé démonter (enfin, vous voyez ce que je veux dire) et j’ai relevé le défi : « Et ça, elle te le fait ? » Je lui ai tendu mon cul pour qu’il le baise. « Vas-y, enfonce Alphonse, et bien fort comme j’aime ! » Mon orifice a été arrondi d’un coup sec par sa lance d’albâtre, lisse et dure. J’ai nettoyé le petit jeune pendant que le vieux me retapait toute l’arrière-cour à la pelleteuse. Je me suis caressé la foune pour augmenter le plaisir…

Et tout à coup, j’ai entendu le VSL de la mère qui revenait dans la cour ! J’ai arrêté mes gaillards à la hâte et j’ai enfilé un vêtement. Ils ont remis leurs salopettes, et la mère est entrée : « Ah, je vois que vous avez fait connaissance… – Oui, je leur ai servi un verre… Bon les gars, au boulot, la haie n’est pas terminée, je crois ! – Ah, mais il est tard madame, je crois qu’il va falloir revenir… » a suggéré le vieux en regardant ma mère. J’ai comme dans l’idée que l’affaire ne va pas s’arrêter là…

(Photo à la une : Getty Images)

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« Elle était aux anges et, comme pour me remercier, elle m’a embrassé sur la bouche. Bien vite, sa langue est venue à la rencontre de la mienne. Nous nous sommes embrassés longuement, ses baisers étaient brûlants. Je bandais très fort à l’idée que c’était ma belle-mère qui était avec moi. » Hervé.

Par amour pour ma fille

« Mais il était encore dur et il avait encore envie. Mes cinq doigts enroulés autour de sa belle verge continuaient de le masturber. D’une petite voix timide, je lui ai demandé s’il avait envie de quelque chose d’autre… » Guillemette. 

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Notre « photographe-vidéaste maison » a posé ses bagages pour quelques temps à Paris. Il déambule dans les rues de la capitale à la recherche de jolies filles pour leur proposer une séance photo. Deux jolies touristes anglaises pleine de peps et une étudiante se laisseront convaincre de poser pour des photos de charme il les emmènera dans sa garçonnière et la suite vous l’avez devinée…Il en profitera avec leur plein accord pour les baiser par tous les trous comme il aime si bien le faire.


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